Le topic des articles sympatoches :-)

ANKOURAGE a écrit:http://englishrussia.com/2011/12/02/cars-and-motorcycles-of-the-future/

Y'a de l'idée
J'aime beaucoup les moyeux qui sont renvoyés sur la jante, esthétiquement, ça a de la gueule

Grèce, triste Etat
Athènes, correspondance
La fraude fiscale est un sport national, les services publics sont d'une rare inefficacité, le cadastre est en jachère. Pourquoi les Grecs ne parviennent-ils pas à réformer l'administration ?


Pour faire brancher l'électricité en Grèce, il faut se rendre chez l'opérateur d'électricité DEI, l'EDF grec, une entreprise publique. Le client prend un numéro et fait la queue - c'est assez rapide - pour parler à une employée qui ouvre le dossier et l'envoie dans un autre bureau. Nouvelle attente, un peu plus longue. Nouvel entretien, pour compléter le dossier, qui est envoyé au responsable du service. Encore quelques minutes, le temps que celui-ci ait terminé sa communication téléphonique, regarde le dossier et y appose son tampon. Retour au bureau d'à côté, où la précédente employée tamponne derechef. Direction : la première employée qui tamponne à son tour et dirige le dossier vers sa chef de service, qui tamponne aussi. Le client peut alors se diriger vers la caisse et déposer une caution (en liquide, chèque et Carte bleue n'étant pas acceptés). Ce n'est pas fini. Un ou deux coups de tampon sont encore nécessaires. Reste à patienter une dizaine de jours avant que l'électricité soit branchée. DEI est considéré comme une entreprise performante, qui dégage des bénéfices.

Les Grecs fourmillent d'histoires kafkaïennes sur leur administration. Les écoliers ont commencé l'année scolaire sans aucun livre, car le ministère de l'éducation nationale a passé sa commande en retard. Certaines classes ne les ont toujours pas. La moindre formalité est une épreuve de force. Chaque employé a un avis différent pour résoudre le problème... qui n'avance pas. Le mieux est de connaître un fonctionnaire bien placé. La remise d'un " bakchich " est loin d'être exceptionnelle : selon Transparency International, 10 % des Grecs déclarent avoir été obligés de verser un dessous de table. Les cas les plus fréquents sont dans les hôpitaux, les impôts et les services d'urbanisme. Le coût moyen du pot-de-vin est estimé à près de 1 500 euros.

Parmi les nombreuses administrations qui fonctionnent mal, la plus symbolique est le ministère des finances. L'Etat grec n'arrive pas à récolter ses impôts. Parce que la fraude fiscale est un sport national et parce que les services fiscaux sont inefficaces, parfois corrompus. Des restructurations du fisc sont annoncées presque chaque année, tout comme des plans pour combattre l'évasion fiscale. Mais rien ne change. Des économistes de la London Business School ont proposé, dans une étude récente, de supprimer ces services pour en reconstruire de nouveaux. Ils citent un ancien ministre des finances qui estimait que " même si on fermait toutes les perceptions, les recettes de l'Etat n'en souffriraient pas de façon significative ".

Ce n'est pas nouveau. En 1854 déjà, l'écrivain Edmond About relevait dans La Grèce contemporaine : " Depuis que l'Etat s'est chargé lui-même de percevoir l'impôt, les frais de perception sont plus considérables, et les revenus sont à peine augmentés. "

Quand il a annoncé la création d'un impôt immobilier, en septembre, le ministre des finances, Evangelos Venizélos, a expliqué que la compagnie d'électricité serait chargée de le recouvrer. Aveu que les services fiscaux ne sont pas capables de le faire... Pourquoi l'opérateur d'électricité ? Ceux qui ne payent pas verront leur courant coupé... Le puissant syndicat de DEI s'y oppose. Il a essayé de bloquer l'usine qui imprimait les factures et multiplie les actions spectaculaires. Dernière en date : ils ont privé d'électricité le ministère de la santé. Qui n'avait pas payé toutes ses notes.

Car l'Etat lui aussi est mauvais payeur. Le ministère des finances a mis en ligne la liste des entreprises qui devaient des arriérés d'impôts : la première d'entre elles est la compagnie - publique - des chemins de fer, dont la masse salariale est nettement supérieure à ses revenus. Des laboratoires pharmaceutiques ont annoncé qu'ils cessaient de livrer des médicaments aux hôpitaux publics. Et par ces temps d'austérité et de coupes claires dans les budgets, le problème s'accroît.

Paradoxalement, l'Etat n'est pas pauvre. Il est le premier propriétaire foncier du pays. Mais il ne sait pas ce qu'il possède, faute d'un cadastre digne de ce nom. Des forêts, des terrains en bord de mer, des lacs, des montagnes, des plages, des zones militaires, des immeubles, des hôtels. Autant de biens - parfois évalués à la louche jusqu'à 300 milliards d'euros, presque l'équivalent de la dette - que le gouvernement ne peut exploiter dans le cadre de son plan de privatisation pour cause d'absence de cadastre. C'est pour cette raison aussi que les biens de l'Eglise ne sont pas recensés précisément et échappent en grande partie à l'impôt. Pourtant, un plan cadastral a été lancé il y a plus de vingt ans, avec le soutien de l'Europe, qui se chiffre en dizaines de millions d'euros.

Pour les hommes politiques qui se succèdent au pouvoir, l'Etat a été le pivot d'une politique clientéliste qui assoit leur position : tu votes pour moi, je trouve une place pour les membres de ta famille. Des ministres de droite et de gauche ont fait embaucher des gens au métro, à Olympic Airways (avant sa privatisation) ou dans d'autres entreprises publiques.

Pour les Grecs, l'Etat est une entité lointaine dont il faut se méfier, et dont on ne peut s'approcher que pour en profiter. Le sociologue Constantin Tsoukalas définit ce double mouvement comme une " statophobie " - un Etat dont on se méfie et dont il faut se cacher - et une " statolatrie " - l'Etat qui apporte emploi et sécurité de l'emploi. L'origine est ancienne : " Sortis de l'Empire ottoman, les Grecs percevaient l'Etat comme un oppresseur ou comme une source possible de revenus et de privilèges, mais en aucun cas comme l'émanation d'un corps politique auquel ils étaient censés participer ", écrit Georges Prévélakis dans Géopolitique de la Grèce (éd. Complexe).

" La Grèce manque de la profondeur historique des institutions d'Etat dont ont bénéficié d'autres pays européens, explique Georges Pagoulatos, professeur d'économie à l'Université d'Athènes. L'Etat grec a été centralisé, hydrocéphale, étendu, mais intrinsèquement faible dans sa capacité à expliquer et à mettre en oeuvre toute politique. "

La guerre d'indépendance de 1821 a libéré la Grèce du joug de l'Empire ottoman, grâce à l'appui des grandes puissances (France, Angleterre, Russie). Ces dernières ont imposé un régime monarchique dirigé par un jeune prince bavarois, le roi Othon, et ses régents qui vont installer leur administration. " La Grèce est alors un pays agricole et sous-développé, explique Constantin Tsoukalas. On la transforme d'un coup, sur la base d'un modèle européen et centralisé, de type napoléonien. L'organisation vient d'en haut, car il n'y a pas de société grecque. "

On met en place des institutions et une administration fortes dans un Etat faible, et déjà surendetté, car il doit rembourser les grandes puissances pour leur aide (" La Grèce est le seul exemple connu d'un pays vivant en pleine banqueroute depuis le jour de sa naissance ", écrivait Edmond About en 1854). Les problèmes vont perdurer jusqu'à aujourd'hui. La Grèce est l'un des premiers pays à instaurer une élection au suffrage universel, en 1844, mais cela renforce le clientélisme et la corruption. " Tout cela entre dans les moeurs ", remarque Constantin Tsoukalas.

Dans une histoire de la Grèce contemporaine, marquée par de nombreux épisodes violents (coups d'Etat, guerres, guerres civiles, dictatures), l'Etat n'arrive pas à s'imposer à une population qui essaie de s'en protéger et d'en profiter. " Pour la population, l'Etat est une possibilité d'échapper à la misère, rappelle Constantin Tsoukalas. Dans les années 1950, le statut familial était clair. Le plus intellectuel entrait dans la fonction publique, le plus costaud partait travailler en Allemagne. Les autres cultivaient les champs et l'entraide familiale permettait d'assurer la survie de l'ensemble. "

Dans une Grèce dévastée par la seconde guerre mondiale et déchirée par la guerre civile qui a suivi, l'administration est reconstruite sur des bases politiques. " Après la guerre civile, l'Etat veut conforter sa domination politique, en mettant en place un clientélisme de classe qui lui permet de s'assurer la dépendance d'une nouvelle bourgeoisie, poursuit M. Tsoukalas. De manière délibérée, on reconstruit un appareil d'Etat nombreux. C'est un gonflement politique destiné à asseoir le bloc politique de la droite au pouvoir, sans se préoccuper de l'efficacité. "

Le poids de l'administration s'accroît avec l'arrivée au pouvoir, en 1981, d'Andréas Papandréou (père de Georges, qui vient de quitter le pouvoir), le populaire et populiste fondateur du parti socialiste grec, le Pasok. Il abolit des structures hiérarchiques et renforce le poids des fonctionnaires politiques sur l'administration. " Aujourd'hui, les ministres ne s'appuient pas sur leurs administrations, qu'ils savent inefficaces. Ils travaillent presque uniquement avec leur cabinet ", constate l'ancien ministre des finances libéral, Stéphanos Manos.

De nombreux contractuels sont embauchés, souvent pour faire le travail de fonctionnaires peu zélés. En 2008, selon les chiffres du Bureau international du travail, l'ensemble du secteur public grec employait plus d'un million de personnes (sur une population active de 4,5 millions). Entre 1990 et 2008, les emplois publics ont augmenté de 30 % et ceux du secteur privé de 21 %. Les salaires dans le secteur public sont supérieurs à ceux du secteur privé.

Depuis vingt ans, les nouveaux gouvernements se succèdent et annoncent une modernisation de l'Etat qui ne voit jamais le jour. L'ancien premier ministre, Georges Papandréou, a promis à maintes reprises des réformes structurelles pour rendre plus efficace son pays. " Depuis le milieu des années 1990, l'administration a fait l'objet d'une modernisation graduelle, mais les faiblesses originelles persistent, explique Georges Pagoulatos. Et la résistance des syndicats est importante. "

" Les choses évoluent lentement, mais elles avancent, assure le professeur d'économie Panagiotis Petrakis de l'université Capodistria d'Athènes. Plus personne aujourd'hui n'aspire à avoir un emploi dans le secteur public qui n'est plus considéré comme aussi protégé. " De nombreuses réductions de salaire ont eu lieu depuis 2010 dans l'administration, et le gouvernement met en place des mesures de chômage partiel pour les entreprises de l'Etat.

" Le problème vient de ce que les partis politiques ne veulent pas supprimer les emplois de ceux qui ne font pas leur travail, explique Stéphanos Manos. Quand j'étais au ministère des finances, en 1992 et 1993, j'ai découvert que nous employions 38 avocats. Un audit m'a indiqué qu'il n'en fallait que quatre. Par précaution, j'en ai gardé six. Quand je suis parti, 31 d'entre eux ont réintégré le ministère. On augmente les impôts pour pouvoir continuer à payer des gens en trop dans l'administration. On affaiblit les petites entreprises qui n'ont plus de moyens de se financer. Nous allons voir apparaître dans la société un schisme entre ceux qui sont dans le privé et ceux qui sont dans le public. "

La restructuration de l'Etat est imposée par la " troïka ", le surnom des représentants de la Commission européenne, du Fonds monétaire international et de la Banque centrale européenne. Des experts de Bruxelles sont à Athènes pour réorganiser cette administration déficiente. " C'est une réorganisation qui vient d'en haut ", regrette Constantin Tsoukalas, très pessimiste sur l'avenir de la société grecque : " Toutes les stratégies de survie s'écroulent. Les gens ne peuvent plus trouver refuge dans l'Etat. La classe moyenne se fait détruire. Les familles sont fragilisées et jouent de plus en plus difficilement leur rôle protecteur. Si disparaissent en même temps tous les moyens dont dispose une société de se protéger, cela crée un grand danger d'explosion sociale. "

Alain Salles

Heureusement que je ne suis pas Grec, je passerais mon temps à gueuler sur les fonctionnaires...

Plus sérieusement, c'est assez affligeant de lire ça et de les voir manifester

Phébus a écrit:Heureusement que je ne suis pas Grec, je passerais mon temps à gueuler sur les fonctionnaires...

Plus sérieusement, c'est assez affligeant de lire ça et de les voir manifester

Ben non pas vraiment parce que ça demande bien plus d'efforts qu'ailleurs pour être honnête
J'ai lu aussi qu'il y avait des heures de queue pour aller payer ses impôts donc les gens laissaient tomber

Nico56 a écrit:

Phébus a écrit:Heureusement que je ne suis pas Grec, je passerais mon temps à gueuler sur les fonctionnaires...

Plus sérieusement, c'est assez affligeant de lire ça et de les voir manifester

Ben non pas vraiment parce que ça demande bien plus d'efforts qu'ailleurs pour être honnête
J'ai lu aussi qu'il y avait des heures de queue pour aller payer ses impôts donc les gens laissaient tomber

normal, ils essaient tous de négocier

L'argent caché des syndicats

En Russie, de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer les fraudes électorales

Près de 5 000 manifestants, des jeunes surtout, ont défilé, lundi soir 5 décembre, dans les rues de Moscou, pour protester contre les fraudes électorales aux législatives et réclamer le départ de Vladimir Poutine du pouvoir. L'appel à manifester avait couru sur les réseaux sociaux toute la journée. Pour une fois, la manifestation était autorisée.

Selon des résultats quasi définitifs, Russie unie, le parti du premier ministre Poutine, a recueilli lors du scrutin, dimanche 4 décembre, 49,5 % des suffrages - contre 64 % il y a quatre ans -, soit 238 des 450 sièges que compte la Douma, la chambre basse du Parlement. C'est le plus mauvais résultat électoral de M. Poutine depuis son arrivée au pouvoir en 2000, Russie unie ayant perdu 13 millions de voix par rapport aux législatives de 2007.

Les observateurs russes n'ont cessé de dénoncer des falsifications à tout-va, films et documents à l'appui. " Il s'agit des élections les plus sales que j'ai jamais vues ", a constaté Lilia Chibanova, directrice de l'ONG Golos. Même son de cloche des observateurs européens, affligés par " les bourrages d'urnes " et " l'ingérence de l'Etat à toutes les étapes du processus électoral ". Le Kremlin nie. Le président Dmitri Medvedev, estimant que le scrutin avait été " équitable et démocratique ", s'est réjoui de la nouvelle composition de la Douma : " Ça sera un Parlement joyeux. ".

Le rassemblement de lundi soir, du jamais-vu à Moscou - la " ville des nantis " - en dit long sur la désillusion ambiante. Aux cris de " Révolution ! " et de " Poutine voleur ! ", les manifestants ont réussi à percer le cordon des forces de l'ordre. Décidée à marcher sur le Kremlin, la foule en a été empêchée par les " cosmonautes " (les forces antiémeute). Près de 300 personnes ont été interpellées.

Parmi les jeunes qui défilaient, beaucoup ont donné leur voix aux communistes, aux sociaux-démocrates et aux ultranationalistes, non par conviction mais pour protester contre Russie unie. Voter pour les formations assurées de franchir le seuil de représentativité (7 % des suffrages), tel était le réflexe.

" Voleurs et escrocs "

Selon le système proportionnel en vigueur en Russie, les voix des partis qui ont recueilli moins de 7 %, de même que les bulletins de votes non valables, sont répartis entre les formations gagnantes. C'était donc à qui ne donnerait pas sa voix à Russie Unie. Pourquoi ? " Parce que ce parti a un tchékiste - membre des services de sécurité - à sa tête. C'est pas suffisant ? ", affirme Varia, la trentaine. " Russie unie m'agace. Ça n'est pas un parti mais un rassemblement de "voleurs et d'escrocs" comme on dit aujourd'hui. Voleur, passe encore, mais ils ont zéro idée sinon celle de se maintenir au pouvoir ", explique Marc, 25 ans. Sacha, 27 ans, renchérit : " J'aime mon pays, je veux que mes enfants grandissent ici et non en Grande-Bretagne. Mon mari est anglais, il est choqué de ce qui se passe. Moi j'ai honte. Je ne veux pas que Poutine reste. Je veux que la Russie soit libre, choisisse enfin la vérité. "

Les mensonges éhontés des autorités agacent. Les jeunes qui voyagent, lisent et surfent sur le Net, souffrent d'être pris pour des imbéciles. Un sentiment compréhensible lorsqu'on observe les résultats du scrutin diffusés par la chaîne publique Rossia 24. Pour Rostov, une province du sud de la Russie, le panneau informatif donne le décompte des voix pour les sept partis en lice avec un total de... 146,37 % ; 115 % pour Sverdlovsk, 129 % à Voronej, etc..

Or ces résultats sont officiels, ils émanent de la Commission électorale centrale (TsIK) dirigée par Vladimir Tchourov, un proche de M. Poutine. Drôle de façon de compter. " Des voix ont sans doute été rajoutées à Russie unie mais on a oublié de les enlever aux autres partis ", a expliqué lundi Dmitri Mouratov, le rédacteur en chef de Novaïa Gazeta sur la radio Echos de Moscou.

Les commentateurs assurent que Russie unie n'a pas pu avoir guère plus que 30 % des suffrages. C'est le cas, là où le scrutin n'a pas été " retouché " : en Carélie (32 %), à Arkhanguelsk (31,8 %), à Irkoutsk (34 %), à Iaroslavl (29 %), et aussi dans le quartier Gagarinski de la capitale, où vote le " père de la nation ", (23,7 % pour Russie unie ; 26,35 % pour le Parti communiste). " Comment, ayant recueilli moins de 30 %, Russie unie obtient 50 % ? ", titrait le quotidien Vedomosti mardi matin.

Le Nord du Caucase a " sauvé la mise " : 99 % en Tchétchénie, 91 % en Ingouchie, 91 % au Daguestan. Dans les casernes, les prisons (91 % en Mordovie, zone pénitentiaire de l'Oural), et les hôpitaux psychiatriques, le parti de M. Poutine a fait un tabac. " Hospices, lieux de détention, asiles psychiatriques sont leaders dans le soutien à Russie unie ", confirme Vedomosti.

Marie Jégo

Et bizarrement on n'entends aucun chef d’État critiquer cette mascarade Nan, on attends que les Russes se révoltent pour les aider sur la fin, pour dire ensuite qu'on a participé à la libération d'un pays

Publicité Renault / Opel : la parodie et la réponse

excellent

j'attends de voir la réponse de l'agence de renault parce qu'à ce petit jeu là les 2 marques peuvent se faire un méga coup de com, limite du co-branding... à se demander si c'était pas déjà prévu

pissoffcake a écrit: excellent

j'attends de voir la réponse de l'agence de renault parce qu'à ce petit jeu là les 2 marques peuvent se faire un méga coup de com, limite du co-branding... à se demander si c'était pas déjà prévu

Oui, c'est bien possible

ça date d'au moins deux mois vot truc là

Nico56 a écrit:ça date d'au moins deux mois vot truc là

C'est nouveau pour ceux qui regardent peu la télé

Nico56 a écrit:ça date d'au moins deux mois vot truc là

L'article date du 19 Octobre.

Phébus a écrit:

Nico56 a écrit:ça date d'au moins deux mois vot truc là

C'est nouveau pour ceux qui regardent peu la télé

Moi je regarde pas les pubs j'ai vu ça sur le post je crois

Comment vous pouvez le supporter Roustan

Nico56 a écrit:Comment vous pouvez le supporter Roustan

C'est qui ?

Chanelet a écrit:http://www.lequipe.fr/Football/breves2011/20111208_132559_perception-et-indignation.html

Excellent, encore une fois

Nico56 a écrit:Comment vous pouvez le supporter Roustan

Il est complètement barré, mais au moins il a une vraie culture du football et je partage beaucoup de ses points de vue (souvent peu populaires)

Moi je le trouve rigolo

Phébus a écrit:

Chanelet a écrit:http://www.lequipe.fr/Football/breves2011/20111208_132559_perception-et-indignation.html

Excellent, encore une fois

Il est fou Zagalo: il fait jouer Pele contre l'Italie!

Chanelet a écrit:

Phébus a écrit:

Chanelet a écrit:http://www.lequipe.fr/Football/breves2011/20111208_132559_perception-et-indignation.html

Excellent, encore une fois

Il est fou Zagalo: il fait jouer Pele contre l'Italie!

moi je l'ai vu en vrai au bistrot des 3 obus à côté du parc, c'est un putain de débris d'humain