[Après-Match] FC Nantes - AS Nancy

max le canaris a écrit:

l'Aigle de l'Erdre a écrit:

max le canaris a écrit:Il a bien parlé le Emerse

il a dit quoi?

Il a félicité le public. Il a dit que le derzoum et n'doram les motivait et leur avit communiqué sa rage de vaincre. Et qu'il croyait au maintient...

faut se souvenir qu'il nous avait fait un doigt a un autre match bravo emerse bravo

Nico56 a écrit:

Holbac a écrit:

Nico56 a écrit:

diallodu79 a écrit:32000 spectateur d'après ce qu'on m'a dit

Les tarifs des places étaient revus à la baisse pour ce match : à partir de 5 euros. Il y avait beaucoup de monde et une bonne ambiance. J'ai bien aimé le nouveau chant lalalalala oh lalalalala oh lalalalalalalalalalalalala

Ca fait longtemps qu'il existe

Ben je l'ai pas entendu de la saison et pi avant je venais pas moi

c'est lalalala boum lalalala boum lalallalalalala

en esperant que sedan ne fasse pas un gros coup ce soir! si monaco est important, le moment ultime de verité se jouera contre sedan

NANTES / MAURO CETTO :
« Ce serait honteux de descendre »
dimanche 11 mars 2007 - 08 h 50 - Loïc FOLLIOT



Mauro Cetto enchaîne les prestations de haute volée au sein de la charnière centrale. Des performances qui arrivent à point nommé alors que Nantes est lancé dans le sprint final pour le maintien.



Mauro Cetto, quels arguments le FC Nantes peut-il faire valoir pour réussir dans son entreprise maintien ?
J’espère que le confiance s’installe. C’est un atout indispensable. L’exemple le plus clair, c’est Claudiu (ndlr : Keserü). Sur son but contre Sochaux le week-end dernier, il prend son temps avant d’ajuster Richert. Avant, il aurait peut-être choisi de frapper en force. Là, il a pris la bonne option, sans précipitation.

Le FC Nantes est toujours relégable. Le capitaine se sent-il investi d’une mission par rapport à la cohésion du groupe ?
Je porte le brassard mais on doit être trois ou quatre à amener le groupe à se responsabiliser. Je pense à Frédéric Da Rocha, Nicolas Savinaud ou Fabien Barthez. Le rôle de capitaine est sûrement plus important quand ça va mal. Il faut chercher les raisons de l’échec et faire en sorte que ça change. C’est ce qu’on réalise aujourd’hui. Avec Da Rocha, c’est nous qui parlons le plus à l’échauffement. On procède à de petits rappels, en essayant de motiver l’équipe avant le match, avec l’envie de partager quelque chose.

A titre individuel, vous restez sur des performances remarquées…
Quand ça se passe bien individuellement, cela procure de la confiance et on a davantage de crédibilité quand on s’exprime. Nous sommes à un cap où les plus expérimentés doivent être des leaders.

Votre association avec Jean-Jacques Pierre est également saluée par les observateurs…
Avec Jean-Jacques, on s’entend bien sur et en dehors du terrain. Il a joué en Uruguay et en match, il a la même façon de voir les choses. Il pense et il réfléchit comme Julio (ndlr : Rossi) et moi. Par moments, on se parle en espagnol. On connaît ses qualités. Avant, il fallait toujours être derrière lui pour qu’il ne lâche pas. Dans ce domaine, il progresse. On critique parfois sa relance mais quand on est défenseur, la qualité de la relance est aussi liée à la mobilité des partenaires et aux solutions qu’ils proposent. Quand tu as des joueurs comme Jean-Jacques ou Fabien à tes côtés, ça t’oblige à ne rien lâcher. Les autres le ressentent.

« La saison peut très bien finir avec un maintien et une Coupe de France »

Michel Der Zakarian et Japhet N’Doram ont-ils trouvé un onze type ?
Depuis plusieurs matchs, les mêmes joueurs sont alignés. Ça favorise les automatismes et la confiance. A Sedan, tout le monde a marqué son tir au but…

Les retours conjugués de Franck Signorino, Nicolas Savinaud et Eric Cubilier dans le groupe, de vrais latéraux, était-il attendu avec impatience ?
Vu la façon dont ça s’est passé dernièrement, ce ne serait pas correct de dire ça. Leur retour signifie que la concurrence est renforcée à tous les postes et que ça doit hausser le niveau de jeu de l’équipe. Cela doit se traduire par une motivation et pas par la pression. Ensuite, c’est l’entraîneur qui décide. On a obtenu de bons résultats avec Kevin (ndlr : Das Neves) et Loïc (Guillon), même si les autres connaissent mieux le poste.

Frédéric Da Rocha n’a pas hésité à évoquer un sentiment de honte en cas de rétrogradation en Ligue 2. Partagez-vous ce sentiment ?
Bien sûr. Ce serait une honte de descendre avec le FC Nantes, vu l’effectif et le potentiel de ce groupe. Partout, on dit que le FC Nantes est un monument du football français. On n’a pas le droit de descendre. Alors oui, faire partie du groupe qui amènerait le club en Ligue 2, ce serait la honte. Il y a un mois, j’ai dit que tout le monde n’était peut-être pas conscient de la situation. Aujourd’hui, c’est différent. Mais il ne reste plus beaucoup de temps. Pour obtenir le maintien, il nous faut encore une bonne quinzaine de points. Une descente, ce serait un échec personnel et collectif. Je ne suis pas venu à Nantes pour descendre en L2. Le fait de passer la totalité de la saison en position de relégable, ça me touche. La saison peut très bien finir avec un maintien et une victoire en Coupe de France. Mais elle peut aussi mal se terminer.

Comment envisagez-vous votre avenir la saison prochaine, sachant que la menace de relégation est réelle ?
Si on pense à la saison prochaine, ce n’est pas la peine d’insister. On est effectivement dans une période où les joueurs songent à leur avenir. Mais notre situation ne nous permet pas de nous projeter si loin. Chacun doit se concentrer sur le même objectif : gagner le prochain match.

source : football 365

on voit quand meme que si on descend c'est pire qu'une saignée, une veritable hemorragie

Bonne ambiance en loire hier soir ca faisait plaisir et ca faisait longtemp que tous le stade n'avait pas chanter ensemble ca fait plaisir tout le stade qu'a chanter "allez les jaunes"

donzelot a écrit:Bonne ambiance en loire hier soir ca faisait plaisir et ca faisait longtemp que tous le stade n'avait pas chanter ensemble ca fait plaisir tout le stade qu'a chanter "allez les jaunes"

au moins derzooma du caractere et son coté combattant sied a la situation actuelle

qu'est ce qui se passe avec derzoum ?? pourquoi y'en a qui disse qui ne sera pas sur le terrain ?

donzelot a écrit:qu'est ce qui se passe avec derzoum ?? pourquoi y'en a qui disse qui ne sera pas sur le terrain ?

ils deconnaient ...mais s'il ne fut pas un grand joueur , il fut un joueur de caractere et au courage indeniable

donzelot a écrit:qu'est ce qui se passe avec derzoum ?? pourquoi y'en a qui disse qui ne sera pas sur le terrain ?

Il s'est fait explusé durant le temps additionnel.

Glombardo a écrit:

donzelot a écrit:qu'est ce qui se passe avec derzoum ?? pourquoi y'en a qui disse qui ne sera pas sur le terrain ?

Il s'est fait explusé durant le temps additionnel.

j'avais pas vu comme beaucoup

Glombardo a écrit:

donzelot a écrit:qu'est ce qui se passe avec derzoum ?? pourquoi y'en a qui disse qui ne sera pas sur le terrain ?

Il s'est fait explusé durant le temps additionnel.

au moins il montre qu'il est impliqué

Nico56 a écrit:

Merci.

Brigade Odet a écrit:

Nico56 a écrit:

Merci.

donzelot a écrit:

Glombardo a écrit:

donzelot a écrit:qu'est ce qui se passe avec derzoum ?? pourquoi y'en a qui disse qui ne sera pas sur le terrain ?

Il s'est fait explusé durant le temps additionnel.

j'avais pas vu comme beaucoup

Et le public a rigolé car Japhet la remplacé immédaitement

Nico56 a écrit:

T'aurais dû être journaliste.... Franchement tu écris très bien!

michelpolak a écrit:

Nico56 a écrit:

T'aurais dû être journaliste.... Franchement tu écris très bien!

C' est vrai qui s' débrouille bien l' Nicolaï ...

un futur journaleux pour l'equipe qui en aurait bien besoin

on a fait un match équivalant à celui qu'on a fait contre auxerre et la on a eu la réussite hereusement,mais vous avez vu depuis qu'on arrive à alignier la meme compo sur plusieurs matchs consécutives ,on arrive à avoir des résultats ,donc c'etait pas un probléme de volonté mais de cohesion ,contrairement à ce qui se dit ,depuis que eo à repris l'équipe les joueurs sont véritablement concérnés par le maintien

alain a écrit:on a fait un match équivalant à celui qu'on a fait contre auxerre et la on a eu la réussite hereusement,mais vous avez vu depuis qu'on arrive à alignier la meme compo sur plusieurs matchs consécutives ,on arrive à avoir des résultats ,donc c'etait pas un probléme de volonté mais de cohesion ,contrairement à ce qui se dit ,depuis que eo à repris l'équipe les joueurs sont véritablement concérnés par le maintien

Der Zack plutot ?

Dans les arrêts de jeu, Michel Der Zakarian a été expulsé par l’arbitre. « J’ai fait obstruction à un joueur qui voulait récupérer le ballon », a indiqué celui qui devrait être suspendu à Monaco. 20 Minutes nantes

Inti a écrit:

Dans les arrêts de jeu, Michel Der Zakarian a été expulsé par l’arbitre. « J’ai fait obstruction à un joueur qui voulait récupérer le ballon », a indiqué celui qui devrait être suspendu à Monaco. 20 Minutes nantes

Oki ... Donc c' est pour ça ... Sur les images , j' avais pas vraiment ( parcequ'on voit rien ) compris les motivations à cette expulsion ...

Diallo marque enfin à domicile

Il n’avait pas marqué à la Beaujoire depuis le 11 février 2006. Soit plus d’un an sans but sur ses terres. Samedi soir, Mamadou Diallo a vaincu le signe indien et ouvert le score pour les Canaris d’une belle tête (35e). L’attaquant malien aurait même pu s'offrir un doublé en seconde période
sur un bon service de Keserü, mais le ballon a fini sa course sur le poteau. Meilleur buteur nantais la saison dernière avec deux réalisations, Diallo n’en est qu’à deux unités cette année. Un bilan personnel famélique qu'il tente d’expliquer. Dans le creux de l’automne, il dit avoir « passé des moments très difficiles ». « Tu ne marques pas. L’équipe ne gagne pas donc tu perds ta place », explique-t-il. Résultat, il lui a fallu attendre fin décembre pour enfin trouver le chemin des filets. C’était à Toulouse (0-4), le 23 décembre dernier. «Ce but m’a fait du bien, avoue Diallo. Il m’a redonné confiance. » D. P.

20 Minutes Nantes

Inti a écrit:

Diallo marque enfin à domicile

Il n’avait pas marqué à la Beaujoire depuis le 11 février 2006. Soit plus d’un an sans but sur ses terres. Samedi soir, Mamadou Diallo a vaincu le signe indien et ouvert le score pour les Canaris d’une belle tête (35e). L’attaquant malien aurait même pu s'offrir un doublé en seconde période
sur un bon service de Keserü, mais le ballon a fini sa course sur le poteau. Meilleur buteur nantais la saison dernière avec deux réalisations, Diallo n’en est qu’à deux unités cette année. Un bilan personnel famélique qu'il tente d’expliquer. Dans le creux de l’automne, il dit avoir « passé des moments très difficiles ». « Tu ne marques pas. L’équipe ne gagne pas donc tu perds ta place », explique-t-il. Résultat, il lui a fallu attendre fin décembre pour enfin trouver le chemin des filets. C’était à Toulouse (0-4), le 23 décembre dernier. «Ce but m’a fait du bien, avoue Diallo. Il m’a redonné confiance. » D. P.

20 Minutes Nantes

C'est dix

Peut-être que cette info a été déjà mise

Édition du dimanche 11 mars 2007
Les Nantais ont appris à ne pas faire la fine bouche

Ligue 1. Malgré un match très décousu, les Nantais sont parvenus à aligner une deuxième victoire consécutive. S'ils sont toujours relégables, les hommes du tandem Der Zakarian - N'Doram croient plus que jamais à leur survie en L1.

Cela faisait deux mois, à trois jours près, que le public nantais n'était plus reparti de la Beaujoire avec le sourire. Depuis la victoire sur Nice, le 13 janvier. La seule fois de la saison où les Canaris étaient parvenus à enchaîner deux succès consécutifs en L1 (après celui de Toulouse), soit dit en passant. Hier soir, ils y sont à nouveau parvenus. La victoire sochalienne de dimanche dernier s'est trouvé une petite soeur. Bien sûr, ce n'est pas encore la série dont rêvent les Canaris, remontés à la 18e place avant le match du PSG aujourd'hui. Mais les fondations en sont posées.

Car mine de rien, depuis son intronisation, le tandem Der Zakarian - N'Doram n'a pas connu la défaite. En quatre journées, il tourne même à une moyenne de deux points par match qui intéresserait plus d'un club. Pour autant, personne ne s'enflammait, à la sortie du vestiaire. « C'est une victoire qui fait du bien, expliquait Emerse Faé. Il y a deux journées, on nous voyait mort. Et même si l'on se devait d'y croire, nous-même avions pris un sacré coup au moral. Là, on se relance. » Comme tous ses partenaires, et bien entendu ses entraîneurs, l'Ivoirien, auteur du but de la victoire, récita ensuite la phrase du jour : « Il faut continuer. Aller à Monaco avec le même état d'esprit. » Celui qui leur a permis, une fois encore, de ne pas sombrer quand les événements ont tourné au vinaigre.

Car cette victoire ne sera pas venue toute seule, loin de là. En déficit de confiance, longtemps privés de rythme par des Nancéiens maîtres du ballon, les Canaris furent tout heureux d'ouvrir le score sur leur première véritable occasion (Diallo, 35'). Mais ils perdirent aussitôt ou presque (39') cet avantage. « C'est un peu notre défaut cette saison, soupira Japhet N'Doram. Ne pas parvenir à installer la maîtrise quand on marque. » Déjà plutôt confus, le jeu de Nantes bascula dans une succession d'actions individuelles sans véritable lien. Et si la deuxième mi-temps fut d'une meilleure tenue, jamais le FCNA ne parut véritablement à l'abri. Même après ce deuxième but, superbe de Faé, sur un exploit individuel.

À vrai dire, la Beaujoire eut droit au spectacle type d'une équipe jouant pour le maintien. Un match à l'énergie, où la détermination fit la différence. « Il va falloir être comme ça jusqu'au bout, soufflait Michel Der Zakarian. Car, il ne faut pas rêver, on ne va pas faire de miracle. » Dans le jeu s'entend. Car au classement, avoir permis à Nantes de recoller ainsi tient déjà de l'exploit. Mais, comme le disait Emerse Faé, « de toute façon, dans la situation dans laquelle on se trouve, toutes les victoires sont précieuses, quelle que soit la manière employée pour les obtenir. »

Le FC Nantes a appris à raisonner comme un relégable. Statut qui est toujours le sien, que personne ne s'y trompe. Mais il y a les relégables résignés, et les relégables déterminés. Les Canaris ont manifestement choisi...

Pierre-Yves ANSQUER.


Ouest-France