Alors Michel Der Zakarian...

L'ascension éclair de Michel Der Zakarian...

En juillet dernier, il était arrivé à Nantes sans faire de bruit. Avec, pour seul bagage un CDD de deux mois. Mission : entraîner le groupe « parallèle » de Serge Le Dizet, familièrement renommé le « loft ». La charte du footballeur obligeant les clubs à fournir à des joueurs professionnels un entraîneur titulaire du DEPF pour les séances, le FCNA s'est alors tourné vers un ancien de la maison jaune, entre 1979 et 1988, Michel Der Zakarian, de surcroît libre, puisqu'il venait alors de quitter Montpellier « de (s) on propre chef car (j')avais envie de vivre autre chose. » Après 18 ans passés dans l'Hérault (lire digest ci-après), voilà le joueur d'origine arménienne (8 sélections avec l'équipe nationale) de retour dans le seul club pro, avec celui du président Nicollin, de sa carrière. Et son bail nantais va prendre une tournure assez inespérée. Son contrat est d'abord prolongé avant qu'il n'endosse le costume d'adjoint de Georges Eo le 20 septembre, au lendemain de l'éviction de Serge Le Dizet. Cinq mois plus tard, il est nommé entraîneur de l'équipe première, avec à ses côtés Japhet N'Doram. « Je ne m'y attendais pas vraiment, concédait-il hier à la sortie de sa première séance d'entraînement. Mais c'est un plaisir et une fierté. Même si la tâche n'est pas facile, je vais m'atteler à ce challenge... » L'homme n'est pas effrayé par la mission, lui qui s'est construit une image de gagneur. « C'est effectivement dans ma nature, continue-t-il. J'essaie de transmettre cette culture de la victoire. Je fonctionne comme ça et c'est quelque chose que je sais faire. » Son ancien « patron » à Montpellier, Michel Mezy, dont Der Zakarian fut l'adjoint pendant deux saisons confirme : « joueur, il était rigoureux et intransigeant. Il n'a jamais triché et il est comme ça dans la vie. Je suis persuadé qu'il peut être un meneur d'hommes, en tout cas s'il reste comme il est. Cela fait un moment qu'il entraîne, alors il ne faut pas qu'il découvre aujourd'hui, parce qu'il a une Ligue 1, qu'il sait faire. Cette promotion arrive à point nommé pour lui, même si je suis très ami avec Georges aussi, alors ce n'est pas facile. Michel est quelqu'un de droit et de franc, ça aide à ce poste... » Un poste qu'il étrennera donc à Marseille, dimanche. Face à un adversaire qui avait été, c'est peut-être un signe, le premier de Georges Eo en Ligue 1 (succès 2-1). L'autre détail a été relevé par Der Zakarian lui-même : « je suis né à Marseille et j'aurais 44 ans dimanche... » 44, c'est aussi le bail en cours du FCNA au sein de l'élite... R. B.Digest. Né le 18 février 1963 à Marseille. Joueur : Vivaux Maronniers (quartier Est de Marseille), de 1969 à 74 ; Mazargues (quartier Sud de Marseille), de 1974 à 79 ; FC Nantes, de 1979 à 88 et Montpellier, de 1988 à 98. Entraîneur : Montpellier, DH en 1998-99 ; CFA en 1999-2000 ; adjoint de l'équipe pro de 2000 à 2002 ; CFA de 2002 à 2006. FC Nantes, groupe parallèle au groupe pro de juillet à octobre 2006 ; adjoint de l'équipe pro d'octobre 2006 à février 2007.

Ouest-France

Sélectionneur en juillet prochain.

seb a écrit:Sélectionneur en juillet prochain.

" Chomeur en juillet prochain"

Glombardo a écrit:

seb a écrit:Sélectionneur en juillet prochain.

" Chomeur en juillet prochain"

On n'a plus d'adjoint.

seb a écrit:

Glombardo a écrit:

seb a écrit:Sélectionneur en juillet prochain.

" Chomeur en juillet prochain"

On n'a plus d'adjoint.

Gripond ..........

Triskel a écrit:

seb a écrit:

Glombardo a écrit:

seb a écrit:Sélectionneur en juillet prochain.

" Chomeur en juillet prochain"

On n'a plus d'adjoint.

Gripond ..........

Ha merde j'avais oublié son poste de président adjoint.
S'il veut pas et qu'il s'accroche à son poste on prendra comme nouvel entraîneur Isabelle Adjoini.

seb a écrit:

Triskel a écrit:

seb a écrit:

Glombardo a écrit:

seb a écrit:Sélectionneur en juillet prochain.

" Chomeur en juillet prochain"

On n'a plus d'adjoint.

Gripond ..........

Ha merde j'avais oublié son poste de président adjoint.
S'il veut pas et qu'il s'accroche à son poste on prendra comme nouvel entraîneur Isabelle Adjoini.

alonzo? des chiennes de garde

Ligue 1 : Avec Der Zakarian, c'est plus musclé !

FC Nantes. Le nouvel entraîneur du FCNA, Michel Der Zakarian, a marqué son territoire, en mettant l'accent sur l'engagement. Et il n'a pas l'intention de baisser d'un ton.

Comme les enfants, les joueurs du Football Club de Nantes aiment la nouveauté. S'agissait-il d'une initiative personnelle ou s'est-il fait le relais de ses coéquipiers, toujours est-il que Jaouad Zaïri - une semaine d'entraînement tout au plus avec Georges Eo ! - s'est voulu très clair à la sortie d'une séance qui a duré deux bonnes heures hier matin. « On travaille un peu plus et c'est plus physique. »

Au milieu de ses troupes, Michel Der Zakarian donne de la voix. L'ex-joueur de Boavista en prend d'ailleurs pour son grade. « Jaouad, donne ton ballon ! » Le dixième entraîneur du FC Nantes ne ménage pas ses cordes vocales. « On arrête d'être passif. On se repositionne, et en courant, face au ballon. » Voilà qui pourrait paraître évident pour un môme de dix ans, pas obligatoirement pour un professionnel dont c'est le métier. Avec ses 44 ans, « Mich » ou « Derzoum » comme on le surnomme à La Jonelière, parle « de gamins ».

Qui possède un peu de mémoire, se remémore les premiers entraînements de Serge Le Dizet ou Georges Eo. Eux aussi avaient tranché avec les prédécesseurs. Eux aussi avaient donné de la voix. On y décelait un zest d'agressivité supplémentaire, comme hier matin. Claudiu Keserü en a fait les frais et a rejoint l'infirmerie suite à un contact avec Karim El Mourabet. Le groupe a également subi un petit coup de jeunes. Certainement en raison de la cascade de forfaits. Ils s'appellent Vainqueur, Burgho, Métté. On les a déjà vus jouer les utilitaires. Cette fois, le premier nommé pourrait effectuer le grand saut. Rien de bien nouveau sauf que le ton du successeur de Georges Eo ne devrait pas baisser de quelques décibels avec le temps. Der Zakarian, le taiseux, « restera une grande g... dans un vestiaire capable de te secouer le cocotier à la mi-temps » pour Jacky Contassot, l'intendant du club.

« Les gens ne changent pas » rappelle un autre économe de ses paroles, Philippe Daguillon. Le kiné a connu le « Derzoum » joueur, entre 1979 et 1988. « Il sait communiquer. Il sait également ce qu'il a à dire. Il s'agit d'un mec entier, généreux dans ce qu'il entreprend et sincère. Actuellement, il est en immersion. » Le nouvel entraîneur du FCNA a tout de même pris le temps de s'arrêter discuter avec le médical. « Joueur, il ne fréquentait pas souvent la table de soins, sauf pour une fracture du nez, s'amuse Daguillon. Plus sérieusement, Michel est à l'écoute, attentif à notre message. »

Le visage est rasé de près, les traits tirés. « Depuis ma nomination, j'ai mal dormi. On choisit ce métier par passion. Maintenant que j'ai la possibilité de l'assumer, je veux bien avoir des nuits agitées... » Car si l'adjoint a succédé à l'adjoint au point de relancer le débat sur la consanguinité, Der Zakarian ne peut être accusé d'avoir savonné la planche à son prédécesseur, ni d'avoir conservé ses idées pour lui. Le second ne pouvait pas parler plus fort que le calife. « Je n'oublie pas les moments que nous avons partagés, ni que j'étais à ses côtés lors des échecs. Si j'ai passé mes diplômes, c'est pour entraîner une équipe première. Je ne m'en suis jamais caché. Je me suis construit, aguerri. » L'ex-Montpellierain sait où il a mis les pieds. « Aujourd'hui, je connais le rôle même si je découvre une nouvelle facette du métier avec les médias. J'ai bien conscience que les enjeux ne sont plus les mêmes. Voilà d'ailleurs pourquoi on dort moins bien... »

Sur les bords de Loire où il réside, l'homme chargé du miracle a conservé les cahiers sur lesquelles il notait les séances d'un certain Jean-Claude Suaudeau. « Dès que je rentrais dans ma chambre du centre. Ils sont toujours d'époque. On peut pratiquement reproduire toutes les séances. Sans problème. de toute façon, il était en avance sur son époque. » Le présent ne lui permettra pas d'innover. Mauro Cetto et ses coéquipiers vont seulement faire connaissance avec « Der Zakarian le guerrier » comme le surnomme le Marocain Imed Mhadhbi depuis leur rencontre dans le loft.

Christophe DELACROIX

Michel Der Zakarian s'est fait entendre hier matin lors de la séance d'entraînement. Guillaume Norbert et ses coéquipiers en ont parfois pris pour leur grade.

Ouest-France

Glombardo a écrit:

seb a écrit:Sélectionneur en juillet prochain.

" Chomeur en juillet prochain"

il va griller sarko, ségo et françois sur la ligne en mai prochain...

Vainqueur dans le groupe c'est tout benef. Il jou quel poste?

L'article est assez rassurant. S'il pouvait en secouer un ou deux...

Vinny a écrit:L'article est assez rassurant. S'il pouvait en secouer un ou deux...

Pas trop quand même, vu la liste des blessés.

Triskel a écrit:

Vinny a écrit:L'article est assez rassurant. S'il pouvait en secouer un ou deux...

Pas trop quand même, vu la liste des blessés.

Il le faut, quitte à perdre des bléssé, "Der Zakarian le Guerrier" c'est ce qui me plait !!!

Qu'il les secoue ça leur fera pas de mal avec des séances de Coco ca peut être que bénéfique.

seb a écrit:

Glombardo a écrit:

seb a écrit:Sélectionneur en juillet prochain.

" Chomeur en juillet prochain"

On n'a plus d'adjoint.

Roussillon va bien finir par prendre les entraînements lui-même

le probléme de Nantes ,c'est qu'on a du mal à marier l'attaque et la défense on sait attaquer on sait défendre ,mais on arrive pas à faire les 2 ,c'est normal quand on change match par match la moitier de l'équipe à cause da la malchance et des problémes de langues sur le terrain ,donc laissons lui le temp à der zakarian ,les joueurs nantais jouent avec la peur au ventre ils ont trop de pression,il ne savent pas gérer dans une situation de maintien,ils ne sont pas habitués ,mais moi je pense comme meme que si serge était encore la on en serait pas la ,mais bon ce qui est fait est fait.

Michel Der Zakarian : « Rester dans la continuité »

Michel, la semaine dernière a été celle de l'espoir. Elle n'empêche cependant pas l'obligation de victoires qui perdure...

C'est ce qu'on a dit dès le départ : il faut prendre des points et ça passe par des victoires, notamment à la maison. Il faut se lâcher dans les têtes, avoir confiance et retrouver nos repères. Il y a eu de très bonnes choses à Sochaux et nous devons nous appuyer dessus. Rester dans la continuité. Les joueurs savent que quand on est solidaires, quand on fait les efforts les uns pour les autres, même s'il y a du déchet technique, on se crée des occasions et on peut les concrétiser.

Car on sent que votre équipe a aussi gagné en cohérence...

Les joueurs ont pris conscience qu'ils peuvent faire des choses ensemble. C'est important d'avoir des repères, de savoir ce que le partenaire va faire. Techniquement, on a encore du déchet. Il faut corriger ces pertes de balles à trente ou quarante mètres de notre but. L'adversaire peut en profiter. Mais on a vu à Sochaux, en deuxième période, que si on ne perd pas ces ballons, que l'on arrive à faire 2-3 passes, l'adversaire finit par lâcher, et nous, on peut avancer car on crée le décalage.

Quels mots avez-vous trouvé pour mettre votre équipe sur ces rails ?

Japhet N'Doram : Le groupe est fragilisé depuis le début de la saison. Il fallait une prise de conscience de ça. Nous l'avons fait, par beaucoup de dialogue. Si nous sommes très exigeants sur le terrain, nous sommes aussi assez proches des joueurs en dehors. Ça se passe bien, le groupe vit bien. Pour nous, c'est un travail permanent, notamment par la vidéo, qui nous permet de montrer nos difficultés et les choses bien que nous faisons. On parle beaucoup aux joueurs, les mots sont justes et parfois directs.

Recueilli par R.B.
Ouest-France

Nantes / Der Zakarian : « Pas de regrets »
Rédaction Football365 - jeudi 10 mai 2007 - 17h19

Très énervé après le succès à Bordeaux qui fait chuter Nantes, Michel Der Zakarian ne veut pas entendre parler de regrets maintenant. L'entraîneur nantais estime qu'il fallait y penser avant.

Michel Der Zakarian, quel est votre sentiment après cette victoire qui condamne paradoxalement votre équipe ?
Nous avons fait un bon match, nous avons fait ce qu'il fallait faire contre une bonne équipe de Bordeaux. Malheureusement, nous sommes en L2 aujourd'hui. Les regrets, ce n'est pas maintenant qu'il faut les avoir : c'est tout au long de la saison. Il va falloir désormais reconstruire, rebondir et avoir surtout un super état d'esprit, comme c'était le cas contre Bordeaux où j'ai vu que les gars ont fait tous les efforts les uns pour les autres.

Où s'est joué le maintien selon vous ?
Le maintien, nous l'avons perdu à Troyes et contre Sedan, mais sûrement pas contre Bordeaux.

Comment voyez-vous votre avenir ?
Nous n'en sommes pas là pour l'instant, nous aurons tout le temps pour voir ça. Aujourd'hui, Nantes est en Ligue 2 et on verra plus tard. Si nous n'avons pas cette solidarité, en L2 nous n'y arriverons pas. Pour l'honneur, nous allons essayer d'éviter la dernière place, de gagner nos deux derniers matchs pour passer devant Sedan et Troyes.

Ligue 1 : « Jamais on ne m'a dit que ma tête était sur le billot »

Michel Der Zakarian se veut serein à l'heure de retrouver cette Ligue 1 quittée au soir du 9 mai 2007, alors qu'il faisait équipe avec Japhet N'Doram.

FC Nantes. Entre un entraînement et la visite d'un arbitre, Michel Der Zakarian a accepté d'aborder la nouvelle saison. Un entraîneur bien vite rejoint par son adjoint, Baptiste Gentili.

Michel, avez-vous l'impression de disposer d'un groupe équilibré ?

Je pense. On a renforcé l'équipe comme on le voulait afin de trouver de la complémentarité. Nous disposons d'un groupe cohérent, capable de faire un bon championnat. C'est polyvalent ! Sur les côtés, nous avons de la vitesse, de la percussion, dans l'axe de la puissance. Techniquement, c'est d'un bon niveau. C'est pas mal !

Après, il va s'agir de toucher Ivan Klasnic...

Il aime bien participer au jeu, décrocher, jouer dans les intervalles, en une ou deux touches de balle. Il est très intelligent. Il a le sens du but, dispose d'une vitesse gestuelle de haut niveau par rapport à son gabarit et d'un bon jeu de tête. il est capable de frapper pied gauche, pied droit. Une immense palette.

Au regard de son passé et de son palmarès, êtes-vous amené à davantage échanger avec lui ?

On essaie de discuter même si je ne pratique pas trop l'anglais. On a notre petit interprète. Il aime bien communiquer, parler tactique. Des gars comme lui, Mickael (Gravgaard), sont demandeurs. Pour un entraîneur, ce sont des joueurs intéressants. Pareil pour Guirane (N'Daw).

À propos de ce dernier, on dit que ce n'est pas un vrai Africain...

C'est vrai, il est carré ! Il apprécie la discipline, il n'est pas tête en l'air. Il n'a pas cette nonchalance qui sied aux gens des Îles ou aux Africains qui ont tendance à se déconcentrer.

« Soit vous affabulez, soit quelqu'un parle... »

Chaque saison, des paires ou des triplettes ressortent du lot au niveau de la performance. De quelles associations attendez-vous beaucoup ?

De notre jeu dans les couloirs. Il va être important. On doit progresser dans ce domaine. On a montré de bonnes choses face à Rennes, malheureusement il convient de s'améliorer dans la dernière passe et dans le mouvement devant le but. Déjà, que l'on attaque plus intelligemment. Après, défensivement, on doit être meilleur à la perte du ballon car c'est souvent là que le déséquilibre s'opère, sur la fermeture des trajectoires de passes, au niveau des compensations... Bon, comme toutes les équipes, il faudra trois, quatre matches pour que tout le monde soit prêt.

Baptiste Gentili pousse la porte. L'adjoint de Michel Der Zakarian s'assoit avant de se glisser dans la discussion.

B.G. L'an dernier, il fallait quatre à cinq occasions à l'adversaire pour en mettre un ou pas du tout... Là, au bout de deux ou trois, c'est fini. Il n'y aura pas de séance de rattrapage.

Et le football spectacle prôné par les instances ?

M.D. Tout le monde en a envie mais tout dépend de la qualité technique et du mouvement. Tu t'adaptes à tes joueurs. Après, sans exigence dans le replacement, tu ne gagneras pas de matches. Le Real s'est cassé la g... pour ça. Nantes champion avec du foot panache, c'est utopique. On va essayer de construire et tendre vers le beau jeu et l'efficacité.

B.G. Je souhaite que Nantes retrouve son label, un foot pétillant, seulement ce n'est pas en claquant des doigts.

Justement, avez-vous le temps nécessaire devant vous ?

M.D. Jamais, mon président ne m'a dit : tu as trois matches devant toi. Jamais il ne m'a dit que ma tête était sur le billot. C'est vous qui attisez ! Il a déclaré : vous apprendrez avec moi et je veux être plus exigeant. Soit vous affabulez, soit quelqu'un parle... Les joueurs, ils lisent. Ils se posent la même question. Moi, franchement, dans ma tête, ça ne perturbe pas. Je fais mon métier. Après qu'on me juge sur nos prestations, que l'on dise que je suis mauvais si on ne gagne pas les matches, qu'on passe au travers. Mais là, on n'a pas encore démarré la saison !

C'est peut-être lié à la façon dont vous avez été reconduit ?

B.G. Nous, on accepte le challenge d'un an. On va essayer, je dis bien on va essayer, car au foot tu ne maîtrises pas tout, de démontrer que ces critiques ne sont pas justifiées. Mais, y en aura t-il pas d'autres ou seront-elles justifiées pour autant si cela ne fonctionne pas ? Nous, on fait notre boulot.

« Etre performant à la maison »

Peut-on faire un parallèle avec la situation de Serge Le Dizet en 2006 ?

M.D. Non, car nous avons fait part des postes où nous voulions des recrues. Il y a des joueurs que Christian nous a proposés pour lesquels nous avons dit non. De notre côté, on lui a soufflé des noms mais il n'était pas trop chaud. On a échangé. Aujourd'hui, il existe peu de clubs où l'entraîneur fait le recrutement.

Avez-vous établi un tableau de marche pour les premières rencontres ?

M.D. Quinze points sur les cinq premiers ! (rires) On se déplace cinq fois lors des huit premières journées. On ne peut pas calculer de la sorte.

B.G. Je crois qu'il faut s'attacher à être performant à la maison. C'est un constat mathématique. Il y a 57 points en jeu, c'est énorme ! Une équipe performante à domicile, elle sera forcément en confiance, ira prendre des points à l'extérieur et fera obligatoirement un bon championnat.

Recueilli par

P-Y ANSQUER et Ch. DELACROIX

Ouest-France

Allez Michel, encore 3 matchs
Bordeaux sera un test

le problème, c'est que Der Zak n'a pas d'experience en L1, et la plupart des joueurs c'est pareil...c'est balo

Moi je penses qui faut le virer

Minus53 a écrit:Moi je penses qui faut le virer

faut lui trouver une autre place au club

force-jaune-verte a écrit:

Minus53 a écrit:Moi je penses qui faut le virer

faut lui trouver une autre place au club

bah co-coach et gentilli bah il deguage