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La vie de Jean Michel Aulas Empty La vie de Jean Michel Aulas

Dim 25 Sep 2005, 23:20
Voici un article qui date de plus d'un an mais qui permet de connaitre la vie du plus charismatique (sic) entraîneur de L1.

L'Express du 10/05/2004
Jean-Michel Aulas L'attaquant lyonnais

par Pierre-Yves Lautrou

Manager méthodique et ambitieux, il est patron de l'éditeur de logiciels Cegid. Mais aussi, depuis 1987, l'artisan de la réussite - tant économique que sportive - de l'Olympique lyonnais. Portrait d'un champion contesté du foot business, à l'heure où les clubs français jouent enfin dans la cour des grands



«Il ne faut jamais oublier d'où l'on vient.» Chemise blanche et costume noir impeccables, téléphone portable dernier cri, Bernard Lacombe, 51 ans, 38 fois sélectionné en équipe de France et toujours meilleur buteur de première division, évoque avec émotion l'Olympique lyonnais (OL) de la fin des années 1980. «On était en D 2, se souvient l'entraîneur adjoint de l'époque, avec une touche d'accent du Rhône. En déplacement, on jouait à Cuiseaux ou à Rodez...» Quinze ans plus tard, l'OL voyage à travers l'Europe et bataille ces jours-ci pour un troisième titre d'affilée de champion de France - un exploit accompli par deux équipes seulement: Marseille et Saint-Etienne.

Le principal artisan de cette prospérité est un chef d'entreprise de 55 ans, patron de l'éditeur de logiciels Cegid: Jean-Michel Aulas. En dix-sept ans de présidence, «JMA» a radicalement transformé le club, qui végétait à un niveau indigne de la troisième ville de France. Cette saison, le stade de Gerland - 43 000 places - affiche un taux de remplissage moyen proche de 95%. Lyon, qui joue en Coupe d'Europe sans interruption depuis 1997, dispose du plus gros budget de la Ligue 1, avec environ 90 millions d'euros.

En même temps qu'il accumulait des résultats sportifs et économiques flatteurs, Jean-Michel Aulas s'est construit une réputation. Celle d'un manager méthodique et ambitieux, qui bâtit pierre après pierre un grand club européen capable de jouer dans la cour des grands, avec le Real Madrid, Manchester United et la Juventus de Turin. Celle, aussi, d'un idéologue influent, parangon du foot business et pourfendeur des archaïsmes de la régulation à la française.

Rien ne prédisposait pourtant ce fils de profs - «plutôt de gauche», dixit l'intéressé - marqué par un père aussi journaliste et poète à ses heures, à endosser l'uniforme de l'entrepreneur à répétition. Le jeune Aulas, natif de L'Arbresle, aux portes du Beaujolais, sera même délégué de l'Unef, le syndicat étudiant, en Mai 68. Monté à Paris pour les «événements», il reste fasciné par Cohn-Bendit: «Je buvais ses paroles», s'amuse aujourd'hui le PDG.

Le soixante-huitard, étudiant en BTS d'informatique au lycée La Martinière de Lyon, demande l'émancipation à ses parents. Car, pour créer une entreprise, il faut être majeur - ce qu'à 19 ans, en 1968, Jean-Michel Aulas n'est pas encore. En plein boom de l'informatique naissante, il crée, avec trois compères, le Cegi, Centre européen de gestion par l'informatique. Ambiance start-up avant l'heure. Las! les obligations militaires et des problèmes de trésorerie mettent fin à l'aventure au bout de dix-huit mois: le Cegi est revendu, en 1970 - à bon prix - à la Cegos, qui embauche Aulas et Jean-Claude Sansoë, l'un des quatre associés. Fin du premier épisode.


Treize ans plus tard, les deux larrons reprennent leur liberté pour créer la Cegid, Compagnie européenne de gestion par l'informatique décentralisée, une société spécialisée dans l'édition de logiciels destinés aux experts-comptables, qui surfe sur l'arrivée de la micro-informatique et profite du changement du plan comptable général. «Nous avions tous les deux des caractères marqués par la pugnacité. Cela aurait pu nous mener au clash, se souvient Sansoë, mais notre association - lui au commercial, moi à la technique - a très bien fonctionné.» Effectivement: moins de trois ans après sa création, la Cegid fait une entrée fracassante en Bourse, au second marché de Lyon, le 20 juin 1986, assurant la fortune de ses fondateurs. Fin du second épisode.

Et le foot, dans tout ça? On y vient. A Marseille, un certain Bernard Tapie, président de l'OM depuis avril 1986, commence à faire parler de lui. Le futur ministre de la Ville cherche des partenaires pour entrer au capital de TF 1, bientôt privatisée, et se tourne vers Louis Thannberger, le spécialiste lyonnais de l'introduction en Bourse des PME. Celui-ci le met en relation avec quelques industriels du cru. Jean-Michel Aulas, étoile montante du business local, fraîchement intronisé en Bourse sous la houlette de Thannberger et de Roger Michaux, ancien patron de l'OL et président du syndic des agents de change de Lyon, est de la partie. La mèche est allumée. Et le courant passe entre les deux hommes. «J'étais sous le charme, comme tout le monde», se rappelle aujourd'hui le président de Cegid, qui a fini par assumer tardivement ce compagnonnage désormais un brin canaille.

Le président d'alors de l'OM est aussi animateur d'une émission sur la Une, Ambitions, où il invite régulièrement Aulas. Un samedi soir de 1987, il organise une fête après son show, diffusé d'Aubagne. Un journaliste du Progrès de Lyon est présent et demande à Tapie qui, selon lui, pourrait sortir l'OL de l'impasse. La réponse est toute trouvée et fait la Une de la presse lyonnaise la semaine suivante: «Aulas président de l'OL».

Le 15 juin 1987, Jean-Michel Aulas, 38 ans, devient président de l'Olympique lyonnais... un peu par hasard! L'ex-joueur de handball de haut niveau - il s'y est décollé la rétine - ancien sponsor de Carl Lewis et d'Alain Prost, se lance dans le foot sans y connaître grand-chose, «pour rendre service». Mais il présente un plan très ambitieux, qui doit amener Lyon en Coupe d'Europe en quatre ans. «C'était plus un concept marketing qu'un plan stratégique, admet aujourd'hui Aulas. Au bout de six mois, je me suis rendu compte que le sujet était difficile et le milieu particulier.»

Les débuts sont chaotiques. La première saison de l'ère Aulas, trois entraîneurs défilent et l'OL reste englué en deuxième division. L'année suivante, le club retrouve l'élite. Deux ans plus tard, comme annoncé, il se qualifie pour la Coupe d'Europe en terminant cinquième du championnat de France. Ce sont ensuite des années d'apprentissage, où Lyon alterne catastrophes évitées de justesse - 16e en 1992 - et excellents résultats - 2e en 1995.

Dès son accession à la tête de l'OL, Aulas se forge une conviction, qu'il ne cesse, depuis, de proclamer: un club de foot est une entreprise comme les autres. Rien de révolutionnaire aujourd'hui. Mais, à l'époque, l'Olympique lyonnais, comme la plupart des autres clubs, est une association qui dépend encore en partie des subventions des collectivités locales. Les caciques de Gerland vont alors entendre parler de «business plan» et de «merchandising». Le club se transforme en SAOS (société anonyme à objet sportif), des chefs d'entreprise siègent au conseil d'administration, une holding, coiffant l'OL, contrôle des filiales spécialisées dans la restauration ou les voyages (lire l'encadré ci-dessus). Lyon profite de l'explosion des droits télévisuels et décline sa marque sur une invraisemblable cohorte de produits dérivés: salons de coiffure, de beauté, auto-école, beaujolais, taxis... Dernier en date: le saint-marcellin Olympique lyonnais!

Jean-Michel Aulas s'est fixé un objectif ultime: remporter la Ligue des champions, la plus prestigieuse compétition européenne. Pour y parvenir, il a fait entrer Pathé à son capital, en 1999. Contre un chèque de 15 millions d'euros, Jérôme Seydoux a pris 34% de la holding qui contrôle l'OL. L'argent du producteur de cinéma permet à Lyon d'acheter un attaquant brésilien qui va changer la face du club: Sonny Anderson. Avec lui, l'OL ne quitte plus le podium du championnat de France et ajoute deux titres de champion dans une vitrine de trophées jusque-là bien maigre.

Mais, pour le président de Lyon, le jeu reste faussé. Aulas souhaite pouvoir concurrencer à armes égales les grands clubs européens. «Avec quelques évolutions, le football professionnel français pourrait être beaucoup plus performant», explique-t-il. On connaît la dernière en date: la cotation en Bourse des clubs, refusée à l'OL par l'Autorité des marchés financiers en décembre 2003, malgré des mois de lobbying intensif. Auparavant, Aulas a mené d'autres batailles: la propriété des droits télévisuels et l'allégement de la fiscalité des clubs. Toutes les deux pour l'instant perdues. Il s'oppose ainsi frontalement aux ministres des Sports. A propos de Jean-François Lamour, en qui il plaçait beaucoup d'espoirs, il lâchera dans L'Equipe: «Il est paradoxal de croire qu'en étant français et ministre on est plus intelligent.» Adepte du franc-parler, le patron de l'Olympique lyonnais s'est aussi fait une spécialité des manœuvres d'appareil à la Ligue de football professionnel (LFP), dont il est vice-président. Il a ainsi contribué à l'élection, en 2000, puis à la chute, deux ans plus tard, de Gérard Bourgoin, éphémère président de la LFP. C'est sur ces fronts-là qu'il a gagné ses galons de «Machiavel libéral».

«Il est tellement passionné et sûr de sa vision qu'il est parfois impatient»

A Lyon, dans le foot et ailleurs, le président de l'OL est craint. On lui attribuait encore récemment le départ d'un commentateur sportif d'une radio locale, réputé trop critique avec son club. Vérification faite auprès de l'intéressé, le journaliste a été licencié pour des raisons économiques. Mais la méthode Aulas, mélange d'omniprésence médiatique et d'argumentation ressassée jusqu'à plus soif, agace. «Il connaît ses dossiers sur le bout du doigt, juge Philippe Piat, président de l'UNFP, le syndicat des joueurs. Mais parfois il ferait mieux de se taire, même quand il a raison.» Le 7 avril, au soir de la défaite de Lyon contre Porto en quarts de finale de la Ligue des champions, tandis que Monaco réalisait un exploit historique en éliminant le Real Madrid, le président de l'OL ne peut s'empêcher de saluer la «victoire du football défiscalisé»... juste après s'en être pris - comme souvent - à l'arbitrage. Mauvais joueur, Aulas? «Jean-Michel est tellement passionné et sûr de sa vision qu'il est parfois impatient», le défend Bruno Bonnell, PDG d'Atari (ex-Infogrames), actionnaire à titre personnel de l'OL, dont les locaux jouxtent ceux de Cegid à Lyon. «J'ai rarement rencontré quelqu'un d'aussi monomaniaque, reconnaît Jérôme Seydoux. Mais il ne faut pas qu'il change! Même s'il n'est pas forcément nécessaire de polémiquer avec le ministre...»

A force de le voir si régulièrement dans les médias parler de foot, les analystes financiers ont fini par penser que le patron de l'OL se désintéressait de Cegid - des rumeurs de vente courent régulièrement le marché. Mais ce bourreau de travail, levé à l'aube, n'a encore aujourd'hui qu'un seul bureau: celui de son entreprise. Jamais il n'a laissé Cegid, dont il est toujours le principal actionnaire avec près de 29% du capital, en jachère. «Cela fait quinze ans qu'on entend parler de rachat, s'agace Patrick Bertrand, le directeur général, un fidèle. Nous ne mènerions pas une stratégie de développement si on voulait vendre!»

L'éditeur de progiciels de gestion pour les PME, qui a connu, comme tout le secteur, une période difficile au début des années 2000, emploie près de 1 400 salariés et affiche 130 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2003 - à peine 30% de plus que l'OL... - pour 7,3 millions de résultat net. Même s'il s'appuie beaucoup sur Bertrand, dans la maison depuis seize ans, Jean-Michel Aulas reste à la manœuvre, notamment lorsqu'il s'agit de boucler une importante opération de croissance externe, comme c'est le cas en ce moment. «Vous savez, glisse-t-il habilement, je me demande beaucoup plus souvent combien de temps je vais rester dans le foot qu'à Cegid...»

Après quelques hésitations, le président de l'OL a décidé de conserver le siège social de sa société à Lyon plutôt que de le transférer à Paris. Pour ses 20 ans, il a fait construire une imposante bâtisse de verre de 14 000 mètres carrés - signée Macary et Zublena, les architectes du Stade de France - à Vaise, au bord de la Saône, dans le IXe arrondissement de Lyon, l'ancien fief du maire de la ville, Gérard Collomb. L'édile socialiste et Aulas se connaissent depuis longtemps: le premier a relayé le lobbying fiscal du second à l'Assemblée dans les années 1980 et lui a obtenu l'ordre national du Mérite. Aujourd'hui, Collomb profite du succès de l'OL, sur la base d'un raisonnement tout simple: ce qui est bon pour l'OL est bon pour Lyon et donc pour le locataire de l'hôtel de ville. «En plus, c'est d'un rapport qualité/prix extraordinaire!» s'enflamme le maire, qui évalue les investissements municipaux dans l'OL à environ 800 000 € pour la saison 2003-2004.

«Je me demande plus souvent combien de temps je vais rester dans le foot qu'à Cegid»

Tout le monde n'est pas de cet avis. Le Vert Etienne Tête, adjoint chargé des marchés publics, des travaux et des affaires juridiques, joue la mouche du coche. Et peste contre «les croyances irrationnelles des élus qui pensent que le développement économique et la présence d'un grand club de foot sont liés». L'écologiste, qui n'est pas au mieux avec Gérard Collomb, a ainsi obligé la ville à revoir sa convention avec le club. Il a également témoigné - «La loi m'y oblige» - dans le procès, perdu en première instance par Aulas, qui opposait l'OL au mensuel polémique Lyon Mag' après la publication d'un article sur les comptes du club. «Moins d'impôts en général, mais plus de subventions pour soi-même, c'est un paradoxe fréquent chez les libéraux, raille Tête. La mairie n'a pas voulu payer les écrans télé de Gerland? Il s'est tourné vers le conseil général!»

Lyonnais de souche, au mieux avec les acteurs politiques locaux, triomphant avec l'OL: il n'en faut pas plus pour que la rumeur d'un engagement en politique de Jean-Michel Aulas s'empare à intervalles réguliers de la capitale des Gaules. «Ça m'a tenté, avoue le PDG à la double casquette, et j'ai été sollicité à droite comme à gauche pour les régionales et les européennes. Mais c'est incompatible avec l'OL et Cegid.» Et sans doute plus prudent: un an avant les élections municipales de 2001, son nom, testé dans quelques sondages, ne remportait que de rares suffrages.

Bien sûr, l'OL a singulièrement enrichi son palmarès depuis; bien sûr, la notoriété de Jean-Michel Aulas a progressé. Mais c'est probablement insuffisant. Car ce père d'un enfant dont la fortune est estimée à quelque 75 millions d'euros et à qui tout réussit, bute contre un dernier obstacle: la conquête des cœurs. «Peut-on aimer l'OL?» titraient récemment Les Cahiers du football. Quelques semaines plus tard, c'est L'Equipe Magazine qui théorisait en éditorial la «Peine de cœur de Lyon». «C'est une escroquerie intellectuelle! tranche Aulas, dont les relations avec les médias ont toujours été compliquées. L'image de Lyon est formidable dans le grand public, comme le montre une étude récente du cabinet Sportlab.» Peut-être. Mais l'OL a beau être à deux doigts d'un troisième titre historique, le public n'a d'yeux que pour les exploits de Monaco et de l'OM en Coupe d'Europe. Sans parler du retour en première division du mythique voisin stéphanois. Comme si, malgré tout, il manquait encore un match de légende à Lyon et à son président...
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Je crois qu'il est président et non entraineur La vie de Jean Michel Aulas 2
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Dim 25 Sep 2005, 23:46
Bien sûr, l'OL a singulièrement enrichi son palmarès depuis; bien sûr, la notoriété de Jean-Michel Aulas a progressé. Mais c'est probablement insuffisant. Car ce père d'un enfant dont la fortune est estimée à quelque 75 millions d'euros et à qui tout réussit, bute contre un dernier obstacle: la conquête des cœurs. «Peut-on aimer l'OL?» titraient récemment Les Cahiers du football. Quelques semaines plus tard, c'est L'Equipe Magazine qui théorisait en éditorial la «Peine de cœur de Lyon». «C'est une escroquerie intellectuelle! tranche Aulas, dont les relations avec les médias ont toujours été compliquées. L'image de Lyon est formidable dans le grand public, comme le montre une étude récente du cabinet Sportlab.» Peut-être. Mais l'OL a beau être à deux doigts d'un troisième titre historique, le public n'a d'yeux que pour les exploits de Monaco et de l'OM en Coupe d'Europe. Sans parler du retour en première division du mythique voisin stéphanois. Comme si, malgré tout, il manquait encore un match de légende à Lyon et à son président...

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Dim 25 Sep 2005, 23:54
L&o a écrit:
Bien sûr, l'OL a singulièrement enrichi son palmarès depuis; bien sûr, la notoriété de Jean-Michel Aulas a progressé. Mais c'est probablement insuffisant. Car ce père d'un enfant dont la fortune est estimée à quelque 75 millions d'euros et à qui tout réussit, bute contre un dernier obstacle: la conquête des cœurs. «Peut-on aimer l'OL?» titraient récemment Les Cahiers du football. Quelques semaines plus tard, c'est L'Equipe Magazine qui théorisait en éditorial la «Peine de cœur de Lyon». «C'est une escroquerie intellectuelle! tranche Aulas, dont les relations avec les médias ont toujours été compliquées. L'image de Lyon est formidable dans le grand public, comme le montre une étude récente du cabinet Sportlab.» Peut-être. Mais l'OL a beau être à deux doigts d'un troisième titre historique, le public n'a d'yeux que pour les exploits de Monaco et de l'OM en Coupe d'Europe. Sans parler du retour en première division du mythique voisin stéphanois. Comme si, malgré tout, il manquait encore un match de légende à Lyon et à son président...

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Lun 26 Sep 2005, 18:26
on parle des meme clubs il faut dire...
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