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L&oChampion d'Europe
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Joyeux anniversaire !...
Dim 18 Déc 2005, 23:14
... malgré le 0-0 [mi], ils restent 3° de Ligue 2 !
18/12/2005
Foot - L2 : Bastia a fêté son centenaire (lequipe.fr)
Le Sporting Club de Bastia, finaliste de la Coupe de l'UEFA en 1978 et aujourd'hui 3e de Ligue 2, a fêté dimanche son centenaire, battant le rappel de ses anciennes gloires.
Parmi ces héros de l'épopée 1978, figurait l'attaquant néerlandais Johnny Rep, dont le nom est également indissociable du «chaudron vert» de Saint-Etienne.
«Il faut absolument que le club remonte en Ligue 1. Bastia en L2, ce n'est pas possible. C'est un grand club avec un public incroyable et courageux, c'est ce public qui nous a porté en 1978», a lancé Rep, retrouvant une pelouse et un stade qui, en près 30 ans, ont peu changé. Sur la pelouse, il retrouvait ses coéquipiers Charles Orlanducci et Fanfan Félix, mais aussi ses successeurs: Dragan Djazic, Lubomir Moravcik ou Christian Karembeu.
Toutes ces anciennes vedettes, vêtues d'un maillot unique floqué du numéro 100, ont affronté une sélection de supporteurs, en lever de rideau du match contre Montpellier comptant pour la 19e journée, sous les yeux d'un public plus nombreux que d'habitude rendant aussi hommage aux personnalités fortes de l'histoire du club. Parmi elles, Claude Papi, Pierre Cahuzac, Victoir Lorenzi, et Jojo Petrignani, respectivement joueur, entraîneur, président et supporteur, figures emblématiques aujourd'hui décédées dont chaque tribune portera désormais le nom.
L'émotion était également palpable lors du dépôt de gerbes devant la stelle du 5 mai 1992, commémorant le drame de Furiani, ce soir de demi-finale de Coupe de France contre Marseille, où 17 personnes trouvèrent la mort dans l'effondrement de la tribune ouest.
De succès en désillusion, Bastia a traversé son premier siècle, comme sept autres clubs français. Il le doit à «sa flamme éternelle», explique l'ancien capitaine Charles Orlanducci. Et d'ajouter: «Le club est redescendu en L2, mais il se relèvera encore car Bastia n'est pas mort, et ici plus qu'ailleurs, nous l'avons prouvé, le football demeure avant tout une question d'âme et de passion».
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18/12/2005
Foot - L2 : Bastia a fêté son centenaire (lequipe.fr)
Le Sporting Club de Bastia, finaliste de la Coupe de l'UEFA en 1978 et aujourd'hui 3e de Ligue 2, a fêté dimanche son centenaire, battant le rappel de ses anciennes gloires.
Parmi ces héros de l'épopée 1978, figurait l'attaquant néerlandais Johnny Rep, dont le nom est également indissociable du «chaudron vert» de Saint-Etienne.
«Il faut absolument que le club remonte en Ligue 1. Bastia en L2, ce n'est pas possible. C'est un grand club avec un public incroyable et courageux, c'est ce public qui nous a porté en 1978», a lancé Rep, retrouvant une pelouse et un stade qui, en près 30 ans, ont peu changé. Sur la pelouse, il retrouvait ses coéquipiers Charles Orlanducci et Fanfan Félix, mais aussi ses successeurs: Dragan Djazic, Lubomir Moravcik ou Christian Karembeu.
Toutes ces anciennes vedettes, vêtues d'un maillot unique floqué du numéro 100, ont affronté une sélection de supporteurs, en lever de rideau du match contre Montpellier comptant pour la 19e journée, sous les yeux d'un public plus nombreux que d'habitude rendant aussi hommage aux personnalités fortes de l'histoire du club. Parmi elles, Claude Papi, Pierre Cahuzac, Victoir Lorenzi, et Jojo Petrignani, respectivement joueur, entraîneur, président et supporteur, figures emblématiques aujourd'hui décédées dont chaque tribune portera désormais le nom.
L'émotion était également palpable lors du dépôt de gerbes devant la stelle du 5 mai 1992, commémorant le drame de Furiani, ce soir de demi-finale de Coupe de France contre Marseille, où 17 personnes trouvèrent la mort dans l'effondrement de la tribune ouest.
De succès en désillusion, Bastia a traversé son premier siècle, comme sept autres clubs français. Il le doit à «sa flamme éternelle», explique l'ancien capitaine Charles Orlanducci. Et d'ajouter: «Le club est redescendu en L2, mais il se relèvera encore car Bastia n'est pas mort, et ici plus qu'ailleurs, nous l'avons prouvé, le football demeure avant tout une question d'âme et de passion».
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