- sebChampion du Monde
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Heureusement que le ridicule ne tue pas...
Sam 01 Avr 2006, 22:03
[]
- Alex91International
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Re: Heureusement que le ridicule ne tue pas...
Dim 02 Avr 2006, 20:44
Mais si le ridicule pouvait servir de leçon à certains au moins il y aurait une avancée [mi]
- RC STRASBOURGLigue 1
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Re: Heureusement que le ridicule ne tue pas...
Sam 03 Avr 2010, 10:23
01/04/10
Luc Dayan n'en a pas encore tout à fait fini avec le Racing
Strasbourg...
Décidément, les procédures judiciaires sont à la mode du côté de la
Meinau. Cette fois-ci, c’est Luc Dayan, engagé le 23 décembre pour
restructurer le RCS, qui saisit la justice pour obtenir ce qui lui est
dû. Sous contrat jusqu’au 30 avril avec Racing Investissements, la
holding tutélaire du club que détiennent Alain Fontenla et Jafar Hilali,
l’éphémère président du Racing réclame 25 000 euros de salaire impayé
pour le mois de février. Plus question, donc, de résiliation négociée de
son contrat, comme envisagé la semaine dernière… « J’ai pris un avocat
et nous avons envoyé une injonction de payer au tribunal de commerce de
Strasbourg », explique Dayan. Au total, le spécialiste du redressement
de clubs en difficulté devait percevoir 175 000 euros, plus 25 000 euros
de bonus en cas de maintien du Racing en Ligue 2. Pour l’instant, il
n’a perçu que 100 000 euros, versés par Alain Fontenla lors de la
signature du contrat. « Les propriétaires ont considéré que notre
contrat n’était plus valable lorsque Jean-Claude Plessis a pris ma
succession à la présidence du club, précise Luc Dayan. Sauf que ma
démission des postes de président et d’administrateur n’a rien à voir
avec le contrat qui me lie à Racing Investissements. » Pour toute
réponse à sa demande de paiement, le médecin du sport a reçu un SMS de
Jafar Hilali qui laisse sans voix : « Tu sais bien qu’il n’y a pas
d’argent dans Racing Investissements » (sic). Le patron de la société
Carousel Finance lui aurait même proposé de patienter jusqu’en juillet
et d’être payé à ce moment-là directement par la SASP (*). « Une
proposition inadmissible », estime Dayan, qui n’est visiblement pas au
bout de ses peines.
(*) Société anonyme sportive professionnelle.
Luc Dayan n'en a pas encore tout à fait fini avec le Racing
Strasbourg...
Décidément, les procédures judiciaires sont à la mode du côté de la
Meinau. Cette fois-ci, c’est Luc Dayan, engagé le 23 décembre pour
restructurer le RCS, qui saisit la justice pour obtenir ce qui lui est
dû. Sous contrat jusqu’au 30 avril avec Racing Investissements, la
holding tutélaire du club que détiennent Alain Fontenla et Jafar Hilali,
l’éphémère président du Racing réclame 25 000 euros de salaire impayé
pour le mois de février. Plus question, donc, de résiliation négociée de
son contrat, comme envisagé la semaine dernière… « J’ai pris un avocat
et nous avons envoyé une injonction de payer au tribunal de commerce de
Strasbourg », explique Dayan. Au total, le spécialiste du redressement
de clubs en difficulté devait percevoir 175 000 euros, plus 25 000 euros
de bonus en cas de maintien du Racing en Ligue 2. Pour l’instant, il
n’a perçu que 100 000 euros, versés par Alain Fontenla lors de la
signature du contrat. « Les propriétaires ont considéré que notre
contrat n’était plus valable lorsque Jean-Claude Plessis a pris ma
succession à la présidence du club, précise Luc Dayan. Sauf que ma
démission des postes de président et d’administrateur n’a rien à voir
avec le contrat qui me lie à Racing Investissements. » Pour toute
réponse à sa demande de paiement, le médecin du sport a reçu un SMS de
Jafar Hilali qui laisse sans voix : « Tu sais bien qu’il n’y a pas
d’argent dans Racing Investissements » (sic). Le patron de la société
Carousel Finance lui aurait même proposé de patienter jusqu’en juillet
et d’être payé à ce moment-là directement par la SASP (*). « Une
proposition inadmissible », estime Dayan, qui n’est visiblement pas au
bout de ses peines.
(*) Société anonyme sportive professionnelle.
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