Topic spécial Pascal Praud

Avec pour commencer, un bel hommage de Ouest France.

Football : Au secours, le FC Nantes se noie...
Ligue 1. Caen - FC Nantes : 3-0. Une première mi-temps catastrophique aura suffi à Nantes pour s'enfoncer. Le mal est désormais profond...
Alors comme ça, il paraît que le FC Nantes des années passées, celui des Choristes et de Nostalgie, a mauvaise allure ? Que son exemple est à bannir ? Mais alors, M. Praud, votre FC Nantes « de demain », celui de la « révolution culturelle », c'est celui que l'on a vu cette semaine ? C'est-à-dire pathétique le mardi au point de se faire éliminer de la Coupe de la Ligue par une équipe de National et ridicule samedi soir en encaissant 3 buts en une demi-heure ? C'est celui dirigé par un président qui regrette « que l'on parle de Nantes avant chaque match dans la presse, alors que je veux parler de football et de jeu » puis qui refuse de répondre aux questions ?

Si c'est bel et bien celui-là dont vous êtes si fier, alors faites-vous du souci. Car de l'avis même de Ricardo Faty, l'un des joueurs qui porte le maillot du club au sein duquel vous occupez des fonctions de direction, « si on continue, on va droit vers la descente. »

Car en effet, au risque de vexer votre maître à penser, qui, hier soir, pouvait prétendre que Nantes était une équipe de football et qu'elle pratiquait du jeu ? « Ce match, ça fait mal, expliquait Jérôme Alonzo, le portier nantais. Ce soir, je ne suis pas fier et même triste. Très triste. Je suis gardien et j'encaisse trois buts, alors ça fait ch... L'analyse de ce match est très rapide : les 89 minutes qui ont suivi le premier but ne comptent pas puisque ce premier but a tout changé. Il va falloir refaire le puzzle de cette première minute. En même temps, c'est un chantier passionnant. »

Elie Baup a sans doute d'autres priorités que celle de jouer les bâtisseurs d'équipe. L'entraîneur du FC Nantes a été très clair dans sa vision du match : « on fait une première mi-temps ridicule. On doit se remettre en question, être plus combatif et travailler. Et il y a beaucoup de boulot... Depuis que j'ai pris l'équipe, à aucun moment je n'ai été rassuré... »

Et même si la deuxième période a été un peu plus cohérente, le mal était fait. « Le problème est surtout mental, pense Ricardo Faty, courageux hier soir pour venir évoquer la déroute nantaise sans se cacher. On n'arrive pas à jouer et il faut y remédier très vite. Il va falloir s'accrocher car là, ce n'est vraiment pas bon. La saison est longue, mais qu'est ce que c'est dur... »

Dur en effet de replonger dans l'élite du football à coups de chéquier, l'arme fatale dégainée par ce décidément très sémillant M. Praud lors d'une émission télévisée en fin de saison dernière. Mais à l'époque que vous raillez aujourd'hui, Monsieur le directeur général délégué, Nantes avait d'abord cherché à modeler une équipe autour d'une philosophie et d'un savoir-faire. C'était au temps, en effet, où le FC Nantes était « éternel » dans sa conception singulière du football. C'était au temps de ces fameux Choristes qui, ce matin M. Praud, vous saluent bien...

Raphaël BONAMY.

Ouest-France

C'est pas faux mais en même temps, les journalistes sont prêts à tout pour vendre. C'est mon point de vue et ça veux pas dire que j'analyse correctement la situation.

IL prend cher l'ami Pascal, peut-être paye-t-il sa morgue de la fin de saison dernière...

Football : Praud : « Qui a nommé Baup ? C'est Kita ! »
Le Waldemar Kita qui apparaît souvent crispé sur la scène médiatique, n'est pas celui qu'il côtoie dans la vie de tous les jours. C'est l'une des nombreuses thèses développées par Pascal Praud pour tenter de rendre son président plus sympathique.

Cela fait un an que le mirliflore de TF1 a rejoint le FC Nantes comme Directeur général délégué. Le bon moment pour découvrir ce qu'il y fait, à part défendre son président.
Commençons par une question que beaucoup se posent. Que fait Pascal Praud de ses semaines ?

L'activité est multiple. Mais prenons un exemple. Hier (lundi), nous avons créé le service médias, ce qui a pris du temps en réflexions, propositions, validations. Plus généralement, le petit talent que je me reconnais, c'est d'avoir un peu d'intuition pour rationaliser la marche de l'entreprise. De trouver la bonne personne à mettre au bon endroit. À l'image de Bernard Smets, un expert de la DRH pour l'arrivée duquel j'ai milité.

Concrètement ?

Ce sont beaucoup de discussions, de réunions. Avec Elie Baup, avec Christian Larièpe, avec Waldemar Kita bien entendu. Ce sont des contacts avec des partenaires. C'est aussi assurer la représentativité du club à l'UCPF ou à la Ligue. Je peux comprendre qu'on se demande ce que je fais, car ce sont des activités discrètes.

Où en est le dossier de la Beaujoire dont vous avez la charge ?

La mairie nous demande de choisir notre modèle économique. Ils nous incitent à passer en bail emphytéotique. Car toutes les municipalités veulent se désengager des clubs de football. Et notre position est la suivante : OK sur le principe, en revanche, la Beaujoire n'étant plus au goût du jour, le stade réclame des investissements lourds. Et il est hors de question que le FC Nantes les supporte.

« Une réflexion sur les prix »

Des études sont programmées...

Oui. Une étude de faisabilité pour savoir combien vont coûter ces travaux qui moderniseront la Beaujoire et peut-être même, augmenteront sa capacité.

Ces travaux sont indispensables pour envisager d'être un stade de l'Euro 2016 si la France devait postuler, puis être choisie...

Il est clair qu'aujourd'hui, la Beaujoire ne serait pas retenue. Waldemar Kita avait été visionnaire à ce sujet. Quand il avait parlé d'un nouveau stade, personne n'avait compris. Or, regardez : Lyon s'y penche, Saint-Etienne aussi ; Nice, Lille et Le Mans y vont ; Bordeaux est très ennuyé. Alors, on ne va pas en construire un nouveau, mais il faut réfléchir à l'aménagement de ce stade qui est certes un sanctuaire, une cathédrale, mais qui n'est plus au goût du jour.

Augmenter la capacité d'un stade qu'on ne parvient plus à remplir est une démarche à expliquer...

On essaye de voir à trois ou cinq ans. Nous sommes dans une saison de transition, difficile pour plein de raisons. Mais en retrouvant le goût des premières places, on peut imaginer un stade un peu plus plein.

N'avez-vous pas le sentiment de vous être plantés sur la politique tarifaire ?

Je pense en tout cas que nous n'échapperons pas à une réflexion sur le prix des abonnements, à la fin de la saison. En cette période de crise, je peux concevoir qu'une soirée à la Beaujoire, c'est cher.

« Je regrette cette phrase sur Les Choristes »

Pourquoi le club a-t-il tant de mal à développer à nouveau un capital sympathie ?

Quand les résultats ne sont pas là, il y a du frottement avec les médias, de la tension chez les acteurs car les critiques ne sont jamais agréables. C'est normal. Les entraînements ouverts au public vont dans ce sens. La boutique est un des grands succès de l'année. ça montre combien ce club peut encore fédérer. Mais Waldemar Kita a le sentiment d'avoir fait beaucoup de choses. Il a tout de même mis 800 000 € de sa poche pour les loges.

A trop insister sur ces aspects, ne se rend-il pas froidement « business » ?

Effectivement, le football n'est pas que du business. Mais il est aussi normal qu'un chef d'entreprise défende son bilan, ses projets, son investissement.

Avec vos petites formules, notamment le FC Nantes des Choristes, vous ne l'avez pas toujours aidé...

Je regrette cette phrase car elle a été mal comprise. Elle a heurté le public nantais, je m'en suis rendu compte. Je voulais juste dire, moi qui me suis endormi avec des posters d'Henri Michel, que Nantes doit aussi regarder l'avenir. Un club doit être un mélange entre avenir et tradition.

Pourquoi avoir retiré la rediffusion des matches du FC Nantes à Nantes 7 ?

On réfléchit à les diffuser nous-mêmes sur internet. Pour favoriser nos propres outils de communication.

Aujourd'hui, n'avez-vous pas le sentiment qu'Elie Baup phagocyte l'image du FC Nantes ?

Je ne le pense pas. Mais, levons un malentendu. L'an dernier, Waldemar est intervenu pour des raisons très précises. Mais il n'est pas interventionniste. Aujourd'hui, il continue à avoir des échanges quotidiens avec Elie Baup, mais il le laisse travailler.

Baup, c'est tout de même ce qui vous est arrivé de mieux depuis le rachat du club...

Non. Ce qui est arrivé de mieux au FC Nantes, c'est Waldemar Kita. Qui a nommé Baup ? C'est Waldemar Kita. Accordez-lui le mérite d'avoir nommé la bonne personne.

Terminons par une question personnelle. Connaissez-vous cette page « admirateur de l'élégance vestimentaire de Pascal Praud » sur Face book ?

Mais oui (rires) ! Ce qui me rassure, c'est que ma propre page me vaut d'avoir 113 amies. Bien plus que « Pascal Praud aurait dû mourir à la place de Gilardi », 79 membres, ou « pour la pendaison immédiate de Pascal Praud », 48 membres. Mais, effectivement « admirateur de l'élégance vestimentaire de Pascal Praud » fait 316 membres. J'y contribue d'ailleurs (et de se lancer dans la lecture de ses propres oeuvres).

On découvre ce que vous faîtes vraiment de vos journées...

Mais vous pensiez vraiment que je ne faisais rien de mes journées ?

Recueilli par P.-Y. A.
Ouest-France

Y a des mots compliques.

Chanelet a écrit:Y a des mots compliques.

Praud ?

emphytéotique, phagocyte,...

Comment y se fait calmer à la fin

Chanelet a écrit:emphytéotique, phagocyte,...

emphytéotique : Se dit d'un bail de longue durée.

phagocyte : Cellule qui absorbe et détruit les microbes en les digérant.

Praud : Petit trou du cul qui ne se prend pas pour une merde.

Triskel a écrit:

Chanelet a écrit:emphytéotique, phagocyte,...

emphytéotique : Se dit d'un bail de longue durée.

phagocyte : Cellule qui absorbe et détruit les microbes en les digérant.

Praud : Petit trou du cul qui ne se prend pas pour une merde.

C'est bon, tout le monde connait la définition du dernier mot

Je voulais juste dire, moi qui me suis endormi avec des posters d'Henri Michel

ah beh oui, je me disais bien aussi

pissoffcake a écrit:Je voulais juste dire, moi qui me suis endormi avec des posters d'Henri Michel

ah beh oui, je me disais bien aussi

Et encore j'ai pas mis la photo de l'article, j'voulais pô choquer les jeunes du forum

Triskel a écrit:

pissoffcake a écrit:Je voulais juste dire, moi qui me suis endormi avec des posters d'Henri Michel

ah beh oui, je me disais bien aussi

Et encore j'ai pas mis la photo de l'article, j'voulais pô choquer les jeunes du forum

On le voyait habillé en cuir et accompagné de sa Maîtresse ?

Vinny a écrit:

Triskel a écrit:

pissoffcake a écrit:Je voulais juste dire, moi qui me suis endormi avec des posters d'Henri Michel

ah beh oui, je me disais bien aussi

Et encore j'ai pas mis la photo de l'article, j'voulais pô choquer les jeunes du forum

On le voyait habillé en cuir et accompagné de sa Maîtresse ?

Pire Pis l'autre à côté on se demande ce qu'il a encore dans la bouche !

Spoiler:

« Pascal Praud aurait dû mourir à la place de Gilardi »

on a un nouvel expert de la drh
le club est sauvé
par contre praud devrait se faire virer si c'est pas un de ses amis

Un specialiste de la DRH poyur la L1, c'est limite...

Chanelet a écrit:Un specialiste de la DRH poyur la L1, c'est limite...

Pascal Praud : « Rien n'est simple »

Le directeur général délégué au marketing et à la communication en a vu des vertes et des pas mûres depuis le 4 janvier 2008.
Directeur général délégué du FCN depuis janvier 2008, l'ex-journaliste, en dépit des critiques, compte tenir bon.


Un an... Quel bilan en tirez-vous ?

Pascal Praud : « Ce sont des émotions... Je pense à Grenoble (0-1, le 4 octobre). Nous sommes alors dans une situation très, très compliquée. Et tout d'un coup, je suis au bord des larmes. À l'inverse, je me souviens de l'après Caen (3-0, 27/09), c'est ancré en moi. Là, on verse dans l'irrationnel (la Jonelière avait été couverte de tags injurieux, N.D.L.R.), je croise dans le regard de certains de l'agressivité. Voire pire, de la réjouissance... »

Il faut dire, sans excuser ces gestes, que certains de vos propos ont pu troubler...

« Oui... Je ne parlerai pas des « pompes à vélo ». « Les Choristes », en revanche, je le regrette. Maintenant, vous savez, je me suis endormi durant des années avec le poster d'Henri Michel au-dessus de mon lit. Qu'on ne vienne pas me faire le procès de ne pas aimer le club ! De plus, je suis un homme culturellement tourné vers le passé. Cette phrase voulait simplement dire : « regardez vers l'avenir. » Mais bon, c'est de ma faute. »

Cela vous a-t-il choqué que seulement 26 000 personnes aient assisté au match face à Bordeaux ?

« (Sévère). Oui. Le point numéro un de la saison prochaine sera de retrouver une Beaujoire pleine. Nous n'échapperons pas à une analyse précise. Si les gens jugent les places trop chères, on y remédiera. »

Sauf que Waldemar Kita dit que pour avoir une grande équipe, il faut en payer le prix...

« Pour avoir une belle équipe, il faut surtout du monde dans le stade ! En premier lieu, des abonnés. Les spectateurs qui viennent au coup par coup sont les mêmes, environ 14 000. Le problème, ce sont les abonnements. On est à 11 000 contre 17 000 ou 18 000, normalement. »

Vous allez donc réviser les tarifs...

« Nous ferons notre analyse. »

Avez-vous des regrets ?

« J'ai l'impression que nous avons fait ce qu'on devait faire. Baup, par exemple. C'est « the right man on the right place ». C'est la meilleure décision qu'ait prise Waldemar Kita. »

Tardivement...

« (Haussement d'épaules). Mieux vaut tard que jamais. »

Donc pas de regrets...

« (Long silence). Il faut dire les choses quand vous les pensez. Dire au président... J'aurais pu faire autrement... (Nouveau silence) »

C'est-à-dire ?

« Il faut être au plus près de sa vérité. Mon but est de travailler sur la durée. Mais rien n'est simple... Maintenant, si vous ne voulez pas vous prendre de coups, vous vous faites libraire à La Baule. »

La tentation de Venise...

« (Sourire). Il y a quatre ans, il y avait une librairie à vendre rue Saint-Dominique à Paris et j'étais allé me renseigner.

Hélas, je me suis rendu compte que c'était plus un métier de gestion que de lecture. (Il stoppe). Et là, les gens vont se dire : « P..., pourquoi il ne l'a pas fait ? » (rires) »?

Recueilli par Etienne Kiss

Presse-Océan

Jeu de thèmes... moi non plus

Quelques secondes avant le coup d'envoi sur le plateau on se concentre... ou l'on s'échauffe. Photo OJLT
Invité hier sur Nantes 7 avec les supporters du FCN, Pascal Praud a opté pour une défense abusive.
Le débat animé par François Rabiller dans le cadre de l'émission Fous de Foot sur Nantes 7 avait de quoi faire saliver les amateurs de belles affiches avec Pascal Praud, directeur général délégué du FC Nantes, invité à répondre aux interrogations du journaliste d'Hit West Simon Reungoat et de trois représentants de groupe de supporters : Vincent Daubié (Allez Nantes Canaris), Romuald (Brigade Loire) et Frédéric Porcher (fcnantais.com). On pouvait se prendre à rêver d'un Barcelone - Real Madrid mais on a de nouveau dû se taper du Nantes - Le Havre.

Une langue de bois de la plus belle essence

Après une tentative offensive grandiloquente de Pascal Praud déplorant le condamnable slogan « si on descend, on vous descend » lancé par la Brigade Loire (associée comme le soulignait Romuald à des membres de Magic Canaris et Force Jaune) lors du décrassage de lundi à la Beaujoire, Romuald concédait le coup-franc : « Non ce n'est pas convenable, c'est une erreur » admettait-il. Mais Pascal Praud mettait hors cadre lorsque Frédéric Porcher (fcnantais.com) et Vincent Daubié (Allez Nantes Canaris) lui soumettaient leur incompréhension devant « la démission » des joueurs dimanche dernier face au Havre. « N'attendez pas de moi que je vienne ici dire du mal des joueurs publiquement... le linge sale se lave en famille » prévenait le dirigeant drapé dans sa fonction en doublant illico l'épaisseur de la langue de bois lorsqu'était envisagée la manière dont le club allait pouvoir remédier au dilettantisme de ses brebis égarées : « Cette idée collective de combattre ensemble, nous allons essayer de l'appliquer durant les 4 matches qui restent mais n'attendez pas de moi que je vienne ici vous dire comment on va faire. » Un peu tôt quand même pour les dégagements en touche...

Procès en sorcellerie

Les différents thèmes abordés, l'échec global du recrutement, la formation (dont la pérennité des cadres est étrangement suspendue à l'avenir de l'équipe première) ne seront pas mieux éclaircis par un directeur général délégué invoquant le « procès en sorcellerie » intenté au moindre décisionnaire susceptible d'endosser une responsabilité. « Le climat à Nantes est tellement délétère, dans la presse parmi les supporters qu'on ne peut pas s'exprimer » regrettait Pascal Praud qui venait d'en avoir une occasion tout bonnement vendangée hier.

OJL Terrien

« N'attendez pas de moi que je vienne ici vous dire comment on va faire »

Presse-Océan


Du très grand crétin, à baffer même...

Ils ont réussi à déstabiliser Praud qui était tout de même bien préparé (toujours la même phrase pour ne rien dire)

Et Romuald a bien manœuvrer, aussi.. Il a raison quand il dit que Praud protège la direction sur chaque cas en repoussant la faute sur tel ou tel personne qui n'appartient pas au quatuor (Kita, Larièpe, Praud et Robin)

De toute façon pour que ça marche il ne faut pas grand chose : Suaudeau président, Denoueix entraîneur, Larièpe stadier et Praud au nettoyage des chiottes. On ne demande pas la lune quand même.

Praud qui traitait les valenciennois de trompettes c'est une tête à coup de poings, un guignol fini qui salit la réputation du fcn

Bertrand a écrit:Praud qui traitait les valenciennois de trompettes c'est une tête à coup de poings, un guignol fini qui salit la réputation du fcn

Pompes à vélo, ce n'est quand même pas la même chose.