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Nico56Fondateur
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Ville : Nantes
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Ligue 1: Nantes veut garder la tête froide
Ven 12 Aoû 2005, 19:27
NANTES (Reuters) - Avant d'accueillir l'AC Ajaccio samedi, Nantes est davantage concentré sur la façon de gommer ses imperfections que sur la sauvegarde d'un maillot de leader du championnat de France, anecdotique à ses yeux.
"En janvier dernier, quand j'ai pris l'équipe, on a battu Rennes en jouant très bien. Certains ont cru trop vite que c'était reparti", prévient Serge Le Dizet, l'entraîneur du FCNA.
Les mauvais souvenirs d'une saison ratée sont trop frais pour ne pas refaire surface chez Le Dizet. D'une entame idéale ponctuée par deux succès face à Lens (2-0) à Rennes (3-0), il a surtout retenu la confiance accumulée par son équipe.
"Il faut s'appuyer là-dessus et essayer de répéter ce que l'on a déjà réussi à faire", répète-t-il.
Malgré son peu d'expérience, l'entraîneur sait que ces deux premières victoires sont méritées, mais que les scores sont un peu flatteurs.
"Samedi dernier au retour des vestiaires, on a refusé de jouer et on a perdu la maîtrise du match", rappelle-t-il.
Le carton plein réalisé jusque-là tient donc autant aux mérites nantais qu'à la maladresse des attaquants artésiens et bretons.
CONVICTION
"Tous les matches ne se passeront pas aussi bien, prévient-il. Mais tant qu'on s'y mettra à onze dans la récupération, on sait qu'on sera pénible à jouer."
Avec Jérémy Toulalan, Emerse Faë, Gilles Yapi, Frédéric Da Rocha et Imed Mhadhbi, les Canaris ont pour le moment fait la loi dans le secteur clé du milieu de terrain et pu, enfin, donner des ballons intéressants à leurs attaquants.
"Cette saison, notre palette est plus large", souligne le gardien Mickaël Landreau, "et physiquement ont est mieux aussi".
Si l'entourage du club et ses supporters se délectent de cette première place, les joueurs ne s'attardent pas sur la lecture d'un classement peu significatif, mais ils sont bien décidés à surfer sur cette vague estivale pour engranger points et confiance.
"On a une certaine conviction née du malaise de l'an dernier, reconnaît Gilles Yapi. On veut tous prouver ce dont on est capable."
Un discours à la fois humble et ambitieux repris par l'autre ivoirien de l'équipe, Emerse Faë.
"Pendant des mois on a joué la tête basse alors aujourd'hui on veut montrer que le football nantais n'est pas mort."
Une manière de reconnaître que l'édifice FCNA est encore friable mais que sa volonté, elle, est sans faille.
"En janvier dernier, quand j'ai pris l'équipe, on a battu Rennes en jouant très bien. Certains ont cru trop vite que c'était reparti", prévient Serge Le Dizet, l'entraîneur du FCNA.
Les mauvais souvenirs d'une saison ratée sont trop frais pour ne pas refaire surface chez Le Dizet. D'une entame idéale ponctuée par deux succès face à Lens (2-0) à Rennes (3-0), il a surtout retenu la confiance accumulée par son équipe.
"Il faut s'appuyer là-dessus et essayer de répéter ce que l'on a déjà réussi à faire", répète-t-il.
Malgré son peu d'expérience, l'entraîneur sait que ces deux premières victoires sont méritées, mais que les scores sont un peu flatteurs.
"Samedi dernier au retour des vestiaires, on a refusé de jouer et on a perdu la maîtrise du match", rappelle-t-il.
Le carton plein réalisé jusque-là tient donc autant aux mérites nantais qu'à la maladresse des attaquants artésiens et bretons.
CONVICTION
"Tous les matches ne se passeront pas aussi bien, prévient-il. Mais tant qu'on s'y mettra à onze dans la récupération, on sait qu'on sera pénible à jouer."
Avec Jérémy Toulalan, Emerse Faë, Gilles Yapi, Frédéric Da Rocha et Imed Mhadhbi, les Canaris ont pour le moment fait la loi dans le secteur clé du milieu de terrain et pu, enfin, donner des ballons intéressants à leurs attaquants.
"Cette saison, notre palette est plus large", souligne le gardien Mickaël Landreau, "et physiquement ont est mieux aussi".
Si l'entourage du club et ses supporters se délectent de cette première place, les joueurs ne s'attardent pas sur la lecture d'un classement peu significatif, mais ils sont bien décidés à surfer sur cette vague estivale pour engranger points et confiance.
"On a une certaine conviction née du malaise de l'an dernier, reconnaît Gilles Yapi. On veut tous prouver ce dont on est capable."
Un discours à la fois humble et ambitieux repris par l'autre ivoirien de l'équipe, Emerse Faë.
"Pendant des mois on a joué la tête basse alors aujourd'hui on veut montrer que le football nantais n'est pas mort."
Une manière de reconnaître que l'édifice FCNA est encore friable mais que sa volonté, elle, est sans faille.
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