Alonzo pas conservé

Schillaci a écrit:

Frolic a écrit:

Schillaci a écrit:On peut m'expliquer en quoi ça n'arrange pas Alonzo de conserver un salaire, même réduit, le temps de trouver un club? Ah oui c'est plus facile de signer sans transfert, mais vu que le club veut s'en débarrasser, il va le brader et si y'a vraiment un club intéressé, il pourra se tailler tranquillou. Bref, il raconte n'importe quoi.

ben c'est ce qu'il dit justement

Non, il dit que ça l'arrange pas d'accepter la baisse.

Frolic a écrit:

Schillaci a écrit:

Frolic a écrit:

Schillaci a écrit:On peut m'expliquer en quoi ça n'arrange pas Alonzo de conserver un salaire, même réduit, le temps de trouver un club? Ah oui c'est plus facile de signer sans transfert, mais vu que le club veut s'en débarrasser, il va le brader et si y'a vraiment un club intéressé, il pourra se tailler tranquillou. Bref, il raconte n'importe quoi.

ben c'est ce qu'il dit justement

Non, il dit que ça l'arrange pas d'accepter la baisse.

j'ai pas du lire le même article

Partout, j'ai lu que j'allais être viré, mais, en aucun cas, je n'ai dit que je voulais la guerre ni que je refuserais ces 40% et me mettrais à la faute. J'appartiens au FC Nantes, je vais accepter cette baisse, même si ça ne m'arrange pas.

Nico56 a écrit:S'il reste sous contrat c'est le club qui va décider où il part, c'est pour ça que ça l'arrange ptêtre pas.

Schillaci a écrit:

Frolic a écrit:

Schillaci a écrit:

Frolic a écrit:

Schillaci a écrit:On peut m'expliquer en quoi ça n'arrange pas Alonzo de conserver un salaire, même réduit, le temps de trouver un club? Ah oui c'est plus facile de signer sans transfert, mais vu que le club veut s'en débarrasser, il va le brader et si y'a vraiment un club intéressé, il pourra se tailler tranquillou. Bref, il raconte n'importe quoi.

ben c'est ce qu'il dit justement

Non, il dit que ça l'arrange pas d'accepter la baisse.

j'ai pas du lire le même article

Partout, j'ai lu que j'allais être viré, mais, en aucun cas, je n'ai dit que je voulais la guerre ni que je refuserais ces 40% et me mettrais à la faute. J'appartiens au FC Nantes, je vais accepter cette baisse, même si ça ne m'arrange pas.

C'est ce qu'il dit, non? T'as compris quoi, toi? J'pige pas.

Bertrand a écrit:L'intérêt du fcn, c'est qu'il parte.

« JE N'AI PAS HONTE DE MOI »
Aurélien CANOT (F365) - Mardi 23 juin 2009 - 14h23

Retour sur la saison du FC Nantes avec un Jérôme Alonzo qui ne devrait plus longtemps porter le maillot des Canaris. Lors de cette première partie, le gardien de 36 ans nous fait notamment part de sa fierté personnelle.

Jérôme Alonzo, qu'est-ce qui pourrait vous faire quitter Nantes ?
D'après ce que j'ai compris, je ne fais pas partie des plans pour la saison prochaine. Donc ce qui ferait bouger les choses, c'est une proposition concrète de contrat d'un autre club en France ou à l'étranger. Il faut que le challenge me plaise bien entendu. Mais le plus important dans tout ça, c'est que j'ai encore envie. Ce n'est pas un problème d'argent pour moi car même avec 40% en moins, je vivrais très bien (ndlr : les dirigeants nantais l'ont averti d'une diminution de son salaire). Ce n'est pas ma priorité, surtout à mon âge. L'argent, je n'en ai rien à foutre ! J'en ai gagné, tout va bien pour moi. Aujourd'hui, j'ai envie de m'éclater. J'ai eu une année difficile. J'avais l'espoir de faire partie de la mission remontée, ce qui n'est a priori pas le cas, mais ça n'empêche que j'ai encore deux ou trois belles années dans les jambes. Mon moteur principal sera le plaisir. Alors effectivement, si je suis troisième ou quatrième gardien à Nantes, mon plaisir sera forcément moins présent. C'est pour ça que je veux trouver un challenge qui me permettra de m'éclater.

N'avez-vous pas l'impression de revenir un an en arrière quand vous aviez quitté le PSG ?
C'est sûr que mardi prochain, ce ne sera pas la reprise la plus gaie de ma carrière. Après, est-ce que je dois prendre ça comme un retour en arrière ? Tous les joueurs qui partent dans un club qui est relégué connaissent un peu ça malheureusement. A la base, tu ne pars pas pour descendre. C'est ma première relégation en dix-sept ans de carrière, il fallait bien que ça m'arrive un jour. Mais je n'en perds pas le moral pour autant. Je suis déçu mais pas abattu ou quoi que ce soit. Car l'envie je l'ai toujours, et même encore plus qu'avant. Je sens que la fin approche donc je bouffe chaque match du mieux que je peux. Mon moteur, c'est l'envie, rien d'autre.

Considérez-vous l'attitude du FC Nantes envers vous, qui leur aviez promis de rester malgré la descente, comme un coup de poignard dans le dos ?
C'est vrai que je me suis positionné de manière officielle devant mes dirigeants avant même que nous soyons mathématiquement en L2. Fin avril précisément. Je leur avais dit à l'époque qu'il y avait une forte probabilité pour que ça se passe mal. Mais que si ça se passait mal, je serais là. Tout le monde était content mais ce milieu est un milieu où les vents tournent très vite. Et nous, joueurs, devons apprendre à vivre avec ça. C'est ça aussi la maturité. Il faut savoir avaler les couleuvres et rester digne. D'ailleurs, je n'en veux pas à mes dirigeants. Il y a des nécessités économiques en jeu, des choix sportifs aussi. Ce n'est pas moi qui décide. J'estime juste de mon côté avoir été loyal et je suis très content de la décision que j'avais prise. J'avais vraiment envie de rester. Mais tout va bien, il n'y aura jamais de guerre entre les dirigeants et moi. Et nous nous séparerons bons amis si nous devons nous séparer.

Cette situation vous inquiète-t-elle ?
Je vais reprendre l'entraînement. Il y a encore les mois de juillet et août. Et des clubs qui auront besoin d'un gardien expérimenté, il y en aura forcément. En L1, L2 et à l'étranger. Donc je ne suis pas du tout inquiet. Ma blessure contractée contre Sochaux est en train de se remettre parfaitement bien. Je ne suis pas parti en vacances pour faire de la rééducation tous les jours à Saint-Raphaël mais je m'éclate. Je me suis fait une bande de potes sur place, nous bossons tous ensemble et nous nous serrons les coudes. Donc je suis prêt. Nous ne sommes pas dans le monde des Bisounours. C'est une phrase à la mode mais c'est vrai : je ne serai pas doublure en L2 avec le FC Nantes. Ne serait-ce que parce qu'économiquement, ce n'est pas possible. Une décision intelligente sera prise en temps voulu. Mais ce n'est pas l'interview de mes adieux. Ça, ce sera pour plus tard.

« Pas là pour qu'on me fasse des papouilles sous la douche »

Tout ce que vous avez vécu depuis votre arrivée à Nantes, dans le domaine sportif comme extra-sportif et la malchance avec toutes ces blessures, ne vous donne-t-il pas envie de tourner la page Nantes avant même cette reprise ?
Ça, c'est une question que je me suis posé en mai. J'ai tout passé en revue dans ma tête et c'est là que mon ego a joué : je me suis dit que j'avais certes connu des moments difficiles mais que je ne voulais pas rester sur un échec. C'est ma première relégation, je veux remonter de suite, c'était ça mon état d'esprit en mai. Mon ego me disait de ne pas m'en aller là-dessus. Pour mes parents, mes amis, c'est interdit, je n'ai pas le droit. Ensuite malheureusement, si cette page doit un jour se tourner, ce n'est pas moi qui la tournerai. Je subis les événements plus que je ne les provoque.

Durant cette saison passée à Nantes, votre solide carcasse a-t-elle été réellement entaillée ?
Oui, ne serait-ce que physiquement. En sept ans au PSG, je me suis blessé deux fois. Là, en dix mois à Nantes, j'ai eu cinq blessures. Mais j'ai quand même fait 28 matchs. Pour un mec de 36 ans, ce n'est pas honteux ! C'est vrai aussi que j'ai joué deux matchs que je n'aurais pas dû jouer. Je n'ai pas été mauvais lors de ces deux matchs mais je les joue en souffrance et ils ne me rendent pas service pour la suite.

Comment avez-vous fait ?
J'ai serré les dents et je n'ai rien dit, personne ne l'a jamais su d'ailleurs. Quand on pointe du doigt mon physique et mon âge, je dis donc oui et non. Car des phénomènes comme Olivier Echouafni, qui a mon âge et a joué 38 matchs, il n'y en a pas beaucoup. Chez les gardiens, c'est différent : Greg Coupet ne se blesse jamais, Greg Wimbée ne s'est pas beaucoup blessé non plus. Teddy Richert aussi mais ça commence un peu. Mais c'est normal. Pour revenir à mes matchs, je sors 28 matchs et plus de bons que de mauvais pour être honnête. Donc si on parle uniquement sur le plan personnel, je ne considère pas cette saison 2008-09 comme une catastrophe. Collectivement oui, évidemment. Mais moi, je n'ai pas du tout honte de moi.

Et humainement ?
Pour être honnête, quand tu vis une relégation, il y a forcément des moments difficiles. Mais sans être démago, notre vestiaire a connu des difficultés mais il n'était pas aussi pourri que ce qu'on a bien voulu le dire. A un moment donné, on s'est fait un plaisir de montrer le vestiaire nantais du doigt car il y a eu la bagarre Abdoun-Babovic, des conflits Kita-Bagayoko ou que les nouveaux auraient soi disant été mal accueillis. Alors ok, je n'ai pas reçu un collier de fleurs en arrivant. Mais je m'en bats les couilles de ça. Moi, je ne suis pas là pour qu'on me fasse les papouilles sous la douche, il faut arrêter les conneries. Oui, il y a des matins où c'était dur. Mais ce n'est pas le FC Nantes qui me rebutait. Car putain, qu'est-ce que je suis fier d'avoir porté ce maillot ! C'est un grand club en France, nous sommes tous d'accord sur ça. Nous nous sommes plantés à un moment de la saison, tous.

Moi, je ne suis pas là pour qu'on me fasse les papouilles sous la douche

force-jaune-verte a écrit:

Car putain, qu'est-ce que je suis fier d'avoir porté ce maillot ! C'est un grand club en France, nous sommes tous d'accord sur ça.

C'était un grand club...mais une phrase comme ça

Jérôme Alonzo, comment expliquez-vous la descente aux enfers du FC Nantes ?
Peut-être que nous ne nous sommes pas dit les choses assez vite. Ces fameuses réunions où l’on doit se parler mais où rien ne sort. Peut-être que nous nous sommes dit aussi trop tard : « Merde, ça pue ! » Mais moi le premier, car j’étais persuadé que nous allions nous sauver. Mais vraiment persuadé. Fin janvier, nous étions onzièmes. En quatre mois, il nous manquait quatre victoires, faut pas déconner quand même ! C’est la vérité. D’ailleurs, je l’ai dit haut et fort. Mais j’ai aussi dit que si nous pensions et agissions comme si nous étions déjà sauvés, nous étions morts. Nous nous sommes un peu laissés vivre, mais nous n’avons pas non plus été Le Havre, qui a eu un parcours difficile de bout en bout. Mais aucun matin je n’ai été écoeuré. En plus, la Jonelière est un super endroit. J’étais content d’y aller et j’ai même passé des journées entières à y faire de la « muscu » ou des séances de kiné. J’aimais vraiment beaucoup y aller.

Comment avez-vous pris les critiques de vos dirigeants, qui estiment que vous auriez pu davantage vous impliquer au niveau du groupe et du vestiaire ?
Déjà ça, ils ne me l’ont pas dit en face. Maintenant, on m’a souvent rapporté leurs propos. Et j’ai une chose à dire : s’ils pensent vraiment ça, alors c’est qu’il y a eu vraiment erreur de casting. Car s’ils pensent vraiment ça, il fallait prendre « Super Nanny ». Moi, je n’ai pas vocation à être « Super Nanny », donc j’ai fait ce que j’ai pu à ce niveau-là. Et je n’ai aucun regret là-dessus. J’ai même plutôt fait profil bas. Cela faisait deux ans que je ne jouais pas à Paris, donc je ne suis pas arrivé en faisant le fanfaron. J’aurais peut-être pu le faire davantage, je ne sais pas. Mais, autant si tu me parles de deux ou trois buts sur lesquels j’aurais pu sortir ou faire autre chose, je suis d’accord, autant si tu me parles de mon attitude, je me regarde en face. Mais alors tous les jours.

Etait-ce facile de prendre la parole dans ce vestiaire où tout le monde semblait vouloir se mettre en avant ?
C’est pour ça que j’ai fait profil bas. Qu’est-ce que tu veux faire ? Monter sur la table et crier : « Je suis plus fort que tout le monde, je suis le plus beau, j’ai joué au PSG pendant sept ans. » Non ! Après, tout est discutable, mais ce que je regrette surtout c’est que si on avait un grief envers moi, on vienne me le dire en mai. J’aurais préféré qu’on me le fasse savoir en novembre. Si ça n’allait pas, que ce soit pour Jérôme Alonzo ou Mamadou Bagayoko et Aurélien Capoue, mes potes et aussi les grandes gueules du groupe, il ne fallait pas nous le dire en mai. Moi si j’ai un joueur dont le placement sur les corners ne me convient pas, je ne vais pas lui dire en mai, je vais lui dire après le match. Quand on pense des choses, il faut les dire. C’est cette incapacité à se dire les choses, de joueur à joueur ou de dirigeant à joueur, qui a conduit à notre relégation.

« J’aurai envie un jour de retourner au PSG, ce n’est pas un secret »

Votre président, Waldemar Kita, aurait-il dû taper sur la table plus qu’il ne l’a fait, selon vous ?
Aujourd’hui, c’est quelqu’un qui en prend plein la gueule, de partout. Personnellement, je n’ai aucun souci avec Waldemar. C’est lui le boss donc il fait évidemment partie des gens qui ont décidé que je ne ferais a priori pas partie de l’aventure la saison prochaine, mais je n’ai aucune haine envers lui. Ça fait mal au bide et ça me vexe évidemment car je suis un homme, mais ma carrière ne s’arrête pas là. Et puis il y a eu de bons moments malgré tout : des victoires, des bons nuls à l’extérieur… Ma carrière ne s’arrête pas à Sochaux sur cette blessure. Jamais de la vie ! C’est hors de questions ! Et si je les recroise dans les couloirs un jour, il n’y aura pas de bagarre ni rien. On se serrera la pince, on boira un café ensemble et basta. Je n’ai aucun problème avec ces hommes de pouvoir. Je l’ai toujours dit : Kita et Larièpe m’ont fait venir à Nantes à un moment où je n’avais pas beaucoup de propositions. Et, en retour, avec mes qualités et mes défauts, je leur ai été fidèle jusqu’au bout. Là est ma fierté.

Antoine Kombouaré souhaitait vous faire venir à Valenciennes lorsqu’il en était encore l’entraîneur. Aujourd’hui, il est l’entraîneur du PSG. Avez-vous pensé retrouver votre ami à Paris ?
Non, je me vois mal appeler Antoine et lui dire : « Prends moi ! » Je ne l’ai jamais fait de ma vie et je ne le ferai jamais. Ce qui est sûr c’est qu’il y a aujourd’hui au PSG un excellent gardien : Edel. C’est réellement un très très bon gardien, vraiment. Et si Coupet signe à Paris, ils feront tous les deux la plus belle paire de gardiens de L1. Donc, au moment où l’on parle, mon retour à Paris n’est pas le propos, ce serait déplacé. Mais tout le monde sait très bien que j’aurai un jour envie de retourner au PSG, ce n’est pas un secret. Qu’Antoine soit ou pas l’entraîneur. J’aurais adoré bossé avec lui, peut-être que je le ferai un jour comme entraîneur des gardiens, qui sait. Mais, aujourd’hui, Paris ne constitue pas une piste.

Mais qu’a-t-il de particulier cet Edel Apoula en beaucoup de ses coéquipiers actuels voient le futur gardien n°1 du PSG ?
Je suis d’accord. J’aurais adoré bosser avec lui, même en tant que doublure, pour le mettre dans le bain. Ça c’est un truc qui m’aurait vraiment branché, car c’est un garçon charmant, bien élevé et ponctuel. Il a toutes les qualités pour réussir. En revanche, il n’a pas 19 ans. Et pour son épanouissement personnel, il va vite falloir qu’il se passe un truc. Mais il le sait. Pour le moment, il est très patient. Je l’aime beaucoup car il ne fait pas de bruit et ses commentaires sont pertinents à chaque fois.

« Je crève d’envie de rejouer en L1 »

Au niveau des qualités que peut avoir un gardien, qu’a-t-il qui permette aujourd’hui de lui promettre une grande carrière ?
Il a tout : le calme, le flegme, la prise de balle, la vista, le jeu aux pieds et le mental. A partir de là, ça sera à confirmer sur une saison entière, comme pour tout gardien qui se lance. Mais moi je mets une petite pièce sur lui.

Pour en revenir à votre avenir, pensez-vous que les portes de la L1 puissent de nouveau s’ouvrir à vous ?
J’ai une qualité, c’est de savoir ce que je vaux. Il y a actuellement une valse des gardiens et je n’en fais pas partie aujourd’hui. Parce qu’il y a du plus jeune et du meilleur que moi. Mais ça ne veut pas dire que je renonce. Le top 7-8 ne m’est pas interdit mais est utopique. En revanche, je peux convenir au dixième de L1 jusqu’au dixième de L2. Ce qui fait quand même un panel de clubs assez intéressants. Par le biais du centre de rééducation que je fréquente à Saint-Raphaël, j’ai aussi noué beaucoup de relations. Depuis le temps que j’en parle, je finirai aussi peut-être un jour par me faire un petit « kif » à l’étranger, car je n’y ai toujours pas renoncé. Donc ça peut être beaucoup de choses, y compris le FC Nantes auquel j’appartiens toujours aujourd’hui.

Pensez-vous que vous auriez davantage de chances de jouer dans les meilleurs clubs de L1 aujourd’hui si vous n’aviez pas fermé beaucoup de portes dès le mois de mai ?
Non, mais je ne suis pas pessimiste, juste réaliste. Je n’ai pas fermé les portes car je voulais snober des gens. Je l’ai fait car, dans mon esprit, je restais à Nantes car nous étions descendus et que j’avais le devoir de rester envers le FC Nantes. Et puis, de toute façon, si des portes se sont fermées, je les réouvrirai, ce n’est pas grave. Je reste un garçon très ambitieux, mais raisonnable. Maintenant, c’est comme quand tu as un claquage et que tu dis que tu en as pour entre trois et huit semaines, c’est hypothétique. Evidemment, je crève d’envie de rejouer en L1. Mais le marché a commencé à bouger sans moi et, au niveau des contacts, j’ai un train de retard sur sept, huit collègues. J’ai un mois de retard sur tout le monde mais je suis très optimiste. Et n’en déplaise à ceux qui pensait que j’allais raccrocher, il va falloir me supporter encore un peu (rires). Sentir la pelouse et faire des putains d’arrêts, il n’y a que ça qui m’amuse et me fait bander (sic).

pissoffcake a écrit:c'est bien, c'est creux, un ou deux jurons à gauche à droite pour faire croire que ça vient du cœur, un ou deux passages revanchards... ce type c'est une tache qui allait très bien avec la majorité du groupe pro

Naldo a écrit: j'l'aime bien ce gars là moi....

Coluche a écrit:

Naldo a écrit: j'l'aime bien ce gars là moi....

Tu veux un mouchoir?

pissoffcake a écrit:c'est bien, c'est creux, un ou deux jurons à gauche à droite pour faire croire que ça vient du cœur, un ou deux passages revanchards... ce type c'est une tache qui allait très bien avec la majorité du groupe pro

Naldo a écrit:

pissoffcake a écrit:c'est bien, c'est creux, un ou deux jurons à gauche à droite pour faire croire que ça vient du cœur, un ou deux passages revanchards... ce type c'est une tache qui allait très bien avec la majorité du groupe pro

méeuhhhh t'arretes ..... c'est un tout bon le jéjé...

pissoffcake a écrit:

Naldo a écrit:

pissoffcake a écrit:c'est bien, c'est creux, un ou deux jurons à gauche à droite pour faire croire que ça vient du cœur, un ou deux passages revanchards... ce type c'est une tache qui allait très bien avec la majorité du groupe pro

méeuhhhh t'arretes ..... c'est un tout bon le jéjé...

je préférais touny