Pas mort mais presque

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Pas mort mais presque

Défait une nouvelle fois à domicile face à un concurrent direct pour le maintien, Nantes file vers la L2. Sur les huit derniers matchs, les Nantais joueront cinq fois à l’extérieur. Autant dire que leur mission sera corsée.

Si Michel Der Zakarian affiche une belle hargne et un moral à toute épreuve, l’entraîneur nantais aura en revanche du mal à convaincre son entourage que Nantes sera en L1 la saison prochaine. Lui y croît pourtant fermement : « Il reste huit matchs à jouer, on y croit fermement. Il va falloir aller chercher les points l'extérieur. On va se battre jusqu'au bout, croyez nous, on n'est pas mort. » Sur le terrain, à l’image de la saison, les Nantais affichent un collectif toujours aussi laborieux. Les individualités ne suffisent pas. Le talent des Wilhelmsson, Boukhari (partis cet hiver), Pieroni ou Barthez ne suffisent pas. Cette équipe là ne joue pas ensemble et n’a pas d’âme.

Face à Sedan, plusieurs anciens champions de France du club garnissaient les tribunes de la Beaujoire. Les caméras de Canal+ ont maintes fois cadrés les visages tristes et atterrés de ces anciennes gloires du club, de Jean-Claude Suaudeau à Stéphane Ziani en passant par Robert Budzynski ou Jean Vincent. Tous ont assisté impuissants au naufrage d’un club qu’ils ont emmené au sommet et qu’ils ne reconnaissent plus depuis bien longtemps. Le jeu à la nantaise est devenu un mythe depuis le départ de son dernier dépositaire, Raynald Denoueix. Ce dernier affirmait récemment dans Ouest-France : « Je ne supporte plus de lire et d'entendre que le jeu à la nantaise est dépassé. Comment des principes de jeu pourraient-ils l'être ? » Et pourtant…

Le proche futur de Nantes, ce sont huit matchs de championnat, dont cinq à l’extérieur, et une demi-finale de Coupe de France à Marseille en guise de divertissement. Certes le FCNA ne compte que deux points de retard sur le premier non reléguable mais le niveau des Canaris cette saison semble irrémédiablement trop faible pour espérer se maintenir. Le miracle est possible et les espoirs sont permis. Les dirigeants nantais devront surtout songer à tourner la page en fin de saison, celle d’un actionnaire principal qui a échoué et fait perdre à un club toutes ses valeurs. Le FCNA de la saison prochaine devra redevenir le Nantes authentique que ses supportent aiment. Celui représenté aujourd’hui par des éléments du cru comme Dimitri Payet, William Vainqueur, Claudiu Keserü ou Kévin Das Neves.

football365

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Merde, fausse joie

Coluche a écrit:Merde, fausse joie

Tu croyais que c'était un article sur Gripond ou Sarko

Triskel a écrit:

Coluche a écrit:Merde, fausse joie

Tu croyais que c'était un article sur Gripond ou Sarko

Ben quand j'ai vu le titre, et le nom du posteur, j'ai pensé que tu nous annonçais ta fin proche

Coluche a écrit:

Triskel a écrit:

Coluche a écrit:Merde, fausse joie

Tu croyais que c'était un article sur Gripond ou Sarko

Ben quand j'ai vu le titre, et le nom du posteur, j'ai pensé que tu nous annonçais ta fin proche

Tu sais bien qu'on ne se débarrasse pas de la mauvaise herbe

Triskel a écrit:

Coluche a écrit:

Triskel a écrit:

Coluche a écrit:Merde, fausse joie

Tu croyais que c'était un article sur Gripond ou Sarko

Ben quand j'ai vu le titre, et le nom du posteur, j'ai pensé que tu nous annonçais ta fin proche

Tu sais bien qu'on ne se débarrasse pas de la mauvaise herbe

C'est vrai. J'en suis la preuve vivante

Triskel a écrit:

Coluche a écrit:Merde, fausse joie

Tu croyais que c'était un article sur Gripond ou Sarko

Sarko est l'élu, c'est lui qui va sauver la France de la misère Quant à Gripond, il est en train de tirer son épingle du jeu, dans le secrêt, car il n'est pas du genre à faire des effets d'annonce