Monsieur Kita et le FCN

Posez vos questions à Waldemar Kita !
Le président du FC Nantes y répondra lors d'un chat organisé par Ouest-France le mercredi 17 octobre, de 11h à 12h, sur nantes.maville.com.

Pour dialoguer en direct avec Waldemar Kita, rendez-vous le mercredi 17 octobre, de 11h à 12h !
Waldemar Kita (53 ans) est le quatorzième président de l'histoire du FC Nantes, club dont il est également le propriétaire depuis le 2 août dernier.
Né en Pologne, il a fait fortune en revendant la société Cornéal (spécialisée dans la fabrication de lentilles intra-oculaires), qu'il avait créée, empochant 145 millions d'euros au passage.
Ancien bon joueur amateur, Waldemar Kita entame sa seconde expérience dans le sport business, après un passage controversé à Lausanne, à la fin des années 90.
Désireux de s'investir pleinement dans cette nouvelle aventure, le président nantais souhaite ramener le FCNA en Ligue 1 le plus rapidement possible, tout en modernisant le club et en relançant le centre de formation.
Un projet qu'il évoquera avec les internautes le mercredi 17 octobre, de 11h à 12h, à l'inivitation du journal Ouest-France.

Ligue 2 : Waldemar Kita intronise Larièpe

Christian Larièpe est depuis hier directeur technique. Le président du FC Nantes entend s'impliquer dans toutes les décisions.
La présentation de Christian Larièpe hier à la Jonelière a surtout permis à Waldemar Kita d'affirmer son autorité. Ceux qui n'avaient pas encore décodé le discours présidentiel ont reçu une piqûre de rappel. Waldemar Kita entend rompre avec la « routine. » En bousculant certaines habitudes si nécessaire. « Je veux construire ou reconstruire, dynamiser ou redynamiser », assure l'ancien chef d'entreprise, au nom d'une politique de rupture. La nomination de Christian Larièpe au poste de directeur technique intervient dans cette perspective. « Son savoir-faire et son expérience doivent nous apporter un plus. Il a sa culture, mais c'est à lui de s'adapter », assure le n° 1 du club.

L'homme d'affaires est le seul maître à bord. Il regarde, il écoute, puis il tranche. « Je veux m'impliquer personnellement beaucoup. Je suis à l'écoute des techniciens, mais c'est moi qui prends les décisions en dernier ressort. Comme ça, s'il y a une connerie de faite (sic), c'est moi le responsable, pas eux. » Le président a redéfini les priorités par ordre chronologique : la montée en Ligue 1 à court terme, la performance du centre de formation à moyen terme, et enfin le retour pérenne du FC Nantes au premier plan du football hexagonal.

Le premier chantier est bien lancé. Ce sont les fondations du second que Waldemar Kita entend consolider. « On a une très bonne équipe de 18 ans, mais on note une petite faiblesse entre les 18 et les 20 ans. Ce n'est pas simplement une question d'argent. S'il faut en mettre, on en mettra, mais on ne devra pas se tromper. Je suis prêt à convaincre les parents. Il faut qu'ils sentent qu'il y a une direction à la tête du club. » La direction précédente a dû trouver une pierre dans son jardin.

« Définir les besoins et décider »

Les techniciens de la Jonelière n'ont pas besoin de lire entre les lignes pour décrypter le message présidentiel. La marge d'erreur s'est considérablement réduite. Le groupe de travail qu'ils constituent avec Christian Larièpe et Claude Robin se réunira toutes les cinq semaines et devra rendre des comptes. Le tout, « dans un esprit de concertation. Le contact humain est primordial. On ne doit pas se livrer à un monologue. Chacun va définir ses besoins puis je déciderai. » Et le nouvel homme fort du FC Nantes de déplorer l'absence de telle réunion sous le règne de Rudi Roussillon.

La nomination de Christian Larièpe intervient après le recrutement de Mathieu Bideau au poste de recruteur du club en région parisienne. Ce dernier supervisait déjà pour le club dans ce secteur, mais n'était pas salarié. Une titularisation qu'appelait de ses voeux Laurent Guyot, directeur du centre de formation.

Débauché de l'Olympique de Marseille, le nouveau directeur technique, chargé de coordonner l'ensemble du secteur sportif, s'est déclaré « très fier d'intégrer le FC Nantes, une sommité du football français et très heureux de revivre une expérience au côté de Waldemar Kita. »

Les deux hommes ont en effet parcouru un bout de chemin escarpé ensemble à Lausanne. Où Waldemar Kita était déjà en première ligne.

L. F.
Ouest-France

Ca a au moins le mérite d'être clair !

On va voir ce que sa donne après.

toulalanmania a écrit:On va voir ce que sa donne après.

Exactement ! ça c'est parlé !!

L'invité du chat Ouest-France

Pour dialoguer en direct avec Waldemar Kita, rendez-vous le mercredi 17 octobre, de 11h à 12h !

Waldemar Kita (53 ans) est le quatorzième président de l'histoire du FC Nantes, club dont il est également le propriétaire depuis le 2 août dernier.
Né en Pologne, il a fait fortune en revendant la société Cornéal (spécialisée dans la fabrication de lentilles intra-oculaires), qu'il avait créée, empochant 145 millions d'euros au passage.
Ancien bon joueur amateur, Waldemar Kita entame sa seconde expérience dans le sport business, après un passage controversé à Lausanne, à la fin des années 90.
Désireux de s'investir pleinement dans cette nouvelle aventure, le président nantais souhaite ramener le FCNA en Ligue 1 le plus rapidement possible, tout en modernisant le club et en relançant le centre de formation.
Un projet qu'il évoquera avec les internautes le mercredi 17 octobre, de 11h à 12h, à l'invitation du journal Ouest-France.

Football : FC Nantes : Kita et Florès, la rupture
Le président du FC Nantes va se séparer de son partenaire dans la reprise, devenu son directeur général. Sa première décision spectaculaire.
L'aventure a tourné court. Le couple Kita-Florès ne passera pas l'automne. Officiellement, le directeur général du FC Nantes est actuellement en déplacement. Les frais kilométriques ne devraient pas plomber les comptes puisqu'on peut le croiser à Nantes.

En réalité, la rupture est déjà consommée. Les deux hommes sont en instance de séparation. D'ici quelques jours tout au plus, la nouvelle devrait être mise à jour, le temps que les conditions du divorce soit définitivement scellées, après négociation. Pour l'heure, Waldemar Kita a choisi, lors du « chat » accordé aux lecteurs d'Ouest-France sur le site nantes.maville.com (lire par ailleurs) de « ne pas répondre » sur le thème Florès.

Pour lui, il s'agit des aléas de la vie d'entreprise. Mais le big boss de la maison jaune ne se sépare pas seulement de son directeur général. Il rompt aussi avec son principal partenaire dans le processus de reprise entériné le 25 juin dernier. Pour beaucoup, Alain Florès, a apporté l'affaire « sur un plateau » à l'ex PDG de Cornéal, en préparant le terrain au plan économique et politique, tout en travaillant le montage en liaison avec Natixis, la banque d'affaires du groupe Dassault, l'ex actionnaire majoritaire. Mais une fois le deal réalisé, l'ancien bras droit de Guy Scherrer et Waldemar Kita ne se sont plus entendus. Pas de véritable clash, a priori. Juste une conception antagonique et par conséquent rédhibitoire du management, l'un étant adepte de la délégation quand l'autre entendrait tout décider en personne.

Victime du cercle rapproché ?

Cette séparation est d'ailleurs sa décision. Néanmoins, Alain Florès a peut-être aussi été victime du jeu de l'ombre de la garde rapprochée de WK. Car s'il n'aime pas déléguer, le successeur de Rudi Roussillon s'entoure de conseillers dont l'allégeance ne diminue pas l'influence. Si le spectre des recommandations de Claude Robin et Christian Larièpe semble bien défini, celui de Franck Kita, son fils, de Pascal Praud, son conseiller en marketing et communication, de Jean Imhoff, son ami d'enfance récemment propulsé à la tête de l'association, ou encore de Michel Chéron, qui était son page chez Cornéal, peut plus facilement s'étendre. Il n'est ainsi pas interdit de penser que la présence d'Alain Florès dans le cercle rapproché du patron, alors que leur relation sent encore la peinture fraîche, ne faisait pas l'unanimité. A fortiori quand la position du nouveau venu dans l'aréopage est aussi enviable. On peut d'ailleurs se demander qui va désormais occuper le fauteuil vacant ? Michel Chéron a le profil. À moins que Waldemar Kita n'endosse le costume de président-directeur général.

Les supporters et les salariés observeront en tout cas la suite de la partie de puzzle avec beaucoup d'attention. Car au-delà de la valse des étiquettes, c'est la conception qu'a Waldemar Kita du business, de l'entreprise, de son organisation et de son animation qui transparaît.

Pierre-Yves ANSQUER.
Ouest-France

Pas sûr du tout que ce soit une bonne nouvelle

Kita à cœur ouvert : http://www.nantes.maville.com/FC-Nantes-Kita-a-coeur-ouvert/re/actudet/actu_spo-483891-----_actu.html

Ils l'ont opéré quand ?

Vinny a écrit:Ils l'ont opéré quand ?

on se croirait a frequenstar , c est boyer qu a fait l interview ?
il est franc le kita et sait ce qu il veut , esperont que ca march car c est allechant .

En tout cas il a de bon raisonnement de chef d'entreprise, sa façon de penser semble basée sur la logique et la cohérence ce qui était loin d'être le cas de ses prédécesseurs qui était plutôt dans la flaterie du public et la communication.
Je pense qu'il va réussir, cela peut prendre un peu de temps mais il va réussir à nous en faire un club de bon niveau de ligue 1 voire plus.

lulu la nantaise a écrit:En tout cas il a de bon raisonnement de chef d'entreprise, sa façon de penser semble basée sur la logique et la cohérence ce qui était loin d'être le cas de ses prédécesseurs qui était plutôt dans la flaterie du public et la communication.
Je pense qu'il va réussir, cela peut prendre un peu de temps mais il va réussir à nous en faire un club de bon niveau de ligue 1 voire plus.

en plus lui au moins quand on pose une question il repond , pas comme un certain beau parleur .

Sur radio littoral ou je ne sais plus quoi ce matin, ils tranmettaient une info apportée par un spectateur de Guingamp - Nantes, comme quoi après le déploiement de la banderole concernant les licenciements au sein du club, Kita et Lariepe serait descendu voir les supporters de manière assez aggressive, Larièpe en étant même venu aux mains avec l'un d'entre eux...info ou intox d'un auditeur, quelqu'un a-t-il fait le déplacement et pourrait-il confirmer ou infirmer.

Ca chauffe à Nantes entre les ultras et Kita



Quand les supporters dérapent



Pendant le match, la BL a exprimé sa désapprobation durant le match en
exhibant une banderole où l'on pouvait lire : sous le sapin, 23
licenciés ! (allusion au prochain plan social). Ensuite, des supporters
nantais, identifiés par des témoins comme membres de ladite BL, ont
dérapé, chahutant, insultant et menaçant Waldemar Kita. Ce qui s'est
passé est très, très grave, analyse avec recul le président du FC
Nantes. Ils sont allés trop loin. Heureusement qu'il y avait la
sécurité du stade, sinon, je pense qu'ils m'auraient bouffé... il faut
prendre cette situation très au sérieux sinon, un jour, il y aura un
blessé, voire plus. Pour l'heure, le patron des canaris devrait déposer
plainte. Et s'il s'ensuivait des interdictions de stade ?


Presse Océan du Lundi 24 décembre 2007.



Réponse de la Brigade Loire



Suite aux accusations de M. Kita à son encontre (article de Presse-Océan ci-dessous), la Brigade Loire tient à réagir.



Monsieur Kita,



Oui, la Brigade Loire, tel un garde-fou, a toujours lutté contre ceux qui, à ses yeux, agissaient contre les intérêts du FCN ;

Oui, la Brigade Loire est coutumière des banderoles revendicatives,
corrosives mais toujours correctes, et ce sur des sujets tels que
l'histoire et les valeurs du FCN, les stratégies vouées à l'échec, les
horaires des matches, etc ;
Oui, la Brigade Loire, comme c'est le cas depuis plusieurs années, a
continué d'annoncer à l'avance les textes de ses banderoles à son
interlocuteur au sein du club ;
Mais oui, depuis votre arrivée, plus aucune d'entre elles ne peut être
sortie, qu'elle soit nominative ou non, et ce, malgré leur contenu
respectueux et le suivi scrupuleux des règles établies ;
Oui, ces décisions sont arbitraires, unilatérales et dignes de méthodes
où l'échange d’idées et les concessions n’existent pas !


Alors :



Non, nous ne ferons pas toujours ce que vous attendez de nous ;

Oui, nous continuerons de faire notre travail de supporters ;

Oui, nous préférons garder notre toute relative liberté, malgré les offres ;

Oui, malgré qu'elles aient été annoncées et autorisées, certaines de
nos banderoles ont été brûlées par des stadiers nantais, derrière la
tribune, au cours du match Guingamp-FCN ;
Oui, comme toujours, nous ne jugerons les dirigeants que sur leurs
actes et leur travail, et pas sur leurs paroles et leurs interviews.
Nous ne pouvons donc que regretter cette omniprésence médiatique,
souvent discutable. Les résultats, le moment venu, n'en seront que plus
appréciés.


Et, pour information :



Non, la Brigade Loire n'était pas là au moment de l'incident rapporté puisque ses deux cars étaient déjà partis de Guingamp.



Nous conseillons donc aux dirigeants nantais de demander au responsable
de la sécurité nantaise présent à Guingamp ce qu'il pense de la Brigade
Loire.
Nous leur conseillons de se renseigner auprès des stadiers nantais des
tenants et aboutissants, des raisons réelles, insignifiantes et plutôt
courageuses, de ces accrochages. Et mieux, de tenir compte des
remarques qu’ils entendront.
Messieurs les dirigeants, ne vous trompez pas. Nous ne serons pas
toujours d'accord avec vous, mais le jour où nous viendrons à nous
opposer à vous, vous le saurez !


Nous serions donc reconnaissants aux dirigeants nantais de bien vouloir
revoir leur copie sur les responsables de cette pseudo-altercation,
avant de parler de plainte et de nommer la Brigade Loire. Nous n'en
doutons pas, ceci relève d'une réelle méconnaissance du sujet. Nous ne
souhaiterions pas que l'exemple d'un divin chauve, récemment passé par
Nantes, soit suivi. Car lui aussi a tenté de diaboliser les supporters
nantais, et donc la Brigade Loire, souvent pointée du doigt comme le
coupable idéal. Les plaintes, preuves et témoins promis semblent
pourtant s'être perdus à jamais. Le joueur concerné, lui, va bien. Il a
ainsi pu trouver la porte de sortie rêvée et retrouver une vie plus
calme, loin de la terrible pression du public nantais.


Pour finir, nous trouvons dommageable que, par excès "d’autoritarisme",
M. Kita change des règles, établies depuis longtemps, entre le club
(son représentant) et ses supporters. Ces règles avaient installé une
certaine stabilité dans nos relations. Une stabilité qui tend plutôt, à
l'heure actuelle, à s’effriter. Cet "interventionnisme" des dirigeants
place les interlocuteurs respectifs dans une situation délicate. Ce que
nous ne pouvons que regretter. Nous avions pourtant bien écouté ce que
vous aviez à nous dire, M. Kita. Et nous espérons donc une issue où
nous pourrons enfin travailler dans un climat propice à encourager
notre équipe. Equipe qui elle, sur la première partie de saison, a
rempli son rôle.


La Brigade Loire

Waldemar Kita, le président du FC Nantes, a expliqué par le biais d’un communiqué les raisons qui l’ont poussé à déposer plainte contre X pour menaces de mort et insultes.

Le communiqué
Les évènements qui se sont produits à Guingamp samedi soir à l’issue du match sont suffisamment graves pour qu’ils justifient la plainte contre X pour menaces de mort et insultes que le FCN a déposée ce jour au commissariat de Waldeck-Rousseau. Une trentaine de jeunes gens m’ont agressé verbalement d’abord, physiquement ensuite à la sortie du vestiaire du stade du Roudourou au moment où je regagnai mon véhicule. Leur motif de colère tient dans le plan social annoncé ces derniers jours. J’ai été surpris de la radicalité et de la violence des propos entendus : « le FCN est à nous. On a viré Dassault et Barthez. On vous fera la peau s’il le faut. » De nombreuses insultes ont suivi et je suis contraint de déplorer le caractère raciste de ces injures. Il a fallu la détermination des forces de l’ordre et la sécurité du club de Guingamp pour stopper ce qui s’annonçait comme un passage à tabac. Je souligne également que Claude Robin, Christian Larièpe et Pascal Praud sont intervenus pour me sortir d’une situation qui devenait dangereuse.

Il n’est pas question de me laisser intimider par quelques personnes dont le comportement relève des tribunaux. Non le FCN n’appartient pas à une frange extrémiste de jeunes gens qui utilise la terreur comme méthode et l’insulte comme langage. Je ne cèderai à aucune injonction violente qui chercherait à dénaturer le travail de reconstruction de la maison jaune que j’ai entrepris depuis le mois d’août. Il y a urgence à agir. Chacun s’accorde à le dire. Depuis samedi, je reçois un grand nombre d’encouragements d’amis du FCN qui m’assurent de leur soutient. L’attitude inadmissible d’une poignée d’excités que je refuse de qualifier de supporters ne changera rien à ma volonté de rénovation.

Waldemar Kita

Une nouvelle frange d'abruti d'extrème gauche après les abrutis d'extrème droite, on aura fait le tour...

Le jour où le FCN sera en Ligue 1 à jouer les premiers rôles ( suppositions ^^) grâce aux actions de Mr Kita, ce seront les premiers à le considérer comme un Dieu.
Qu'ils lui foutent le laisse faire son travail. Ce ne sont pas des pseudo supporters qui vont lui apprendre la gestion d'une entreprise.

« le FCN est à nous. On a viré Dassault et Barthez. On vous fera la peau s’il le faut. »

A ce que je vois, la tête de certain n'a encore pas dégonflé.

shikamaru a écrit:Le jour où le FCN sera en Ligue 1 à jouer les premiers rôles ( suppositions ^^) grâce aux actions de Mr Kita, ce seront les premiers à le considérer comme un Dieu.
Qu'ils lui foutent le laisse faire son travail. Ce ne sont pas des pseudo supporters qui vont lui apprendre la gestion d'une entreprise.

« le FCN est à nous. On a viré Dassault et Barthez. On vous fera la peau s’il le faut. »

A ce que je vois, la tête de certain n'a encore pas dégonflé.

lulu la nantaise a écrit:Une nouvelle frange d'abruti d'extrème gauche après les abrutis d'extrème droite, on aura fait le tour...

Des supporters ont témoignés et ont dit que Christian Larièpe a fait un plauqage sur un supporter

Ils étaient moins agités quand c'était Gripond, et c'est bien dommage...

Oui enfin faut quand même faire attention, car on ne sait pas vraiment ce qui c'est passé. Lors de l'affaire Barthez (même si affaire est un bien grand mot), on avait appris plus tard qu'en fait il ne s'était rien passé, donc rien ne dis que cette fois-ci, c'est différent. Mais bien sûr si ça c'est réellement passé, ben ça confirme juste qu'il y a des crétins dans tous les clubs

Coluche a écrit:Oui enfin faut quand même faire attention, car on ne sait pas vraiment ce qui c'est passé. Lors de l'affaire Barthez (même si affaire est un bien grand mot), on avait appris plus tard qu'en fait il ne s'était rien passé, donc rien ne dis que cette fois-ci, c'est différent. Mais bien sûr si ça c'est réellement passé, ben ça confirme juste qu'il y a des crétins dans tous les clubs

Ouais, mais il n'y a pas de fumée sans feu, et tu as lu les déclarations anti-Kita de la BL

Phébus a écrit:

Coluche a écrit:Oui enfin faut quand même faire attention, car on ne sait pas vraiment ce qui c'est passé. Lors de l'affaire Barthez (même si affaire est un bien grand mot), on avait appris plus tard qu'en fait il ne s'était rien passé, donc rien ne dis que cette fois-ci, c'est différent. Mais bien sûr si ça c'est réellement passé, ben ça confirme juste qu'il y a des crétins dans tous les clubs

Ouais, mais il n'y a pas de fumée sans feu, et tu as lu les déclarations anti-Kita de la BL

Oui j'ai tout lu, mais on disait la même chose lors de "l'affaire" Barthez. Je me souviens qu'un supporter manceau nous avaient traité de salaud, et plus tard on avait vu que la vérité était tout autre. Je ne dis pas qu'il ne c'est rien passé, mais comme je n'y étais pas...

Coluche a écrit:

Phébus a écrit:

Coluche a écrit:Oui enfin faut quand même faire attention, car on ne sait pas vraiment ce qui c'est passé. Lors de l'affaire Barthez (même si affaire est un bien grand mot), on avait appris plus tard qu'en fait il ne s'était rien passé, donc rien ne dis que cette fois-ci, c'est différent. Mais bien sûr si ça c'est réellement passé, ben ça confirme juste qu'il y a des crétins dans tous les clubs

Ouais, mais il n'y a pas de fumée sans feu, et tu as lu les déclarations anti-Kita de la BL

Oui j'ai tout lu, mais on disait la même chose lors de "l'affaire" Barthez. Je me souviens qu'un supporter manceau nous avaient traité de salaud, et plus tard on avait vu que la vérité était tout autre. Je ne dis pas qu'il ne c'est rien passé, mais comme je n'y étais pas...

En tout cas je ne doute pas que la frange extremme des supporters Nantais est capable de menace de mort et de coup, j'en ai aucun doute, mais comme toi on ne sait pas ce qui s'est réellement passé, on verra bien, j'ai pas du tout envie de défendre Kita non plus.

Coluche a écrit:

Phébus a écrit:

Coluche a écrit:Oui enfin faut quand même faire attention, car on ne sait pas vraiment ce qui c'est passé. Lors de l'affaire Barthez (même si affaire est un bien grand mot), on avait appris plus tard qu'en fait il ne s'était rien passé, donc rien ne dis que cette fois-ci, c'est différent. Mais bien sûr si ça c'est réellement passé, ben ça confirme juste qu'il y a des crétins dans tous les clubs

Ouais, mais il n'y a pas de fumée sans feu, et tu as lu les déclarations anti-Kita de la BL

Oui j'ai tout lu, mais on disait la même chose lors de "l'affaire" Barthez. Je me souviens qu'un supporter manceau nous avaient traité de salaud, et plus tard on avait vu que la vérité était tout autre. Je ne dis pas qu'il ne c'est rien passé, mais comme je n'y étais pas...

Ouais, ben t'avais qu'à y être, na !