Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
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Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 07:13
Football : Gripond : un projet présomptueux
Lorsqu'il débarque à la Jonelière en septembre 2001, nommé par Yves de Chaisemartin, patron de la Socpresse, qui a repris le club au printemps 2000, alors que les Canaris, déjà, venaient d'échapper à la relégation à la dernière journée, Jean-Luc Gripond ne connaît pas le football. Marseillais, l'ex-secrétaire général de Prost Grand Prix prétend connaître le jeu bien sûr, mais pas le milieu et ses pratiques.
D'une remarquable intelligence technocratique, il potasse, se renseigne et arrive à une conclusion sans doute biaisée par le contexte (le club joue la Ligue des champions) : le FC Nantes doit changer de braquet. La PME a certes bien fonctionné avec ses 8 titres de champion, mais lui veut la faire passer au stade de multinationale. La maison jaune est appelée à devenir, sous sa gouvernance, « le Manchester United français ». Il est question d'activités connexes, de partenariats, de manifeste pour l'esprit du foot... Après tout, c'est un projet. Mais pour tenir, il doit s'appuyer sur une cellule technique forte et indépendante, ancrée sur le coeur de métier.
Or, durant ses trois années et demi de présidence, il va, par une série de choix malheureux et une tendance prononcée à l'ingérence, l'affaiblir considérablement. Cela commence par le limogeage de Raynald Denoueix en décembre 2001. Une décision défendable, dans le contexte de l'époque (Nantes est dernier), mais dont personne ne mesure alors les conséquences. Avec Denoueix, c'est le dernier technicien dont la légitimité est incontestable qui s'en va.
Légitimité auprès des dirigeants, des joueurs et des autres entraîneurs. Gripond essaye Marcos, mais ne le soutient pas, au même titre que Robert Budzynski, quand les joueurs s'y opposent. Il choisit ensuite Amisse, dont il connaît les limites, mais qui présente l'avantage d'être malléable. La première saison est satisfaisante (6e place et finale de coupe de la Ligue), le potentiel joueurs étant encore important.
La deuxième tourne au vinaigre. En décembre 2004, Landreau mène une sédition tonitruante. Il alerte Dassault, qui vient de récupérer le club par inadvertance, sur les dangers qui guettent sa nouvelle filiale. Gripond, très impopulaire dans toutes les strates de l'entreprise, est dans le collimateur, mais n'est pas désavoué par son nouvel actionnaire.
Il n'a toutefois d'autre choix que de placer Le Dizet, qui réussit l'opération maintien.
Ouest-France
Football : Roussillon tous azimuts
Celle-ci s'achève dans un suspense insoutenable, lors de la dernière journée, sous les yeux d'un homme que personne ne connaît : Rudi Roussillon. L'histoire dit alors qu'il tient dans sa main un communiqué annonçant une cession en cas de descente. Il ne le sortira pas. En juillet 2005, il prend donc les commandes. Ses premières mesures sont spectaculaires : il met Robert Budzynski à la retraite, licencie le directeur général Eric Leport et annonce le départ de Jean-Luc Gripond après une période transitoire. Mais le provisoire va durer. Roussillon, au front sur les dossiers L'Express et Le Figaro pour Dassault, est un président courant d'air. Il s'appuie donc sur Gripond, qui poursuit sa politique comme il l'entend, mais dans l'ombre. C'est notamment lui qui place N'Doram avec lequel il va désormais gérer le recrutement, bien au-delà des seules négociations.
Une collaboration qui va donner sa pleine mesure à l'été 2006. Avec une nouvelle orientation dans le recrutement, décidée sans concertation avec l'entraîneur. Une fois encore, c'est l'échec. Du coup, Roussillon, qui s'est contenté de communiquer jusque-là, fait son entrée dans l'opérationnel. Sans la queue d'un projet ou d'une ligne de conduite. En quelques mois, après avoir, de concert avec JLG, refusé de donner les pleins pouvoirs sportifs à Halilhodzic, il shoote Le Dizet, puis Eo, son successeur, pour placer l'improbable tandem N'Doram - Der Zakarian. Au Mercato d'hiver, il s'offre un coup de pub extraordinaire avec Barthez, dont il semble être le seul à ne pas savoir, dans ce milieu, qu'il est tout, sauf un leader. En lui donnant « carte blanche », il ouvre la voie à un management à deux vitesses qui parachève ces cinq années et demi d'errance, où à un projet malvenu a succédé une gestion à la petite semaine.
Un laps de temps suffisant pour mettre à mal un modèle économique qui, s'il était fragile avec cette forte dépendance aux cycles du centre de formation et aux ventes de joueurs, n'en était pas moins viable. Aujourd'hui, puisque la formation n'est plus au centre des priorités, et alors que les grandes consciences de la maison jaune ont été une à une conduites vers la sortie, il faut en reconstruire un autre. Avec les mêmes hommes et la même maison mère ? Les réponses appartiennent à Serge Dassault. Un actionnaire qui n'a jamais mis les pieds ni à la Jonelière, ni à la Beaujoire. Édifiant.
Pierre-Yves ANSQUER.
Ouest-France
Lorsqu'il débarque à la Jonelière en septembre 2001, nommé par Yves de Chaisemartin, patron de la Socpresse, qui a repris le club au printemps 2000, alors que les Canaris, déjà, venaient d'échapper à la relégation à la dernière journée, Jean-Luc Gripond ne connaît pas le football. Marseillais, l'ex-secrétaire général de Prost Grand Prix prétend connaître le jeu bien sûr, mais pas le milieu et ses pratiques.
D'une remarquable intelligence technocratique, il potasse, se renseigne et arrive à une conclusion sans doute biaisée par le contexte (le club joue la Ligue des champions) : le FC Nantes doit changer de braquet. La PME a certes bien fonctionné avec ses 8 titres de champion, mais lui veut la faire passer au stade de multinationale. La maison jaune est appelée à devenir, sous sa gouvernance, « le Manchester United français ». Il est question d'activités connexes, de partenariats, de manifeste pour l'esprit du foot... Après tout, c'est un projet. Mais pour tenir, il doit s'appuyer sur une cellule technique forte et indépendante, ancrée sur le coeur de métier.
Or, durant ses trois années et demi de présidence, il va, par une série de choix malheureux et une tendance prononcée à l'ingérence, l'affaiblir considérablement. Cela commence par le limogeage de Raynald Denoueix en décembre 2001. Une décision défendable, dans le contexte de l'époque (Nantes est dernier), mais dont personne ne mesure alors les conséquences. Avec Denoueix, c'est le dernier technicien dont la légitimité est incontestable qui s'en va.
Légitimité auprès des dirigeants, des joueurs et des autres entraîneurs. Gripond essaye Marcos, mais ne le soutient pas, au même titre que Robert Budzynski, quand les joueurs s'y opposent. Il choisit ensuite Amisse, dont il connaît les limites, mais qui présente l'avantage d'être malléable. La première saison est satisfaisante (6e place et finale de coupe de la Ligue), le potentiel joueurs étant encore important.
La deuxième tourne au vinaigre. En décembre 2004, Landreau mène une sédition tonitruante. Il alerte Dassault, qui vient de récupérer le club par inadvertance, sur les dangers qui guettent sa nouvelle filiale. Gripond, très impopulaire dans toutes les strates de l'entreprise, est dans le collimateur, mais n'est pas désavoué par son nouvel actionnaire.
Il n'a toutefois d'autre choix que de placer Le Dizet, qui réussit l'opération maintien.
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Football : Roussillon tous azimuts
Celle-ci s'achève dans un suspense insoutenable, lors de la dernière journée, sous les yeux d'un homme que personne ne connaît : Rudi Roussillon. L'histoire dit alors qu'il tient dans sa main un communiqué annonçant une cession en cas de descente. Il ne le sortira pas. En juillet 2005, il prend donc les commandes. Ses premières mesures sont spectaculaires : il met Robert Budzynski à la retraite, licencie le directeur général Eric Leport et annonce le départ de Jean-Luc Gripond après une période transitoire. Mais le provisoire va durer. Roussillon, au front sur les dossiers L'Express et Le Figaro pour Dassault, est un président courant d'air. Il s'appuie donc sur Gripond, qui poursuit sa politique comme il l'entend, mais dans l'ombre. C'est notamment lui qui place N'Doram avec lequel il va désormais gérer le recrutement, bien au-delà des seules négociations.
Une collaboration qui va donner sa pleine mesure à l'été 2006. Avec une nouvelle orientation dans le recrutement, décidée sans concertation avec l'entraîneur. Une fois encore, c'est l'échec. Du coup, Roussillon, qui s'est contenté de communiquer jusque-là, fait son entrée dans l'opérationnel. Sans la queue d'un projet ou d'une ligne de conduite. En quelques mois, après avoir, de concert avec JLG, refusé de donner les pleins pouvoirs sportifs à Halilhodzic, il shoote Le Dizet, puis Eo, son successeur, pour placer l'improbable tandem N'Doram - Der Zakarian. Au Mercato d'hiver, il s'offre un coup de pub extraordinaire avec Barthez, dont il semble être le seul à ne pas savoir, dans ce milieu, qu'il est tout, sauf un leader. En lui donnant « carte blanche », il ouvre la voie à un management à deux vitesses qui parachève ces cinq années et demi d'errance, où à un projet malvenu a succédé une gestion à la petite semaine.
Un laps de temps suffisant pour mettre à mal un modèle économique qui, s'il était fragile avec cette forte dépendance aux cycles du centre de formation et aux ventes de joueurs, n'en était pas moins viable. Aujourd'hui, puisque la formation n'est plus au centre des priorités, et alors que les grandes consciences de la maison jaune ont été une à une conduites vers la sortie, il faut en reconstruire un autre. Avec les mêmes hommes et la même maison mère ? Les réponses appartiennent à Serge Dassault. Un actionnaire qui n'a jamais mis les pieds ni à la Jonelière, ni à la Beaujoire. Édifiant.
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 07:41
On n'a qu'a rétablir la peine de mort ! Je les foutrais moi meme à la guillotine ! Ou j'appuierai sur la seringue !!
- ChaneletRecrue
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 09:36
On dirait un scenario de film.....
- sebChampion du Monde
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 09:40
Faute lourde plutôt : aucune indemnité de licenciement à leur verser, ni l'indemnité compensatrice de congés payés, que dalle.
Qu'ils dégagent ces baltringues, on ne leur a rien demandé.
Qu'ils dégagent ces baltringues, on ne leur a rien demandé.
- TriskelBallon d'Or
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 09:58
Je vais rectifier le titre alorsseb a écrit:Faute lourde plutôt : aucune indemnité de licenciement à leur verser, ni l'indemnité compensatrice de congés payés, que dalle.
Qu'ils dégagent ces baltringues, on ne leur a rien demandé.
- alain deloinInternational
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 10:08
Triskel a écrit:Football : Gripond : un projet présomptueux
Lorsqu'il débarque à la Jonelière en septembre 2001, nommé par Yves de Chaisemartin, patron de la Socpresse, qui a repris le club au printemps 2000, alors que les Canaris, déjà, venaient d'échapper à la relégation à la dernière journée, Jean-Luc Gripond ne connaît pas le football. Marseillais, l'ex-secrétaire général de Prost Grand Prix prétend connaître le jeu bien sûr, mais pas le milieu et ses pratiques.
D'une remarquable intelligence technocratique, il potasse, se renseigne et arrive à une conclusion sans doute biaisée par le contexte (le club joue la Ligue des champions) : le FC Nantes doit changer de braquet. La PME a certes bien fonctionné avec ses 8 titres de champion, mais lui veut la faire passer au stade de multinationale. La maison jaune est appelée à devenir, sous sa gouvernance, « le Manchester United français ». Il est question d'activités connexes, de partenariats, de manifeste pour l'esprit du foot... Après tout, c'est un projet. Mais pour tenir, il doit s'appuyer sur une cellule technique forte et indépendante, ancrée sur le coeur de métier.
Or, durant ses trois années et demi de présidence, il va, par une série de choix malheureux et une tendance prononcée à l'ingérence, l'affaiblir considérablement. Cela commence par le limogeage de Raynald Denoueix en décembre 2001. Une décision défendable, dans le contexte de l'époque (Nantes est dernier), mais dont personne ne mesure alors les conséquences. Avec Denoueix, c'est le dernier technicien dont la légitimité est incontestable qui s'en va.
Légitimité auprès des dirigeants, des joueurs et des autres entraîneurs. Gripond essaye Marcos, mais ne le soutient pas, au même titre que Robert Budzynski, quand les joueurs s'y opposent. Il choisit ensuite Amisse, dont il connaît les limites, mais qui présente l'avantage d'être malléable. La première saison est satisfaisante (6e place et finale de coupe de la Ligue), le potentiel joueurs étant encore important.
La deuxième tourne au vinaigre. En décembre 2004, Landreau mène une sédition tonitruante. Il alerte Dassault, qui vient de récupérer le club par inadvertance, sur les dangers qui guettent sa nouvelle filiale. Gripond, très impopulaire dans toutes les strates de l'entreprise, est dans le collimateur, mais n'est pas désavoué par son nouvel actionnaire.
Il n'a toutefois d'autre choix que de placer Le Dizet, qui réussit l'opération maintien.
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Celle-ci s'achève dans un suspense insoutenable, lors de la dernière journée, sous les yeux d'un homme que personne ne connaît : Rudi Roussillon. L'histoire dit alors qu'il tient dans sa main un communiqué annonçant une cession en cas de descente. Il ne le sortira pas. En juillet 2005, il prend donc les commandes. Ses premières mesures sont spectaculaires : il met Robert Budzynski à la retraite, licencie le directeur général Eric Leport et annonce le départ de Jean-Luc Gripond après une période transitoire. Mais le provisoire va durer. Roussillon, au front sur les dossiers L'Express et Le Figaro pour Dassault, est un président courant d'air. Il s'appuie donc sur Gripond, qui poursuit sa politique comme il l'entend, mais dans l'ombre. C'est notamment lui qui place N'Doram avec lequel il va désormais gérer le recrutement, bien au-delà des seules négociations.
Une collaboration qui va donner sa pleine mesure à l'été 2006. Avec une nouvelle orientation dans le recrutement, décidée sans concertation avec l'entraîneur. Une fois encore, c'est l'échec. Du coup, Roussillon, qui s'est contenté de communiquer jusque-là, fait son entrée dans l'opérationnel. Sans la queue d'un projet ou d'une ligne de conduite. En quelques mois, après avoir, de concert avec JLG, refusé de donner les pleins pouvoirs sportifs à Halilhodzic, il shoote Le Dizet, puis Eo, son successeur, pour placer l'improbable tandem N'Doram - Der Zakarian. Au Mercato d'hiver, il s'offre un coup de pub extraordinaire avec Barthez, dont il semble être le seul à ne pas savoir, dans ce milieu, qu'il est tout, sauf un leader. En lui donnant « carte blanche », il ouvre la voie à un management à deux vitesses qui parachève ces cinq années et demi d'errance, où à un projet malvenu a succédé une gestion à la petite semaine.
Un laps de temps suffisant pour mettre à mal un modèle économique qui, s'il était fragile avec cette forte dépendance aux cycles du centre de formation et aux ventes de joueurs, n'en était pas moins viable. Aujourd'hui, puisque la formation n'est plus au centre des priorités, et alors que les grandes consciences de la maison jaune ont été une à une conduites vers la sortie, il faut en reconstruire un autre. Avec les mêmes hommes et la même maison mère ? Les réponses appartiennent à Serge Dassault. Un actionnaire qui n'a jamais mis les pieds ni à la Jonelière, ni à la Beaujoire. Édifiant.
Pierre-Yves ANSQUER.
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roussillon va encore pleurer en lisant ça
- sebChampion du Monde
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 10:09
Triskel a écrit:Je vais rectifier le titre alorsseb a écrit:Faute lourde plutôt : aucune indemnité de licenciement à leur verser, ni l'indemnité compensatrice de congés payés, que dalle.
Qu'ils dégagent ces baltringues, on ne leur a rien demandé.
On économisera ainsi les congés qui leur restaient à prendre, on ne va comme même pas racheter la boutique plus que ce qu'elle vaut.
Je vais négocier avec un avocat pour la reprise du club.
- alain deloinInternational
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 10:22
quand tu vois que le club ne vaut plus que 8 millions et encore (tient forgeard pourrait le racheter rien qu'avec ses indemnités de licenciement ) c'est dire dans quel état il le laisse le club .Et encore ils ont pas fini car s'ils veulent le garder c'est pas pour rienseb a écrit:Triskel a écrit:Je vais rectifier le titre alorsseb a écrit:Faute lourde plutôt : aucune indemnité de licenciement à leur verser, ni l'indemnité compensatrice de congés payés, que dalle.
Qu'ils dégagent ces baltringues, on ne leur a rien demandé.
On économisera ainsi les congés qui leur restaient à prendre, on ne va comme même pas racheter la boutique plus que ce qu'elle vaut.
Je vais négocier avec un avocat pour la reprise du club.
- fcna85CFA
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 10:49
Si on les virent, il seraient capable d'envoyer le club au prud'hommes ces cons !!!
- InvitéInvité
Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 14:18
Normal, z'ont quand même évité le national.fcna85 a écrit:Si on les virent, il seraient capable d'envoyer le club au prud'hommes ces cons !!!
- ColucheRecrue
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 14:25
Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Ils doivent être lourdés pour faute de licence
- TriskelBallon d'Or
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 20:52
Nantes : Roussillon a vu la banderole
Rédaction Football365 - jeudi 10 mai 2007 - 20h37
La banderole « Dirigeants dehors », déjà du déplacement au Mans et brandie une nouvelle fois par les supporters à Bordeaux, n'est pas passée inaperçue. Rudi Roussillon notamment l'a parfaitement vue et s'en est expliqué sur Infosport mercredi.
« Dirigeants dehors ! » En lettres vertes sur fond jaune fluo, la banderole contestataire des supporters n'est pas passée inaperçue. Lors du déplacement au Mans, les supporters du FCNA l'avaient déjà brandie à plusieurs reprises. Elle avait même « participé » elle aussi activement à la marche silencieuse dans les rues mancelles. Mercredi soir à Bordeaux, Rudi Roussillon s'est vite rendu compte de la présence de cette banderole à nouveau.
« Elle était très visible, je l'ai bien vue il n'y a pas de problèmes, a expliqué ironiquement le président nantais sur Infosport avant de poursuivre : Il faut bien comprendre qu'il y a une énorme passion et que cette passion est franchement déçue. Tout le monde mène sa tâche avec passion, dirigeants compris. Tout le monde a vu la saison sur le terrain, les supporters y compris. Les joueurs ont essayé de match en match de faire le maximum pour redémarrer les résultats de l'équipe à plusieurs reprises. Pour différentes raisons, cela ne s'est pas produit : tout le monde le regrette et est déçu. Et la décision actuelle est très lourde et très forte chez tout le monde. »
Rédaction Football365 - jeudi 10 mai 2007 - 20h37
La banderole « Dirigeants dehors », déjà du déplacement au Mans et brandie une nouvelle fois par les supporters à Bordeaux, n'est pas passée inaperçue. Rudi Roussillon notamment l'a parfaitement vue et s'en est expliqué sur Infosport mercredi.
« Dirigeants dehors ! » En lettres vertes sur fond jaune fluo, la banderole contestataire des supporters n'est pas passée inaperçue. Lors du déplacement au Mans, les supporters du FCNA l'avaient déjà brandie à plusieurs reprises. Elle avait même « participé » elle aussi activement à la marche silencieuse dans les rues mancelles. Mercredi soir à Bordeaux, Rudi Roussillon s'est vite rendu compte de la présence de cette banderole à nouveau.
« Elle était très visible, je l'ai bien vue il n'y a pas de problèmes, a expliqué ironiquement le président nantais sur Infosport avant de poursuivre : Il faut bien comprendre qu'il y a une énorme passion et que cette passion est franchement déçue. Tout le monde mène sa tâche avec passion, dirigeants compris. Tout le monde a vu la saison sur le terrain, les supporters y compris. Les joueurs ont essayé de match en match de faire le maximum pour redémarrer les résultats de l'équipe à plusieurs reprises. Pour différentes raisons, cela ne s'est pas produit : tout le monde le regrette et est déçu. Et la décision actuelle est très lourde et très forte chez tout le monde. »
- Nico56Fondateur
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 20:54
Il l'a vue mais il n'a pas du comprendre de qui on parlait.
- TriskelBallon d'Or
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 21:07
Ce qui est à gerber c'est qu'il n'y a aucune remise en cause de leurs partsNico56 a écrit:Il l'a vue mais il n'a pas du comprendre de qui on parlait.
- Nico56Fondateur
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 21:19
Oui contrairement au président de Sedan qui dit qu'il partira s'il le fautTriskel a écrit:Ce qui est à gerber c'est qu'il n'y a aucune remise en cause de leurs partsNico56 a écrit:Il l'a vue mais il n'a pas du comprendre de qui on parlait.
- TriskelBallon d'Or
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Jeu 10 Mai 2007, 21:22
Pourtant les journalistes ne se gênent pas pour dire la responsabilité des dirigeants dans la descente duclub. Même devant Roussillon en personne mais cette raclure ne reconnaît même ses torts.Nico56 a écrit:Oui contrairement au président de Sedan qui dit qu'il partira s'il le fautTriskel a écrit:Ce qui est à gerber c'est qu'il n'y a aucune remise en cause de leurs partsNico56 a écrit:Il l'a vue mais il n'a pas du comprendre de qui on parlait.
- ChaneletRecrue
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Ven 11 Mai 2007, 00:53
Qu'ils aient au moins le respect de laisser ce club a des passionnes.
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Ven 11 Mai 2007, 01:00
Chanelet a écrit:Qu'ils aient au moins le respect de laisser ce club a des passionnes.
bha ce sont des passionés.... de la démolition
- Manuia29International
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Ven 11 Mai 2007, 07:11
Sur Info Sport, RR a maintenu qu'il est un passionné du FCNA, et que Dassault également.Chanelet a écrit:Qu'ils aient au moins le respect de laisser ce club a des passionnes.
On aura tout vu
- TriskelBallon d'Or
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Ven 11 Mai 2007, 07:43
Il manque Nantes en National.Manuia29 a écrit:Sur Info Sport, RR a maintenu qu'il est un passionné du FCNA, et que Dassault également.Chanelet a écrit:Qu'ils aient au moins le respect de laisser ce club a des passionnes.
On aura tout vu
- sebChampion du Monde
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Ven 11 Mai 2007, 09:40
Triskel a écrit:Ce qui est à gerber c'est qu'il n'y a aucune remise en cause de leurs partsNico56 a écrit:Il l'a vue mais il n'a pas du comprendre de qui on parlait.
C'est exactement ce que j'ai dit à mes femmes après avoir vu le reportage de France 3 hier soir. Faut croire que la descente est la conséquence d'une incroyable malchance... Et j'attends avec impatience le discours d'Ayrault.
- TriskelBallon d'Or
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Re: Gripond/Roussillon doivent être licenciés pour faute lourde
Ven 11 Mai 2007, 09:46
Tout comme pour Ségo, c'est la faute à Sarkoseb a écrit:Triskel a écrit:Ce qui est à gerber c'est qu'il n'y a aucune remise en cause de leurs partsNico56 a écrit:Il l'a vue mais il n'a pas du comprendre de qui on parlait.
C'est exactement ce que j'ai dit à mes femmes après avoir vu le reportage de France 3 hier soir. Faut croire que la descente est la conséquence d'une incroyable malchance... Et j'attends avec impatience le discours d'Ayrault.
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