La révolution Kita est en marche

Coluche a écrit:Par contre il a raison au sujet de la formation. il est urgent de travailler sur la formation. Quand on voit que dans l'équipe type actuelle, il n'y a que Guillon et Da Rocha qui ont été formé à Nantes

thrawn a écrit:

Coluche a écrit:Par contre il a raison au sujet de la formation. il est urgent de travailler sur la formation. Quand on voit que dans l'équipe type actuelle, il n'y a que Guillon et Da Rocha qui ont été formé à Nantes

Pas étonnant après toutes les braderies de ces dernières années.

Payet, Faé, Toulalan sont sorti d'où? Le jeune Vainqueur me semblait pas trop mal avant de se blesser.

Coluche a écrit:

thrawn a écrit:

Coluche a écrit:Par contre il a raison au sujet de la formation. il est urgent de travailler sur la formation. Quand on voit que dans l'équipe type actuelle, il n'y a que Guillon et Da Rocha qui ont été formé à Nantes

Pas étonnant après toutes les braderies de ces dernières années.

Payet, Faé, Toulalan sont sorti d'où? Le jeune Vainqueur me semblait pas trop mal avant de se blesser.

Oui mais à part ces 4 joueurs que tu cites, combien d'autres se sont avérés de bons joueurs ces 10 dernières années

Foxy a écrit:

Coluche a écrit:

thrawn a écrit:

Coluche a écrit:Par contre il a raison au sujet de la formation. il est urgent de travailler sur la formation. Quand on voit que dans l'équipe type actuelle, il n'y a que Guillon et Da Rocha qui ont été formé à Nantes

Pas étonnant après toutes les braderies de ces dernières années.

Payet, Faé, Toulalan sont sorti d'où? Le jeune Vainqueur me semblait pas trop mal avant de se blesser.

Oui mais à part ces 4 joueurs que tu cites, combien d'autres se sont avérés de bons joueurs ces 10 dernières années

Y' a lui , truc , çui-là , bidule et sans parler d' l' autre ... C' est déjà pas mal j' trouve ...

Foxy a écrit:

Coluche a écrit:

thrawn a écrit:

Coluche a écrit:Par contre il a raison au sujet de la formation. il est urgent de travailler sur la formation. Quand on voit que dans l'équipe type actuelle, il n'y a que Guillon et Da Rocha qui ont été formé à Nantes

Pas étonnant après toutes les braderies de ces dernières années.

Payet, Faé, Toulalan sont sorti d'où? Le jeune Vainqueur me semblait pas trop mal avant de se blesser.

Oui mais à part ces 4 joueurs que tu cites, combien d'autres se sont avérés de bons joueurs ces 10 dernières années

Y' a lui , truc , çui-là , bidule et sans parler d' l' autre ... C' est déjà pas mal j' trouve ...

Foot - L1 - Nantes - Kita reparle du manager
[Le président Kita doit se résoudre à la patience, malgré tous ses investissements.]

Deux journées de Championnat ont suffi à convaincre Waldemar Kita de la nécessité d'encadrer Michel Der Zakarian d'un manager général qui aurait la charge de «régler tous les problèmes d'ordre sportif et mental» susceptibles d'intervenir durant la saison. Le président du FC Nantes n'a que modérément apprécié le match nul de son équipe contre Monaco (1-1) samedi, tout en continuant à assurer que son entraîneur n'est pas en danger.

«On me pose la question toutes les semaines, mais pour l'instant il est là, nous a-t-il confié. On verra par la suite comment on peut s'organiser et dialoguer en bonne intelligence. Personnellement, je suis persuadé qu'il faut quelqu'un capable de gérer l'entraîneur et les joueurs, mais le problème, c'est que la France n'est pas habituée à ce type de management. Par respect pour leurs collègues, certains refusent cette fonction, sans voir de façon logique ce qu'ils pourraient nous apporter». Début juillet, le nom d'Henri Michel avait été évoqué pour occuper le poste, mais «ce n'est plus d'actualité». Celui-ci l'avait refusé, car «il ne le sentait pas», selon ses propres termes. «Pour les raisons que j'ai évoquées précédemment, mais aussi parce qu'on n'a pas réussi à se mettre d'accord sur ses conditions salariales», nuance le dirigeant nantais.

Kita l'admet : il «faudra du temps»
Au-delà de la question du management, le président Kita explique le début de saison décevant des Canaris par «un manque d'adaptation» des recrues estivales. Le revers de la médaille, en somme. Alors qu'il vantait un mercato ambitieux symbolisé par l'arrivée du Croate Ivan Klasnic, le Franco-Polonais est désormais obligé de reconnaître qu'il «faudra du temps» pour que son désir de voir du beau jeu à la Beaujoire soit exaucé. «Malheureusement, en Ligue 1, on n'en a pas beaucoup, souligne-t-il. Six éléments sont arrivés et certains ne parlent même pas encore français. Ils doivent encore prendre leurs repères». L'homme d'affaires ne manque pas non plus de rappeler que pour voir du beau football, «il faut être deux». «On ne peut pas dire que Monaco a bien joué. Nous non plus, mais ça viendra. Il y a un vrai écart entre la première et la deuxième division. Ça va plus vite et c'est beaucoup plus technique. Il ne faut pas oublier par où on est passé la saison dernière». Sous-entendu, ne pas oublier que Nantes, malgré son passé glorieux, est encore en phase s'apprentissage. Au même titre que Le Havre et Grenoble, les deux autres promus.

Kita a des regrets, mais pas encore d'inquiétude. «La mayonnaise va prendre. Il ne peut pas en être autrement, insiste-t-il. Je ne sais pas encore comment, mais on va arriver». Interrogé sur la possibilité de renforcer le groupe d'ici le 31 août, il n'exclut pas l'hypothèse, mais «il faudra d'abord dégraisser». «J'ai cinq-six joueurs qui sont sous-contrat et si je ne m'en sépare pas, je ne pourrai prendre quelqu'un d'autre. J'ai beaucoup de respect pour eux et pour ce qu'ils ont fait pour le club, mais tout le monde ne peut pas jouer en L1. On cherche à arranger les choses gentiment»

Schillaci a écrit:J'l'avais parié, évidemment Kita ne peut s'empêcher de l'ouvrir après le match:

Foot - L1 - Nantes - Kita reparle du manager
[Le président Kita doit se résoudre à la patience, malgré tous ses investissements.]

Deux journées de Championnat ont suffi à convaincre Waldemar Kita de la nécessité d'encadrer Michel Der Zakarian d'un manager général qui aurait la charge de «régler tous les problèmes d'ordre sportif et mental» susceptibles d'intervenir durant la saison. Le président du FC Nantes n'a que modérément apprécié le match nul de son équipe contre Monaco (1-1) samedi, tout en continuant à assurer que son entraîneur n'est pas en danger.

«On me pose la question toutes les semaines, mais pour l'instant il est là, nous a-t-il confié. On verra par la suite comment on peut s'organiser et dialoguer en bonne intelligence. Personnellement, je suis persuadé qu'il faut quelqu'un capable de gérer l'entraîneur et les joueurs, mais le problème, c'est que la France n'est pas habituée à ce type de management. Par respect pour leurs collègues, certains refusent cette fonction, sans voir de façon logique ce qu'ils pourraient nous apporter». Début juillet, le nom d'Henri Michel avait été évoqué pour occuper le poste, mais «ce n'est plus d'actualité». Celui-ci l'avait refusé, car «il ne le sentait pas», selon ses propres termes. «Pour les raisons que j'ai évoquées précédemment, mais aussi parce qu'on n'a pas réussi à se mettre d'accord sur ses conditions salariales», nuance le dirigeant nantais.

Kita l'admet : il «faudra du temps»
Au-delà de la question du management, le président Kita explique le début de saison décevant des Canaris par «un manque d'adaptation» des recrues estivales. Le revers de la médaille, en somme. Alors qu'il vantait un mercato ambitieux symbolisé par l'arrivée du Croate Ivan Klasnic, le Franco-Polonais est désormais obligé de reconnaître qu'il «faudra du temps» pour que son désir de voir du beau jeu à la Beaujoire soit exaucé. «Malheureusement, en Ligue 1, on n'en a pas beaucoup, souligne-t-il. Six éléments sont arrivés et certains ne parlent même pas encore français. Ils doivent encore prendre leurs repères». L'homme d'affaires ne manque pas non plus de rappeler que pour voir du beau football, «il faut être deux». «On ne peut pas dire que Monaco a bien joué. Nous non plus, mais ça viendra. Il y a un vrai écart entre la première et la deuxième division. Ça va plus vite et c'est beaucoup plus technique. Il ne faut pas oublier par où on est passé la saison dernière». Sous-entendu, ne pas oublier que Nantes, malgré son passé glorieux, est encore en phase s'apprentissage. Au même titre que Le Havre et Grenoble, les deux autres promus.

Kita a des regrets, mais pas encore d'inquiétude. «La mayonnaise va prendre. Il ne peut pas en être autrement, insiste-t-il. Je ne sais pas encore comment, mais on va arriver». Interrogé sur la possibilité de renforcer le groupe d'ici le 31 août, il n'exclut pas l'hypothèse, mais «il faudra d'abord dégraisser». «J'ai cinq-six joueurs qui sont sous-contrat et si je ne m'en sépare pas, je ne pourrai prendre quelqu'un d'autre. J'ai beaucoup de respect pour eux et pour ce qu'ils ont fait pour le club, mais tout le monde ne peut pas jouer en L1. On cherche à arranger les choses gentiment»

dancingjulio a écrit:

Schillaci a écrit:J'l'avais parié, évidemment Kita ne peut s'empêcher de l'ouvrir après le match:

Foot - L1 - Nantes - Kita reparle du manager
[Le président Kita doit se résoudre à la patience, malgré tous ses investissements.]

Deux journées de Championnat ont suffi à convaincre Waldemar Kita de la nécessité d'encadrer Michel Der Zakarian d'un manager général qui aurait la charge de «régler tous les problèmes d'ordre sportif et mental» susceptibles d'intervenir durant la saison. Le président du FC Nantes n'a que modérément apprécié le match nul de son équipe contre Monaco (1-1) samedi, tout en continuant à assurer que son entraîneur n'est pas en danger.

«On me pose la question toutes les semaines, mais pour l'instant il est là, nous a-t-il confié. On verra par la suite comment on peut s'organiser et dialoguer en bonne intelligence. Personnellement, je suis persuadé qu'il faut quelqu'un capable de gérer l'entraîneur et les joueurs, mais le problème, c'est que la France n'est pas habituée à ce type de management. Par respect pour leurs collègues, certains refusent cette fonction, sans voir de façon logique ce qu'ils pourraient nous apporter». Début juillet, le nom d'Henri Michel avait été évoqué pour occuper le poste, mais «ce n'est plus d'actualité». Celui-ci l'avait refusé, car «il ne le sentait pas», selon ses propres termes. «Pour les raisons que j'ai évoquées précédemment, mais aussi parce qu'on n'a pas réussi à se mettre d'accord sur ses conditions salariales», nuance le dirigeant nantais.

Kita l'admet : il «faudra du temps»
Au-delà de la question du management, le président Kita explique le début de saison décevant des Canaris par «un manque d'adaptation» des recrues estivales. Le revers de la médaille, en somme. Alors qu'il vantait un mercato ambitieux symbolisé par l'arrivée du Croate Ivan Klasnic, le Franco-Polonais est désormais obligé de reconnaître qu'il «faudra du temps» pour que son désir de voir du beau jeu à la Beaujoire soit exaucé. «Malheureusement, en Ligue 1, on n'en a pas beaucoup, souligne-t-il. Six éléments sont arrivés et certains ne parlent même pas encore français. Ils doivent encore prendre leurs repères». L'homme d'affaires ne manque pas non plus de rappeler que pour voir du beau football, «il faut être deux». «On ne peut pas dire que Monaco a bien joué. Nous non plus, mais ça viendra. Il y a un vrai écart entre la première et la deuxième division. Ça va plus vite et c'est beaucoup plus technique. Il ne faut pas oublier par où on est passé la saison dernière». Sous-entendu, ne pas oublier que Nantes, malgré son passé glorieux, est encore en phase s'apprentissage. Au même titre que Le Havre et Grenoble, les deux autres promus.

Kita a des regrets, mais pas encore d'inquiétude. «La mayonnaise va prendre. Il ne peut pas en être autrement, insiste-t-il. Je ne sais pas encore comment, mais on va arriver». Interrogé sur la possibilité de renforcer le groupe d'ici le 31 août, il n'exclut pas l'hypothèse, mais «il faudra d'abord dégraisser». «J'ai cinq-six joueurs qui sont sous-contrat et si je ne m'en sépare pas, je ne pourrai prendre quelqu'un d'autre. J'ai beaucoup de respect pour eux et pour ce qu'ils ont fait pour le club, mais tout le monde ne peut pas jouer en L1. On cherche à arranger les choses gentiment»

c est son pognon , il paye les salaires , comme un patron s il n est pas satisfait il le dit , je suis d accord avec sa politique , les mots doux c est fini .le FCN est une entreprise et c est partout pareille .