On aura tout vu ! ! !

Inti a écrit:Dispute conjugale à l'arme lourde au Mexique

MEXICO (Reuters) - Un couple de Mexicains a terminé à l'hôpital après une dispute qui a dégénéré en véritable "guérilla conjugale" à coups de couteaux, d'armes à feu et, pour finir, de bombes artisanales, rapporte le quotidien Milenio.

Selon le journal, la dispute entre Juan Espinosa et Irma Contreras s'est terminée par l'explosion d'une petite bombe artisanale à l'essence qui a détruit la maison des "amoureux" à Oxkutzcab, dans la province du Yucatan, dans le sud-est du pays.

Espinosa a déclaré à la presse qu'il était ravi que sa femme ait été brûlée au troisième degré dans l'explosion. Quant à Contreras, elle a regretté de ne pas avoir eu l'occasion "de lui trancher sa virilité" lors de la dispute.

[et] [et]
Et ma femme qui me trouve excessif parfois...



Bon, à vous maintenant !

Triskel a écrit:

Inti a écrit:Dispute conjugale à l'arme lourde au Mexique

MEXICO (Reuters) - Un couple de Mexicains a terminé à l'hôpital après une dispute qui a dégénéré en véritable "guérilla conjugale" à coups de couteaux, d'armes à feu et, pour finir, de bombes artisanales, rapporte le quotidien Milenio.

Selon le journal, la dispute entre Juan Espinosa et Irma Contreras s'est terminée par l'explosion d'une petite bombe artisanale à l'essence qui a détruit la maison des "amoureux" à Oxkutzcab, dans la province du Yucatan, dans le sud-est du pays.

Espinosa a déclaré à la presse qu'il était ravi que sa femme ait été brûlée au troisième degré dans l'explosion. Quant à Contreras, elle a regretté de ne pas avoir eu l'occasion "de lui trancher sa virilité" lors de la dispute.

[et] [et]
Et ma femme qui me trouve excessif parfois...



Bon, à vous maintenant !

Et tu crois que je vais faire lire ça à ma femme [et] ? [non] [non]

Inti a écrit:Dis-moi combien tu pèses, je te dirai le prix de ta chambre

BERLIN (Reuters) - Un hôtel de Norden, dans le nord de l'Allemagne, adapte ses tarifs au poids de ses clients.

Sitôt arrivés à l'hôtel, près de la frontière néerlandaise, les clients sont invités à monter sur une balance et le gérant facture la nuit 0,5 euro le kilo.

"J'avais beaucoup de clients vraiment énormes et je leur ai dit de maigrir", a déclaré Jürgen Heckrodt, le propriétaire de cet hôtel trois étoiles. "Des clients en bonne santé vivent plus longtemps et peuvent revenir plus souvent."

L'hôtel accepte aussi les clients qui refusent d'être pesés et ne fait pas payer plus de 39 euros la nuit, le prix d'une chambre simple.

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Nantais a écrit:

Inti a écrit:Dis-moi combien tu pèses, je te dirai le prix de ta chambre

BERLIN (Reuters) - Un hôtel de Norden, dans le nord de l'Allemagne, adapte ses tarifs au poids de ses clients.

Sitôt arrivés à l'hôtel, près de la frontière néerlandaise, les clients sont invités à monter sur une balance et le gérant facture la nuit 0,5 euro le kilo.

"J'avais beaucoup de clients vraiment énormes et je leur ai dit de maigrir", a déclaré Jürgen Heckrodt, le propriétaire de cet hôtel trois étoiles. "Des clients en bonne santé vivent plus longtemps et peuvent revenir plus souvent."

L'hôtel accepte aussi les clients qui refusent d'être pesés et ne fait pas payer plus de 39 euros la nuit, le prix d'une chambre simple.

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Fat Mike a écrit:

Nantais a écrit:

Inti a écrit:Dis-moi combien tu pèses, je te dirai le prix de ta chambre

BERLIN (Reuters) - Un hôtel de Norden, dans le nord de l'Allemagne, adapte ses tarifs au poids de ses clients.

Sitôt arrivés à l'hôtel, près de la frontière néerlandaise, les clients sont invités à monter sur une balance et le gérant facture la nuit 0,5 euro le kilo.

"J'avais beaucoup de clients vraiment énormes et je leur ai dit de maigrir", a déclaré Jürgen Heckrodt, le propriétaire de cet hôtel trois étoiles. "Des clients en bonne santé vivent plus longtemps et peuvent revenir plus souvent."

L'hôtel accepte aussi les clients qui refusent d'être pesés et ne fait pas payer plus de 39 euros la nuit, le prix d'une chambre simple.

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C'est d'une débilité [mi]

Inti a écrit:Strasbourg: il vient visiter son frère en prison en possession de drogue

STRASBOURG (AFP) - Un homme de 23 ans qui rendait visite à son frère incarcéré à la maison d'arrêt de l'Elsau, à Strasbourg, s'est fait prendre en possession de drogue.
Au moment de pénétrer dans le parloir, les gardiens ont remarqué que l'une des poches du jeune homme présentait une protubérance suspecte. Ils lui ont alors demandé de vider ses poches. Le jeune homme a obtempéré et extrait un sachet contenant 11,2 grammes de résine de cannabis et 2,3 grammes d'herbe.

Il devait être présenté vendredi au parquet en vue d'une comparution immédiate.

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L'ordre des avocats d'Avignon refuse à un ex-braqueur de revêtir la robe


Jeudi 01 juin 2006, 17h13

Le conseil de l'ordre des avocats d'Avignon a rejeté la demande d'un ancien braqueur de revêtir la robe noire au sein de leur barreau, a-t-on appris jeudi auprès de l'interessé, joint à Nîmes où il réside.

Christian Laplanche, 43 ans, a précisé qu'il avait reçu deux jours plus tôt la notification du refus. "On me renvoie toujours à la figure des faits vieux de vingt-cinq ans", a-t-il déclaré, précisant qu'il s'interrogeait sur la possibilité de faire appel.

Christian Laplanche avait été condamné en 1987 pour vol aggravé en réunion et tentative d'homicide. Les assises du Var lui avaient infligé cinq ans de prison, dont trois ferme, après un hold-up contre un bureau de poste au cours duquel il avait blessé un policier.

En prison, il avait entrepris des études de droit et obtenu un doctorat, un diplôme permettant de devenir avocat. Depuis sa sortie de prison, il enseigne le droit privé à l'Institut d'études supérieures de Cayenne, en Guyane.

Ayant décidé de devenir avocat, il avait été autorisé en septembre 2004 à revêtir la robe noire par la cour d'appel de Nîmes, contre l'avis du conseil de l'ordre des avocats nîmois. Le bâtonnier nîmois de l'époque s'était alors pourvu en cassation et en mars 2006, la Cour de cassation avait interdit à l'ancien braqueur d'exercer la profession d'avocat à Nîmes. M. Laplanche avait demandé le 5 avril à s'inscrire au barreau d'Avignon.

"Le refus d'Avignon est symptomatique d'une solidarité ordinale. Le droit à la rédemption oui, mais pas pour être avocat", a déploré M. Laplanche, en précisant: "j'ai exercé pendant quinze mois, mon projet a abouti, même si la Cour de cassation m'a empêché d'exercer mon métier et obligé à vendre mon cabinet. Alors sur le principe oui, j'ai envie de faire appel, mais je suis fatigué.

Inti a écrit:

L'ordre des avocats d'Avignon refuse à un ex-braqueur de revêtir la robe


Jeudi 01 juin 2006, 17h13

Le conseil de l'ordre des avocats d'Avignon a rejeté la demande d'un ancien braqueur de revêtir la robe noire au sein de leur barreau, a-t-on appris jeudi auprès de l'interessé, joint à Nîmes où il réside.

Christian Laplanche, 43 ans, a précisé qu'il avait reçu deux jours plus tôt la notification du refus. "On me renvoie toujours à la figure des faits vieux de vingt-cinq ans", a-t-il déclaré, précisant qu'il s'interrogeait sur la possibilité de faire appel.

Christian Laplanche avait été condamné en 1987 pour vol aggravé en réunion et tentative d'homicide. Les assises du Var lui avaient infligé cinq ans de prison, dont trois ferme, après un hold-up contre un bureau de poste au cours duquel il avait blessé un policier.

En prison, il avait entrepris des études de droit et obtenu un doctorat, un diplôme permettant de devenir avocat. Depuis sa sortie de prison, il enseigne le droit privé à l'Institut d'études supérieures de Cayenne, en Guyane.

Ayant décidé de devenir avocat, il avait été autorisé en septembre 2004 à revêtir la robe noire par la cour d'appel de Nîmes, contre l'avis du conseil de l'ordre des avocats nîmois. Le bâtonnier nîmois de l'époque s'était alors pourvu en cassation et en mars 2006, la Cour de cassation avait interdit à l'ancien braqueur d'exercer la profession d'avocat à Nîmes. M. Laplanche avait demandé le 5 avril à s'inscrire au barreau d'Avignon.

"Le refus d'Avignon est symptomatique d'une solidarité ordinale. Le droit à la rédemption oui, mais pas pour être avocat", a déploré M. Laplanche, en précisant: "j'ai exercé pendant quinze mois, mon projet a abouti, même si la Cour de cassation m'a empêché d'exercer mon métier et obligé à vendre mon cabinet. Alors sur le principe oui, j'ai envie de faire appel, mais je suis fatigué.

Vous croyez qu'il s'agit de Vinny [?]

buddha a écrit:

Inti a écrit:

L'ordre des avocats d'Avignon refuse à un ex-braqueur de revêtir la robe


Jeudi 01 juin 2006, 17h13

Le conseil de l'ordre des avocats d'Avignon a rejeté la demande d'un ancien braqueur de revêtir la robe noire au sein de leur barreau, a-t-on appris jeudi auprès de l'interessé, joint à Nîmes où il réside.

Christian Laplanche, 43 ans, a précisé qu'il avait reçu deux jours plus tôt la notification du refus. "On me renvoie toujours à la figure des faits vieux de vingt-cinq ans", a-t-il déclaré, précisant qu'il s'interrogeait sur la possibilité de faire appel.

Christian Laplanche avait été condamné en 1987 pour vol aggravé en réunion et tentative d'homicide. Les assises du Var lui avaient infligé cinq ans de prison, dont trois ferme, après un hold-up contre un bureau de poste au cours duquel il avait blessé un policier.

En prison, il avait entrepris des études de droit et obtenu un doctorat, un diplôme permettant de devenir avocat. Depuis sa sortie de prison, il enseigne le droit privé à l'Institut d'études supérieures de Cayenne, en Guyane.

Ayant décidé de devenir avocat, il avait été autorisé en septembre 2004 à revêtir la robe noire par la cour d'appel de Nîmes, contre l'avis du conseil de l'ordre des avocats nîmois. Le bâtonnier nîmois de l'époque s'était alors pourvu en cassation et en mars 2006, la Cour de cassation avait interdit à l'ancien braqueur d'exercer la profession d'avocat à Nîmes. M. Laplanche avait demandé le 5 avril à s'inscrire au barreau d'Avignon.

"Le refus d'Avignon est symptomatique d'une solidarité ordinale. Le droit à la rédemption oui, mais pas pour être avocat", a déploré M. Laplanche, en précisant: "j'ai exercé pendant quinze mois, mon projet a abouti, même si la Cour de cassation m'a empêché d'exercer mon métier et obligé à vendre mon cabinet. Alors sur le principe oui, j'ai envie de faire appel, mais je suis fatigué.

Vous croyez qu'il s'agit de Vinny [?]

Et au nom de quoi, ce type ne pourrait pas se réinsérer en tant qu'avocat [?] [mi]

buddha a écrit:

Inti a écrit:

L'ordre des avocats d'Avignon refuse à un ex-braqueur de revêtir la robe


Jeudi 01 juin 2006, 17h13

Le conseil de l'ordre des avocats d'Avignon a rejeté la demande d'un ancien braqueur de revêtir la robe noire au sein de leur barreau, a-t-on appris jeudi auprès de l'interessé, joint à Nîmes où il réside.

Christian Laplanche, 43 ans, a précisé qu'il avait reçu deux jours plus tôt la notification du refus. "On me renvoie toujours à la figure des faits vieux de vingt-cinq ans", a-t-il déclaré, précisant qu'il s'interrogeait sur la possibilité de faire appel.

Christian Laplanche avait été condamné en 1987 pour vol aggravé en réunion et tentative d'homicide. Les assises du Var lui avaient infligé cinq ans de prison, dont trois ferme, après un hold-up contre un bureau de poste au cours duquel il avait blessé un policier.

En prison, il avait entrepris des études de droit et obtenu un doctorat, un diplôme permettant de devenir avocat. Depuis sa sortie de prison, il enseigne le droit privé à l'Institut d'études supérieures de Cayenne, en Guyane.

Ayant décidé de devenir avocat, il avait été autorisé en septembre 2004 à revêtir la robe noire par la cour d'appel de Nîmes, contre l'avis du conseil de l'ordre des avocats nîmois. Le bâtonnier nîmois de l'époque s'était alors pourvu en cassation et en mars 2006, la Cour de cassation avait interdit à l'ancien braqueur d'exercer la profession d'avocat à Nîmes. M. Laplanche avait demandé le 5 avril à s'inscrire au barreau d'Avignon.

"Le refus d'Avignon est symptomatique d'une solidarité ordinale. Le droit à la rédemption oui, mais pas pour être avocat", a déploré M. Laplanche, en précisant: "j'ai exercé pendant quinze mois, mon projet a abouti, même si la Cour de cassation m'a empêché d'exercer mon métier et obligé à vendre mon cabinet. Alors sur le principe oui, j'ai envie de faire appel, mais je suis fatigué.

Vous croyez qu'il s'agit de Vinny [?]

Et au nom de quoi, ce type ne pourrait pas se réinsérer en tant qu'avocat [?] [mi]

buddha a écrit:

Inti a écrit:

L'ordre des avocats d'Avignon refuse à un ex-braqueur de revêtir la robe


Jeudi 01 juin 2006, 17h13

Le conseil de l'ordre des avocats d'Avignon a rejeté la demande d'un ancien braqueur de revêtir la robe noire au sein de leur barreau, a-t-on appris jeudi auprès de l'interessé, joint à Nîmes où il réside.

Christian Laplanche, 43 ans, a précisé qu'il avait reçu deux jours plus tôt la notification du refus. "On me renvoie toujours à la figure des faits vieux de vingt-cinq ans", a-t-il déclaré, précisant qu'il s'interrogeait sur la possibilité de faire appel.

Christian Laplanche avait été condamné en 1987 pour vol aggravé en réunion et tentative d'homicide. Les assises du Var lui avaient infligé cinq ans de prison, dont trois ferme, après un hold-up contre un bureau de poste au cours duquel il avait blessé un policier.

En prison, il avait entrepris des études de droit et obtenu un doctorat, un diplôme permettant de devenir avocat. Depuis sa sortie de prison, il enseigne le droit privé à l'Institut d'études supérieures de Cayenne, en Guyane.

Ayant décidé de devenir avocat, il avait été autorisé en septembre 2004 à revêtir la robe noire par la cour d'appel de Nîmes, contre l'avis du conseil de l'ordre des avocats nîmois. Le bâtonnier nîmois de l'époque s'était alors pourvu en cassation et en mars 2006, la Cour de cassation avait interdit à l'ancien braqueur d'exercer la profession d'avocat à Nîmes. M. Laplanche avait demandé le 5 avril à s'inscrire au barreau d'Avignon.

"Le refus d'Avignon est symptomatique d'une solidarité ordinale. Le droit à la rédemption oui, mais pas pour être avocat", a déploré M. Laplanche, en précisant: "j'ai exercé pendant quinze mois, mon projet a abouti, même si la Cour de cassation m'a empêché d'exercer mon métier et obligé à vendre mon cabinet. Alors sur le principe oui, j'ai envie de faire appel, mais je suis fatigué.

Vous croyez qu'il s'agit de Vinny [?]

Et au nom de quoi, ce type ne pourrait pas se réinsérer en tant qu'avocat [?] [mi]

Nico56 a écrit:Même pour obtenir une carte de presse, il faut un casier vierge [mi]

Inti a écrit:25 blessés lors de la course annuelle au fromage de Brockworth

BROCKWORTH (AFP) - Deux personnes ont été hospitalisées et 23 autres blessées lundi lors de la traditionnelle course au fromage de Brockworth (sud-ouest de l'Angleterre), une compétition dont le seul but est de rattraper une tomme de fromage lancée en pleine pente.
Comme tous les ans, plusieurs dizaines de personnes se sont lancées à la poursuite d'une tomme de Double Gloucester, un fromage à pâte dure produit dans le sud-ouest de l'Angleterre à partir de lait de vache.

Comme tous les ans, plusieurs concurrents des cinq courses du jour ont terminé sur une civière, incapables de terminer les 200 mètres de la course, sur le flanc de la colline de Cooper's hill.

Vainqueur d'une des courses cette année encore, Chris Anderson, 18 ans, a eu plus de chance que lors de sa précédente victoire. En mai 2005, le jeune installateur de fenêtres avait certes rattrapé et attrapé le fromage, mais il avait dû être emmené à l'hôpital, une cheville tordue.

Le premier prix de cette compétition bizarre n'est pas une coupe mais bien la tomme de Double Gloucester qui sert de lièvre aux coureurs: "Maintenant je vais emmener mon fromage au pub et nous allons faire la fête", a expliqué Jason Crowther, 24 ans, un jeune Gallois vainqueur d'une autre course.

Si le millésime 2006 de cette compétition a été plutôt calme, sans jambe cassée du côté des concurrents, le bilan est plus sévère du côté des spectateurs. Parmi les 25 personnes touchées lundi, 13 étaient des spectateurs, dont un a été heurté de plein fouet par un fromage.

La course au fromage de Bockworth est une tradition pluricentenaire dont l'origine remonterait aux fêtes païennes organisées dans la région pour le retour du printemps.

Triskel a écrit:

Nico56 a écrit:Même pour obtenir une carte de presse, il faut un casier vierge [mi]

Tu as essayé [et]

Triskel a écrit:

Inti a écrit:25 blessés lors de la course annuelle au fromage de Brockworth

BROCKWORTH (AFP) - Deux personnes ont été hospitalisées et 23 autres blessées lundi lors de la traditionnelle course au fromage de Brockworth (sud-ouest de l'Angleterre), une compétition dont le seul but est de rattraper une tomme de fromage lancée en pleine pente.
Comme tous les ans, plusieurs dizaines de personnes se sont lancées à la poursuite d'une tomme de Double Gloucester, un fromage à pâte dure produit dans le sud-ouest de l'Angleterre à partir de lait de vache.

Comme tous les ans, plusieurs concurrents des cinq courses du jour ont terminé sur une civière, incapables de terminer les 200 mètres de la course, sur le flanc de la colline de Cooper's hill.

Vainqueur d'une des courses cette année encore, Chris Anderson, 18 ans, a eu plus de chance que lors de sa précédente victoire. En mai 2005, le jeune installateur de fenêtres avait certes rattrapé et attrapé le fromage, mais il avait dû être emmené à l'hôpital, une cheville tordue.

Le premier prix de cette compétition bizarre n'est pas une coupe mais bien la tomme de Double Gloucester qui sert de lièvre aux coureurs: "Maintenant je vais emmener mon fromage au pub et nous allons faire la fête", a expliqué Jason Crowther, 24 ans, un jeune Gallois vainqueur d'une autre course.

Si le millésime 2006 de cette compétition a été plutôt calme, sans jambe cassée du côté des concurrents, le bilan est plus sévère du côté des spectateurs. Parmi les 25 personnes touchées lundi, 13 étaient des spectateurs, dont un a été heurté de plein fouet par un fromage.

La course au fromage de Bockworth est une tradition pluricentenaire dont l'origine remonterait aux fêtes païennes organisées dans la région pour le retour du printemps.

Ca serait moins dangereux avec de "la vache qui rit"