Les ultras bastiais ont le sens de l'humour...

[] [pleurire] [] [pleurire] [] [pleurire] [] [pleurire] [] [pleurire] [] [pleurire] [] [pleurire]

C'est pas les Ultras ajaccien plutot [?]

Nantais a écrit:C'est pas les Ultras ajaccien plutot [?]

[non] promis juré, faut dire que la relation équipe/supporters est très spéciale à Bastia [pff] (et pourtant ils devraient remonter direct s'ils continuent d'être aussi bons en L2 [mi] )

Ca aussi c'est énorme ! Du grand art ! [] Lisez plutôt :


LE DEBAT : QUEL AVENIR POUR LE SCB ???

LE SCENARIO IDEAL...

Le 6 mars 2004 le SCB reçoit l'OM pour la 27ème journée de L1. L'ambiance est électrique en Corse avant les élections territoriales. Plus que l'union des nationalistes, c'est la répression de Sarko qui a galvanisé les foules. Yvan Colonna s'est évadé, Edmond Simeoni et Jean Guy Talamoni sont arrêtés pour "non port de la ceinture à l'arrière d'un véhicule", I Muvrinisont dissous par la police, la Santa du Niolu est interdite par décret ministériel, Thierry Roland est dépêché en Corse pour présenter "Corsica Sera". Des manifestations monstres sont organisées dans les rues de Bastia et d'Aiacciu. Même "Corse Matin" se prononce en faveur de l'indépendance, du pétrole a été trouvé au large de Biguglia, Emile Zuccarelli pose en treillis dans Paris-Match et avoue "j'ai été sot, j'ai cru en la République, indipendenza sola sperenza !!!". Paul Natali décide de financer la lutte armée, le front se dote enfin de l'arme nucléaire. MTV passe le clip de "l'armata di l'ombra".

Bref, avant de recevoir l'OM la situation est tendue dans l'île. Finalement le match est maintenu, l'armée assurant la sécurité. La tribune Sud est réquisitionnée pour pouvoir contenir les militaires. Mais déjà les 1ères provocations : ceux-ci brandissent des écharpes aux couleurs de l'OM.

Le SCB encaisse 4 buts dans le 1er quart d'heure, dont 3 penalties et un but de l'arbitre. Les sièges commencent à voler sur la pelouse, la buvette "orangina" de la tribune Est est en flammes. Le match est interrompu quand le juge de touche s'écroule, il vient d'être abattu par un tireur embusqué dans la tribune de presse. À cet instant le match est retransmis en direct sur CNN. La pelouse est envahie aux cris de "GUERRRAAAAA !!!!" par une foule déchaînée qui brûle des drapeaux français, pendant que la sono diffuse en boucle "SO ELLI" à fond. Les joueurs de l'OM, mais également ceux du SCB sont pris à partie. Mickael Madar et Pascal Nouma (qui ont rejoint le Sporting au mercato) sont lapidés, Didier Drogba est égorgé, Fabien Barthez est kidnappé par des ex-militants du MPA. Alain Perrin sera pendu sur la place St Nicolas. Même Jo Bonavita est surpris en train de tichjer de coups le pauvre Greg Vanney. Seul survivant du massacre, Steve Marlet écrira un livre "ce que j'ai vécu à Furiani", qui deviendra un film, avec Guy Cimino dans le rôle de Gérard Gili. Un déséquilibré s'en prend à Christian Clavier qui était venu assister au match, avant la présentation de son film "l'enquête corse", le Régent Cinéma est également saccagé ce soir là. Le film ne sera plus projeté, Clavier fait faillite, il est viré de l'UMP et s'enfuit au Venezuela.

Le SCB est radié à vie par la FIFA, la loi martiale est instaurée en Corse, George Bush propose son aide à la france, Sarkozy est viré et muté à la circulation. Arnold Schwarzenegger devient administrateur de l'île. Kadhafi rejoint la clandestinité, place son fils à la tête de la Federazione Corsa di Ballò nouvellement créée, et déclare "d'ici 4 ans, la Corse jouera la coupe du monde de football".

È cusì sia...


LE SCENARIO CATASTROPHE


À l'issue de la saison 2003-04 le Sporting finit dernier du championnat, derrière Le Mans. La descente en L2 était inévitable, le SCB alignant 24 défaites consécutives. Pourtant l'équipe, remodelée au mercato, s'est bien battue. Mais les arrivées de Gaëtand Huard (pour remplacer Penneteau suspendu 4 ans pour avoir tiré les cheveux de Didier Deschamps), Gérald Passi et Ibrahima Bakayoko n’ont rien changé. Gérard Gili est viré, les dirigeants l’ont remplacé par Charles Pieri qui devient entraineur-joueur du SCB. C’est également lui qui tire les coups francs.

De toutes façons il n'y a plus d’engouement pour le SCB, il n’y a plus d’ambiance à Furiani qui est déserté par le public. Bon nombre d’accaniti se réjouissent d’une descente en L2. Malgré tout l'espoir demeure : des nouveaux groupes de supporters ont vu le jour en tribune ouest : les « amigo's supporters 2B », les « furiani’s dragons fair-play » et les « tifosos drakkar vikings rebelles for ever ». À noter la présence d’une sympathique fanfare à la lensoise qui joue des tubes style « i will survive », « le petit bonhomme en mousse » et « viens boire un p’tit coup à la maison ». La fanfare est sponsorisée par l’association corse des femmes de gendarmes. Avant chaque match une vibrante marseillaise est entonnée par le public debout. Un tifo à base de photos de Michel Platini a été organisé pour la venue du PSG. Un concert de Johnny Hallyday est organisé à chaque mi-temps. Des chenilles sont lancées en tribune EST par Philippe Risoli. Bastia est récompensé par la LFP pour le fair-play de son public. Jérôme Leroy déclare « il fait bon vivre à Furiani ! »

Testa Mora s’est auto dissous après qu’une violente charge de l’OM Club Corsica ait fait 17 blessés dans le camp bastiais.
Les footballeurs de l’ACA, irradiés par le Vaziu qui est devenu une centrale nucléaire, deviennent subitement bons. Mamadou Seck devient meilleur buteur de L1 avec 47 buts, David Faderne rejoint l’équipe de France et l’ACA finit champion. D’ailleurs les matches de l’équipe de France sont retransmis sur écran géant Place St Nicolas. Les commentaires sont assurés par Thierry Roland et Emile Zuccarelli, qui est déclaré « maire à vie » de Bastia. Pascal Praud devient président du Sporting, qui impose de jouer en jaune et bleu. Kulte et les poulets « Le Gaulois » deviennent sponsors maillot. Armand Cesari est rebaptisé « Stade Rolland Gransart ».
La situation dans l’île a bien changé, le climat s'est apaisé. On a cru un temps que les nationalistes allaient s'unir pour les territoriales. Ils vont finalement divisés en 14 listes aux élections. Ils n’auront bien sur aucun élu. Emile Zuccarelli fait la « farandole » sur le boulevard avec une camionette de la mairie en hurlant au mégaphone « ON A GAGNé !!!! ON A GAGNé !!!! ».

Edmond Simeoni a rejoint la liste de Paul Giacobbi, Jean Guy Talamoni met des survêts et fait campagne pour Toussaint Luciani. David Douillet devient le nouveau président de l’Assemblée de Corse. Alain Sars est devenu porte parole de Corsica Nazione. U Ribombu fait faillite et est racheté par L’Huma, Arritti devient un mensuel de coloriage pour enfants. L’Assemblée Territoriale vote à l’unanimité un amendement déclarant officiellement morte la langue corse. Un tunnel va être construit entre Calvi et Marseille. Des jeunes déclarent : « c’est génial, ce s’ra comme sur l’continent maint’nant ! » Les professionnels du tourisme sont contents, 14 millions de pumataghji viennent dans l’île cet été. La mafia russe achète la réserve de Scandula pour 1 euro symbolique. Le Niolu a été privatisé et acheté par le groupe Bouygues.

Surfant sur la vague anti-corse, Christian Clavier flambe avec d'autres films à succès : « Les Charlots contre le FLNC », « Les Bidasses font le GR20 », « Fantômas à la Cuncolta », ainsi que « La 7ème compagnie fait la sieste sous les châtaigniers », qui bat tous les records d’entrées en France.
Patrick Sébastien présente Corsica Sera avec un maillot de l’OM. Pierre-Jean Luccioni est devenu responsable gadgets de la BSN. Canta u Populu Corsu change son nom en « Songs of Kallisté » et sort un album live avec Pascal Obispo, L'Arcusgi représente la France à l'Eurovision. Des concerts géants « dance machine » sont organisés tous les samedis à l’Arinella.
PZD présente la météo sur TF1 et met des santiags, R’76 vit seul dans sa somptueuse villa avec ses 17 chiens, après avoir envisagé une carrière de motard Boutanche devient sosie officiel de Johnny Hallyday ainsi que recordman de participations au jeu "motus", et moi je suis devenu prof de gym.

L&o a écrit:Ca aussi c'est énorme ! Du grand art ! [] Lisez plutôt :


LE DEBAT : QUEL AVENIR POUR LE SCB ???

LE SCENARIO IDEAL...

Le 6 mars 2004 le SCB reçoit l'OM pour la 27ème journée de L1. L'ambiance est électrique en Corse avant les élections territoriales. Plus que l'union des nationalistes, c'est la répression de Sarko qui a galvanisé les foules. Yvan Colonna s'est évadé, Edmond Simeoni et Jean Guy Talamoni sont arrêtés pour "non port de la ceinture à l'arrière d'un véhicule", I Muvrinisont dissous par la police, la Santa du Niolu est interdite par décret ministériel, Thierry Roland est dépêché en Corse pour présenter "Corsica Sera". Des manifestations monstres sont organisées dans les rues de Bastia et d'Aiacciu. Même "Corse Matin" se prononce en faveur de l'indépendance, du pétrole a été trouvé au large de Biguglia, Emile Zuccarelli pose en treillis dans Paris-Match et avoue "j'ai été sot, j'ai cru en la République, indipendenza sola sperenza !!!". Paul Natali décide de financer la lutte armée, le front se dote enfin de l'arme nucléaire. MTV passe le clip de "l'armata di l'ombra".

Bref, avant de recevoir l'OM la situation est tendue dans l'île. Finalement le match est maintenu, l'armée assurant la sécurité. La tribune Sud est réquisitionnée pour pouvoir contenir les militaires. Mais déjà les 1ères provocations : ceux-ci brandissent des écharpes aux couleurs de l'OM.

Le SCB encaisse 4 buts dans le 1er quart d'heure, dont 3 penalties et un but de l'arbitre. Les sièges commencent à voler sur la pelouse, la buvette "orangina" de la tribune Est est en flammes. Le match est interrompu quand le juge de touche s'écroule, il vient d'être abattu par un tireur embusqué dans la tribune de presse. À cet instant le match est retransmis en direct sur CNN. La pelouse est envahie aux cris de "GUERRRAAAAA !!!!" par une foule déchaînée qui brûle des drapeaux français, pendant que la sono diffuse en boucle "SO ELLI" à fond. Les joueurs de l'OM, mais également ceux du SCB sont pris à partie. Mickael Madar et Pascal Nouma (qui ont rejoint le Sporting au mercato) sont lapidés, Didier Drogba est égorgé, Fabien Barthez est kidnappé par des ex-militants du MPA. Alain Perrin sera pendu sur la place St Nicolas. Même Jo Bonavita est surpris en train de tichjer de coups le pauvre Greg Vanney. Seul survivant du massacre, Steve Marlet écrira un livre "ce que j'ai vécu à Furiani", qui deviendra un film, avec Guy Cimino dans le rôle de Gérard Gili. Un déséquilibré s'en prend à Christian Clavier qui était venu assister au match, avant la présentation de son film "l'enquête corse", le Régent Cinéma est également saccagé ce soir là. Le film ne sera plus projeté, Clavier fait faillite, il est viré de l'UMP et s'enfuit au Venezuela.

Le SCB est radié à vie par la FIFA, la loi martiale est instaurée en Corse, George Bush propose son aide à la france, Sarkozy est viré et muté à la circulation. Arnold Schwarzenegger devient administrateur de l'île. Kadhafi rejoint la clandestinité, place son fils à la tête de la Federazione Corsa di Ballò nouvellement créée, et déclare "d'ici 4 ans, la Corse jouera la coupe du monde de football".

È cusì sia...


LE SCENARIO CATASTROPHE


À l'issue de la saison 2003-04 le Sporting finit dernier du championnat, derrière Le Mans. La descente en L2 était inévitable, le SCB alignant 24 défaites consécutives. Pourtant l'équipe, remodelée au mercato, s'est bien battue. Mais les arrivées de Gaëtand Huard (pour remplacer Penneteau suspendu 4 ans pour avoir tiré les cheveux de Didier Deschamps), Gérald Passi et Ibrahima Bakayoko n’ont rien changé. Gérard Gili est viré, les dirigeants l’ont remplacé par Charles Pieri qui devient entraineur-joueur du SCB. C’est également lui qui tire les coups francs.

De toutes façons il n'y a plus d’engouement pour le SCB, il n’y a plus d’ambiance à Furiani qui est déserté par le public. Bon nombre d’accaniti se réjouissent d’une descente en L2. Malgré tout l'espoir demeure : des nouveaux groupes de supporters ont vu le jour en tribune ouest : les « amigo's supporters 2B », les « furiani’s dragons fair-play » et les « tifosos drakkar vikings rebelles for ever ». À noter la présence d’une sympathique fanfare à la lensoise qui joue des tubes style « i will survive », « le petit bonhomme en mousse » et « viens boire un p’tit coup à la maison ». La fanfare est sponsorisée par l’association corse des femmes de gendarmes. Avant chaque match une vibrante marseillaise est entonnée par le public debout. Un tifo à base de photos de Michel Platini a été organisé pour la venue du PSG. Un concert de Johnny Hallyday est organisé à chaque mi-temps. Des chenilles sont lancées en tribune EST par Philippe Risoli. Bastia est récompensé par la LFP pour le fair-play de son public. Jérôme Leroy déclare « il fait bon vivre à Furiani ! »

Testa Mora s’est auto dissous après qu’une violente charge de l’OM Club Corsica ait fait 17 blessés dans le camp bastiais.
Les footballeurs de l’ACA, irradiés par le Vaziu qui est devenu une centrale nucléaire, deviennent subitement bons. Mamadou Seck devient meilleur buteur de L1 avec 47 buts, David Faderne rejoint l’équipe de France et l’ACA finit champion. D’ailleurs les matches de l’équipe de France sont retransmis sur écran géant Place St Nicolas. Les commentaires sont assurés par Thierry Roland et Emile Zuccarelli, qui est déclaré « maire à vie » de Bastia. Pascal Praud devient président du Sporting, qui impose de jouer en jaune et bleu. Kulte et les poulets « Le Gaulois » deviennent sponsors maillot. Armand Cesari est rebaptisé « Stade Rolland Gransart ».
La situation dans l’île a bien changé, le climat s'est apaisé. On a cru un temps que les nationalistes allaient s'unir pour les territoriales. Ils vont finalement divisés en 14 listes aux élections. Ils n’auront bien sur aucun élu. Emile Zuccarelli fait la « farandole » sur le boulevard avec une camionette de la mairie en hurlant au mégaphone « ON A GAGNé !!!! ON A GAGNé !!!! ».

Edmond Simeoni a rejoint la liste de Paul Giacobbi, Jean Guy Talamoni met des survêts et fait campagne pour Toussaint Luciani. David Douillet devient le nouveau président de l’Assemblée de Corse. Alain Sars est devenu porte parole de Corsica Nazione. U Ribombu fait faillite et est racheté par L’Huma, Arritti devient un mensuel de coloriage pour enfants. L’Assemblée Territoriale vote à l’unanimité un amendement déclarant officiellement morte la langue corse. Un tunnel va être construit entre Calvi et Marseille. Des jeunes déclarent : « c’est génial, ce s’ra comme sur l’continent maint’nant ! » Les professionnels du tourisme sont contents, 14 millions de pumataghji viennent dans l’île cet été. La mafia russe achète la réserve de Scandula pour 1 euro symbolique. Le Niolu a été privatisé et acheté par le groupe Bouygues.

Surfant sur la vague anti-corse, Christian Clavier flambe avec d'autres films à succès : « Les Charlots contre le FLNC », « Les Bidasses font le GR20 », « Fantômas à la Cuncolta », ainsi que « La 7ème compagnie fait la sieste sous les châtaigniers », qui bat tous les records d’entrées en France.
Patrick Sébastien présente Corsica Sera avec un maillot de l’OM. Pierre-Jean Luccioni est devenu responsable gadgets de la BSN. Canta u Populu Corsu change son nom en « Songs of Kallisté » et sort un album live avec Pascal Obispo, L'Arcusgi représente la France à l'Eurovision. Des concerts géants « dance machine » sont organisés tous les samedis à l’Arinella.
PZD présente la météo sur TF1 et met des santiags, R’76 vit seul dans sa somptueuse villa avec ses 17 chiens, après avoir envisagé une carrière de motard Boutanche devient sosie officiel de Johnny Hallyday ainsi que recordman de participations au jeu "motus", et moi je suis devenu prof de gym.

Merci les cahiers du football

En est-tu sûr [?] Ce n'est pas là que je l'ai pris en tout cas si c'est ce que tu veux savoir [mi]

L&o a écrit:En est-tu sûr [?] Ce n'est pas là que je l'ai pris en tout cas si c'est ce que tu veux savoir [mi]

J'en suis sûr à 100%, y a qu'eux pour écrire un truc pareil

Nico56 a écrit:

L&o a écrit:En est-tu sûr [?] Ce n'est pas là que je l'ai pris en tout cas si c'est ce que tu veux savoir [mi]

J'en suis sûr à 100%, y a qu'eux pour écrire un truc pareil

Eh ben moi je suis sûr à 200% que ce texte je l'ai trouvé sur le site des ultras du SCB

Nico56 a écrit:

L&o a écrit:En est-tu sûr [?] Ce n'est pas là que je l'ai pris en tout cas si c'est ce que tu veux savoir [mi]

J'en suis sûr à 100%, y a qu'eux pour écrire un truc pareil

c'est vrai que ça y ressemble
[merci]

http://crij.phpnet.org/Foru_Arrabbiati/phpBB2/viewtopic.php?t=1099

Allez jeter un coup d'oeil à cette page d'un forum qui ne se prend pas au sérieux... surtout pour chercher un nouvel entraîneur au SCB ! [pleurire]

Ca vaut fortement le détour... [lol]

[et] [et] [et] [et] [et] Pas besoin de parler corse pour comprendre [mi]

L&o a écrit:http://crij.phpnet.org/Foru_Arrabbiati/phpBB2/viewtopic.php?t=1099

Allez jeter un coup d'oeil à cette page d'un forum qui ne se prend pas au sérieux... surtout pour chercher un nouvel entraîneur au SCB ! [pleurire]

Ca vaut fortement le détour... [lol]

[et] [et] [et] [] [] []
Ils en font 11 pages et quesqu'on se marre
[ench]

[et] un moment je lis ca "Walid Joumblatt, le leader druze: Cool " [lol] c'est un libanais lui.

Nico56 a écrit:

L&o a écrit:http://crij.phpnet.org/Foru_Arrabbiati/phpBB2/viewtopic.php?t=1099

Allez jeter un coup d'oeil à cette page d'un forum qui ne se prend pas au sérieux... surtout pour chercher un nouvel entraîneur au SCB ! [pleurire]

Ca vaut fortement le détour... [lol]

[et] [et] [et] [] [] []
Ils en font 11 pages et quesqu'on se marre
[ench]

Jabba the Hut entraîneur du Sporting l'an prochain [?] [] [tetelol)

Juste pour confirmer que l'article vient bien des cahiers du foot : voici le scénario idéal de Rennes et le scénario catastrophe d'Auxerre :
http://www.cahiersdufootball.net/article.php?id=1974

Rennes : le scénario idéal
Le club breton n’a jamais été aussi armé que cette saison pour enfin prendre une revanche sur son destin...

Tirant les leçons d’une entame très laborieuse, les Rennais se ressoudent autour de leur leader charismatique Kim Källström, qui organise des soirées Viking ponctuées de concerts de son groupe de heavy metal (Källström’ s Maelström). Olivier Monterrubio et Alexander Frei retrouvent leur complicité. Le second enquille les buts comme à la parade, sa série étant juste troublée par une crise de nerfs qui le voit se jeter sur la caméra de Canal+ dans le vestiaire, en hurlant « Alors les gros Français, le p’tit Suisse il vous les met bien profond, les buts, dans vos filets de prétentieux, hein ? »
Au mercato, François Pinault décide de défiscaliser Utaka, peu efficace, aux Îles Caïman, et d’échanger Yoann Gourcuff avec Raùl, laissé pour compte au Real. Revanchard, le Madrilène en plante trois à son ancien club, en quart de finale de la Coupe de l’UEFA, quelques semaines après que le Stade rennais eut atomisé le rival nantais à la Beaujoire (1-6, Savinaud sauvant l’honneur). Craignant l’euphorie, Laszlo Bölöni décide d’embaucher Vahid Halilhodzic en CDD, au poste de directeur de la sécurité. Le Bosniaque effectue des patrouilles nocturnes lors des mises au vert, mais, roublard, Jacques Faty lui apprend les rudiments de la Playstation : l’ex-entraîneur ne lâche plus ses manettes, qu’il engueule copieusement.

Jeunechamp, joueur de l’année
Les Bretons peuvent continuer à mener grand train, sans que leurs résultats s’en ressentent. Sur la lancée d’un mois de février qui les avait vus battre Monaco, Bordeaux, Lens et Lyon, ils surclassent la fin de championnat et sont sacrés à trois journées de la fin. Ils retardent cependant la fête, le temps de battre Marseille en finale de la Coupe de l’UEFA (5-1, expulsions de Ribéry et Barthez en première mi-temps).
Cyril Jeunechamp est élu meilleur joueur de l’année par ses pairs, Frei et Rochat entrent dans le Livre des records en organisant à la Route-de-Lorient la plus grande fondue de l’histoire. Les supporters rennais en délire reprennent en chœur « Ne nous prenez plus pour des crêpes », le nouvel hymne du club interprété par Dan Ar Braz. Bouleversé, Bölöni esquisse un mouvement des coins de la bouche vers le haut, que certains chroniqueurs audacieux qualifieront de sourire.


Auxerre : le scénario catastrophe
Les Ajaïstes peuvent-ils survivre au départ de leur mentor ? Et survivront-ils s'il revient ?

Assommés par leur déroute au Stade Bollaert (7-0), les Auxerrois alignent une terrible série de défaites qui plonge l’effectif dans une profonde déprime. Croyant bien faire, Jacques Santini embauche Michel Boujenah pour mettre de l’ambiance dans le groupe. C’est une catastrophe. « Je ne savais pas que les Juifs avaient eu autant de malheurs, se désole Jean-Pascal Mignot. On ne regardait jamais Arte à la maison ! » Comble de l’infortune, deux joueurs sont contrôlés positifs au Prozac, le soir d’une nouvelle dérouillée à Nice. « Cette fois-ci, on joue vraiment le maintien », constate Yann Lachuer, désabusé.
À la trêve, Jacques Santini annonce qu’il démissionne pour s’occuper de la sélection nationale féminine. Guy Roux revient, triomphant. « L’AJA mourra avec moi, alors vous avez intérêt à me ménager » : ainsi menace-t-il l’assistance de la cathédrale d’Auxerre où il effectue son discours de rentrée, en habits d’archevêque. Apprenant cela, Benjani fait savoir qu’il ne rentrera jamais de ses vacances au Zimbabwé. Gérard Bourgoin va cependant le chercher avec son jet privé, et lui promet en guise de compensation que ses maillots porteront désormais son vrai nom. Lors de Bordeaux-Auxerre, Olivier Rouyer doit être hospitalisé après avoir essayé à quatre-vingt trois reprises de prononcer correctement « Mwaruwari ».

Ultime trophée
Les affaires ne s’arrangent pourtant pas pour les Bourguignons. Guy Roux tient à tout prix à jouer en WM avec marquage individuel intégral. Philippe Mexès, revenu au club depuis sa condamnation par le Tribunal arbitral du sport à honorer jusqu’au bout son contrat avec l’AJA, entame une grève de la faim. L’équipe sombre inexorablement dans les profondeurs du classement, mais inexplicablement, elle parvient à effectuer un bon parcours en Coupe de la Ligue.
Au terme de la finale, après que l’AJA a battu Châteauroux de justesse, Roux annonce au micro de Christian Jeanpierre qu’il se retire : « En fait, j’avais tout planifié pour remporter ce trophée, le seul qui manquait à mon palmarès. Maintenant, je pense que l’AJA va connaître le parcours inverse de celui que j’ai vécu avec elle. C’est la vie. Au fait, pense à me rapporter la collection de France Foot que je t’ai prêtée ».

[mi] Pas mal aussi, mais je trouve que les articles concernant le SCB sont bien plus tranchants Ils ont dû être écrits par un Corse engagé par les CDF c'est pas possible autrement [pff]