Monsieur Kita et le FCN

Nico56 a écrit:

thenantaise a écrit:

Faut pas les écouter, ils racontent n'importe quoi. C'était un triple luts piqué

OUF...

Coluche a écrit:

Nico56 a écrit:

thenantaise a écrit:

Faut pas les écouter, ils racontent n'importe quoi. C'était un triple luts piqué

Oui antant ( au temps, oui oui Galette, les 2 se disent) pour moi

Si ça avait été un axel je serais monté directement alors que là j'ai d'abord piqué dans le fossé, retourné latéral pour se retrouver sur le toit et seulement après j'ai fait des roulés-boulés

En tout cas c'est ce que j'ai pu déduire en analysant les traces, le pare-choc était resté dans le fossé à 20 mètres de la bagnole, il s'est arrêté au piqué, l'a pô vu le reste du saut.

m'en fous j'ai r'trouvé mon saint-christophe dans le champ

Nico56 a écrit:

Coluche a écrit:

Nico56 a écrit:

thenantaise a écrit:

Faut pas les écouter, ils racontent n'importe quoi. C'était un triple luts piqué

Oui antant ( au temps, oui oui Galette, les 2 se disent) pour moi

Si ça avait été un axel je serais monté directement alors que là j'ai d'abord piqué dans le fossé, retourné latéral pour se retrouver sur le toit et seulement après j'ai fait des roulés-boulés

En tout cas c'est ce que j'ai pu déduire en analysant les traces, le pare-choc était resté dans le fossé à 20 mètres de la bagnole, il s'est arrêté au piqué, l'a pô vu le reste du saut.

m'en fous j'ai r'trouvé mon saint-christophe dans le champ

quand même

Nico56 a écrit:

Coluche a écrit:

Nico56 a écrit:

thenantaise a écrit:

Faut pas les écouter, ils racontent n'importe quoi. C'était un triple luts piqué

Oui antant ( au temps, oui oui Galette, les 2 se disent) pour moi

Si ça avait été un axel je serais monté directement alors que là j'ai d'abord piqué dans le fossé, retourné latéral pour se retrouver sur le toit et seulement après j'ai fait des roulés-boulés

En tout cas c'est ce que j'ai pu déduire en analysant les traces, le pare-choc était resté dans le fossé à 20 mètres de la bagnole, il s'est arrêté au piqué, l'a pô vu le reste du saut.

m'en fous j'ai r'trouvé mon saint-christophe dans le champ

A ce point là C'est que rencontrer Vinny, ça vous marque un homme

FC Nantes : vers l'élite du foot business*



En tête de la Ligue 2, le FC Nantes est en passe de réussir le pari de la remontée immédiate. Avec 11 points d'avance sur le 4e Clermont avant de le rencontrer lundi, les Canaris regardent l'avenir avec sérénité. Surtout, le président du club Waldemar Kita manifeste son envie de développer l'aspect économique du club.



Rentabiliser la maison jaune

Nouveau blason, nouveau nom, nouveaux bus et bancs de touche, l'image de l'ancêtre du championnat de France a été relookée pour faire table rase du passé. Nantes entre dans une nouvelle ère, selon la volonté de son président et homme d'affaires d'origine polonaise Waldemar Kita, celle du foot business. "Tout est question d'argent", expliquait-il lors d'une conférence de presse en début d'année. "En six mois, j'ai dû corriger deux fois les plans rédigés par l'ancienne équipe en mai."



L'image du club a été un chantier important via "une télévision sur internet, un logo, un car". Le stade de la Beaujoire figure aussi sur la liste des rénovations possibles. "Nous réfléchissons à des projets de modification à la Beaujoire, même si le site appartient à la Ville. Nous pensons, par exemple, y créer un véritable magasin. Le merchandising est très important, mais il n'existe pas au FC Nantes. L'objectif est de placer le club à un niveau supérieur à ce qu'il était dans un horizon de trois à cinq ans."



Les résultats sont bons, pas la manière

Du point de vue sportif, Le FC Nantes se reconstruit grâce au mélange d'anciens du club (Frédéric Da Rocha, Loïc Guillon, Jean-Jacques Pierre), d'ex-pensionnaires de L1 et L2 (Marek Heinz, David De Freitas, Aurélien Capoue) et de jeunes pousses. Les Canaris ne sont jamais descendus aù-delà de la 3e place, synonyme de remontée et ont trusté 17 journées sur 20 le fauteuil de leader. De quoi rassurer tous les supporters, très inquiets au lancement de la saison vu l'atmosphère pesante qui entourait la fin du règne de Gripond.



Malgré sa position au classement, Nantes ne produit pas un jeu flamboyant. Les prestations ternes s'enchaînent, les victoires s'obtenant grâce au réalisme des attaquants. Pour remédier à cela, les dirigeants nantais, dont le journaliste Pascal Praud a depuis peu garni les rangs, ont fait des emplettes durant le mercato hivernal, bien plus que certains clubs de l'élite.



Trois jeunes internationaux espoirs à vocation offensive, les Serbes Stefan Babovic (21 ans) et Filip Djordjevic (20 ans), et le Camerounais Christian Bekamenga (21 ans) sont arrivés, sous l'impulsion du directeur sportif Christian Larièpe, stratège de Kita et ancien entraîneur de l'équipe réserve de l'OM. Surtout, Nantes pourrait frapper un grand coup sur le marché en obtenant le prêt de Ricardo Faty, grand espoir français en manque de temps de jeu à Leverkusen (où il est prêté par l'AS Rome). Du lourd pour assurer la montée.



Le plan social toujours d'actualité

Waldemar Kita peut se réjouir de la réussite sportive des Canaris et la perspective de retrouver la Ligue 1 ne l'a pas dissuadé d'annuler le plan social en prévision, à en croire sa déclaration au site maville.com. "J'ai demandé un audit qui a montré qu'il y avait plus de 20 personnes en trop au club. Et même si ce n'est pas de gaieté de coeur, je le fais dans l'intérêt de la gestion de la société." Ce qui n'émeut pas les fans du club de Loire-Atlantique. 90 % des sondés* jugent l'action du président nantais plutôt efficace ou très efficace depuis son arrivée.

Foxy a écrit:

J'ai écrit en gros pour les vieux.

Waldemar Kita : « Der Zakarian n'est pas menacé »
À l'aube de deux matches importants (à Brest puis Bastia), Waldemar Kita dément les rumeurs de prochaine éviction de Michel Der Zakarian. Le point avec le président nantais qui s'estime « confiant mais inquiet ».
Que pensez-vous du résultat de l'appel d'offres concernant les droits TV ?

« La Ligue s'est bien battue pour nous. Maintenant, je ne connais pas encore bien les détails. Si on va recruter avec cette manne ? Je ne sais pas. En tout cas, d'ici là, je vais rigoler ou pleurer suivant si l'on monte ou non. »

Vous commencez à vous poser des questions...

« Mais je l'ai toujours dit. J'étais le seul à dire qu'il fallait au minimum deux ans (sous-entendu, pour monter). »

« Si je ne suis pas inquiet, je suis inconscient »

Êtes-vous inquiet ?

« Écoutez, si je ne suis pas inquiet, je suis inconscient. Mais il y a un bon groupe avec une bonne ambiance. »

L'arrivée de recrues au mercato n'a-t-elle pas cassé la dynamique ?

« Si les recrues n'arrivent pas, on nous critique. Si elles arrivent, ça casse. On a un problème ! C'est pareil dans tous les clubs. Attention, on a également prêté 4-5 joueurs ! Quand on voit les blessés aujourd'hui (lire par ailleurs), on a donc pas mal fait. »

Ne pensez-vous pas que les joueurs se sont vus trop beaux avant l'heure ?

« Ah oui, ça, ça arrive dans tout groupe ! On ne peut pas utiliser cet adjectif (beaux)... C'est vrai, ils étaient sûrs que rien ne pouvait leur arriver... »

Sur les deux prochains matches, vous êtes-vous fixé un nombre de points à prendre ?

« Oui. Six (soit deux victoires). »

Êtes-vous confiant pour les obtenir ?

« Je suis inquiet mais je suis confiant. Sauf s'il nous arrive des pépins, des blessés. On fait tout pour que le club réussisse. »

Allez-vous intervenir avant Brest ?

« Je vais voir. Je vais sentir la température au dernier moment. Je verrai ce que je dois faire. »

Vos récentes déclarations sur RMC après le revers face au Havre (1) ont jeté le trouble. Était-ce un tacle à votre entraîneur ?

« Je ne sais pas si c'est un tacle, c'est une observation. J'ai le droit de le dire. Je ne veux pas accuser qui que ce soit mais c'est une observation qu'il faut prendre en considération. »

« Lorsqu'on achète un joueur, on ne peut pas non plus le mettre sur la touche »

Michel Der Zakarian est-il menacé ?

« Non, il n'est pas menacé. Mais toute personne, qui ne fait pas forcément certaines choses, peut se sentir viser. Moi le premier. Si je ne réussis pas, le premier responsable, c'est moi. »

Est-il sûr d'être là jusqu'à la fin de la saison ?

« Sincèrement, je ne me suis pas encore posé cette question. Du moment qu'il y a un dialogue entre nous tous, il n'y aura pas de problème. Le jour où il n'y aura plus de dialogue, là, on se posera des questions. »

Il se dit que vous imposez certains choix, style Babovic par exemple...

« Ohlala, tellement de choses se disent ! Sincèrement, je n'impose un joueur à personne. Tous les joueurs pris le sont après réunions avec les entraîneurs. Vous devez comprendre une chose : lorsqu'on achète un joueur, c'est-à-dire sur lequel on compte, on ne peut pas non plus le mettre sur la touche. »

« On monte, il reste... »

D'accord mais si le joueur en question est mauvais...

« Mais si le joueur est mauvais, à un certain moment, un bon éducateur, un bon pédagogue, doit en faire un bon joueur. On ne peut pas être bon et très mauvais quinze jours plus tard. Il faut laisser un peu de temps. »

Avec les recrues, le coach semble partagé entre le fait de les faire jouer ou pas...

« Ça me fait rigoler votre question ! Quand un entraîneur n'a pas de joueurs, il dit : « Ça ne va pas. » Quand il a trop de joueurs, il ne peut pas les faire jouer. Il faut changer de métier si c'est ça. Mais je ne parle pas pour Michel Der Zakarian, hein ! »

Quand revoyez-vous le staff pour évoquer son avenir ?

« Je ne vois pas le staff de façon programmée. Je le vois tout le temps. Et je vais communiquer de plus en plus avec les entraîneurs et les cadres techniques. »

Car Michel Der Zakarian ne va pas tarder à vous solliciter pour sa prolongation de contrat...

« Mais nous avons déjà parlé. Je pense qu'il a ma parole. J'ai toujours dit : « On monte, il reste. »

Et si ce n'est pas le cas ?

« Ben, je suis désolé... On discutera le moment voulu. Normal, non ? »

Recueilli par Jean-Yves Queignec

(1) : « Quand on n'a pas les moyens d'innover, on n'innove pas. On reste simple. Et la simplicité, c'est la base dans le football. C'est de cette base qu'il faut repartir. »

Presse-Océan


Les jeux sont faits.

Êtes-vous confiant pour les obtenir ?

« Je suis inquiet mais je suis confiant...»

Je l'aime bien celle-là

seb a écrit:

« Lorsqu'on achète un joueur, on ne peut pas non plus le mettre sur la touche »

Sincèrement, je n'impose un joueur à personne.

Surréaliste cette interview, j'ai absolument rien compris.

Nico56 a écrit:Surréaliste cette interview, j'ai absolument rien compris.

Ah parce que c'est une vraie interview Je pensais que c'était un article de ton excellentissime blog

Coluche a écrit:

Nico56 a écrit:Surréaliste cette interview, j'ai absolument rien compris.

Ah parce que c'est une vraie interview Je pensais que c'était un article de ton excellentissime blog

Même moi je suis pas aussi cinglé

Nico56 a écrit:

Coluche a écrit:

Nico56 a écrit:Surréaliste cette interview, j'ai absolument rien compris.

Ah parce que c'est une vraie interview Je pensais que c'était un article de ton excellentissime blog

Même moi je suis pas aussi cinglé

J'aurais du m'en doûter, en lisant l'interview, par moment j'ai sourit

Nico56 a écrit:Surréaliste cette interview, j'ai absolument rien compris.

Triskel a écrit:

Nico56 a écrit:Surréaliste cette interview, j'ai absolument rien compris.

La plupart des réponses n'ont aucun sens ou sont limites complètement débiles

Je suis inquiet mais je suis confiant

Lorsqu'on achète un joueur, on ne peut pas non plus le mettre sur la touche

Mais si le joueur est mauvais, à un certain moment, un bon éducateur, un bon pédagogue, doit en faire un bon joueur.

Nico56 a écrit:

Triskel a écrit:

Nico56 a écrit:Surréaliste cette interview, j'ai absolument rien compris.

La plupart des réponses n'ont aucun sens ou sont limites complètement débiles

Je suis inquiet mais je suis confiant

Lorsqu'on achète un joueur, on ne peut pas non plus le mettre sur la touche

Mais si le joueur est mauvais, à un certain moment, un bon éducateur, un bon pédagogue, doit en faire un bon joueur.

Nan mais je crois que le Kita il est fatigué en ce moment, voilà tout

Je dois être fatigué aussi

kita est bien dans la tradition du fcn. Pauvres journalistes, ils en "bavent" pour interviewer les dirigeants ou entraîneurs. Rappelez-vous coco suaudeau, à mourrir de rire, der zak n'est pas mal non plus après un match, il est tellement sur les nerfs qu'il raconte le minimum très basic impatient d'être débarrassé du journaleu. J'ai entendu jj pierre sur RMC, c'est terrible, il commence "bonjour les monsieur" et explique qu'il est fatigué car il n'y pas assez de rotation dans l'équipe et qu'il faut faire jouer les jeunes

Nanterre pourrait postuler pour un job au FCN.

Chanelet a écrit:Nanterre pourrait postuler pour un job au FCN.

Et comme ça, on pourrait peut-être fêter le retour au FCN de Yapi-Yapo Par contre faut pas que ça soit en tant que cuisinier, parce que manioc matin midi et soir, vont finir par se lasser les joueurs comme m'aime

Chanelet a écrit:Nanterre pourrait postuler pour un job au FCN.

Lariepe et son approche de la politique de jeune et de gestion de l'effectif dans son ensemble, me plait de plus en plus. Un jour ça va payer, c'est sur ! Il faut juste être patient et avoir un bon entraineur.

lulu la nantaise a écrit:Lariepe et son approche de la politique de jeune et de gestion de l'effectif dans son ensemble, me plait de plus en plus. Un jour ça va payer, c'est sur ! Il faut juste être patient et avoir un bon entraineur.

Le discours a l'air juste, reste à savoir si les actes vont suivre vraiment.

Selon Ouest France, le président du FC Nantes Waldemar Kita aurait informé les personnels administratifs du club que le plan social ne comprendra finalement que neuf départs.

Plan social limité à la Jonelière. Selon le quotidien Ouest France daté de ce mardi, le président du FC Nantes Waldemar Kita aurait informé les personnels administratifs du club que le plan social ne comprendra seulement que neuf départs, alors que le chiffre de 23 licenciements bruissait ces derniers mois. « Parmi ces neuf, un certain nombre de personnes sont candidats au départ. Il s'agit de nous entendre sur le montant de l'indemnité. J'espère mener à bien cette délicate opération dans le délai de deux mois », a justifié l'hommes d'affaires polonais.

http://www.fcnantes.com/articles/20072008/communique070308.php