Revue de presse FC Nantes

Nico56 a écrit:18

Ben finalement ce sera sans doute pas plein

Tu rigoles? Avec les ultra monegasques qui deplacent 30 cars et 2 trains?

FC Nantes: Abdou Aziz Diop a signé!
Mardi 12 Mars 2013 - 21:30


FC Nantes: Abdou Aziz Diop a signé!
Formé à l’AS Dakar Sacré-Coeur en 2010, Abdou Aziz Diop s’est engagé en faveur du FC Nantes Atlantique (Ligue 2 française). Les inombrables qualités du joueur ne pouvaient passer inaperçues aux yeux des superviseurs des clubs de l’hexagone. En effet, après avoir été vainqueur de la coupe du Sénégal junior lors de la saison 2010/2011 (compétition dans laquelle il a été élu meilleur joueur et a terminé meilleur buteur), l’attaquant de 18 ans a vite été intégré dans le groupe professionnel lors de la saison 2011/2012, continuant par la suite sur sa même lancée avec huit buts inscrits en dix matchs de championnat, et quatre buts en coupe du Sénégal.

Après avoir rejoint ses nouveaux coéquipiers du FC Nantes Atlantique, le désormais ex attaquant de l’AS Dakar Sacré-Coeur, Abdoul Aziz Diop a survolé son nouveau centre, la Jonelière, en effectuant son premier galop d’entraînement en compagnie du groupe pro.

Galsenfoot

inconnu au bataillon

A ne pas confondre avec Abdoul.

Ses stats ont l'air pas mal. Reste à savoir ce que ça peut donner dans notre championnat

http://www.eurosport.fr/football/ligue-2-1/2012-2013/fc-nantes-deux-blessures-et-une-suspension_sto3675248/story.shtml

FC Nantes. Discipline : convoqué, Michel Der Zakarian risque une suspension


Expulsé à la 82e minute lundi dernier pour avoir protesté après une grosse faute -non sifflée- d’un Dijonnais sur Trebel, Michel Der Zakarian risque gros.

L'entraîneur du FC Nantes avait déjà été exclu du banc le 7 juin 2012 à Guingamp, du temps où il entraînait Clermont-Ferrand. La commission de discipline lui avait alors infligé une suspension de deux matches de banc de touche et de vestiaire d’arbitres avec sursis.

Pour l’heure, « MDZ » est convoqué le 11 avril par ladite Commission de discipline de la LFP à l'occasion de sa prochaine session.
Presse-Océan

Est-il suspendu en attendant cette audience ?

FOOTBALL
Ouvrez la cage
Nantes (Loire-Atlantique), envoyé spécial
Après plusieurs années d'errements, le FC Nantes, club du controversé président Kita, espère enfin retrouver la Ligue 1

Confortablement assis dans un recoin du salon d'honneur du stade de la Beaujoire, Waldemar Kita dévisage avec méfiance son interlocuteur avant de prendre un air patelin. Veste en velours côtelé à boutons mordorés et foulard bleu - sa couleur préférée -, le président du FC Nantes (FCN) affiche une sérénité de façade, deux heures avant la victoire (2-1) des Canaris contre le Gazélec Ajaccio.

" Les travaux entamés depuis pas mal de temps au club ont payé, sourit l'entrepreneur franco-polonais de 59 ans. Pour la montée, ce n'est pas encore fait. Mais c'est l'objectif. " Agglutinée au purgatoire de la Ligue 2 depuis août 2009, la " maison jaune " est en passe de retrouver l'élite en mai prochain. A neuf matchs du terme de la saison, la formation de Loire-Atlantique occupe la deuxième place au classement, avec trois points d'avance sur Caen (3e) et Guingamp (4e) et quatre unités de retard sur l'AS Monaco, leader du championnat. Samedi 30 mars, les Canaris affrontent leurs rivaux de la Principauté à l'occasion du choc au sommet de la 30e journée de Ligue 2.

Ovni en béton armé situé à la périphérie nantaise, l'enceinte de la Beaujoire devrait être archicomble pour la réception des Monégasques. " On est à 10 000 spectateurs en moyenne cette saison, mais on devrait jouer à guichets fermés contre l'AS Monaco, soit 38 000 personnes, précise Gilles Crinière, patron du groupe historique de supporteurs Allez Nantes Canaris, association fondée en 1945, deux ans après la naissance du club. Monaco, c'est quasiment le niveau Ligue 1. On va pouvoir se jauger pour l'an prochain. " Barbe de trois jours et manières avenantes, le capitaine nantais Olivier Veigneau savoure la dimension de cette rencontre charnière. " On avait gagné 2-0 au stade Louis-II lors du match aller, rappelle le défenseur latéral. Cela sera une belle fête contre Monaco. Mais on se piégerait si on se croyait déjà en Ligue 1. On ne doit pas s'effondrer. "

Cette prudence transparaît dans le regard d'acier de Michel Der Zakarian, entraîneur des Canaris revenu au club en début de saison après son éviction du banc nantais il y a cinq ans. " On est dans la dernière ligne droite, mais la vérité éclatera le 24 mai lors de la dernière journée du championnat ", estime ce " pur produit maison ", apprenti au centre de formation de la Jonelière puis joueur (1980-1988), avant de ramener provisoirement, en tant que coach, le FC Nantes vers la Ligue 1 à l'issue de la saison 2007-2008. Nullement grisé par les titrailles euphoriques du quotidien régional Presse Océan, le quinquagénaire à l'accent méridional considère être désormais " à quatre victoires de la montée ". " Cette fois, les conditions d'une promotion sont davantage réunies que par le passé ", confie avec gravité le technicien.

Cette appréciation renvoie le FC Nantes et son dirigeant, Waldemar Kita, à cinq années d'échecs sportifs et de tensions politiques. Patron du club depuis l'été 2007, l'homme d'affaires aux méthodes autoritaires avait racheté le club à la Socpresse, empire médiatique de Serge Dassault, à la suite de la vente à prix d'or de Cornéal SA, société spécialisée dans les lentilles intra-oculaires qu'il avait fondée en 1987. Alignant les erreurs de recrutement, l'omniscient président s'est rapidement mis à dos une frange des supporteurs de la Beaujoire en raison de son approche clanique du pouvoir. Plaçant sa garde rapprochée aux postes-clés du FCN, l'entrepreneur pâtit d'une image déplorable depuis sa prise de contrôle du club.

Les départs de ses bras droits Claude Robin, ex-directeur général délégué, et Christian Larièpe, ancien directeur technique, avec lesquels il avait présidé la formation suisse du FC Lausanne (1998-2001), n'ont pas amélioré sa cote auprès des tifosi nantais. Ces derniers imputent à l'inconséquent millionnaire la descente en Ligue 2 au printemps 2009, moins d'une saison après la remontée parmi l'élite suite à quatre années d'embourbement sur le plan des résultats. " Pour nous, c'est maintenant ou jamais, lance Fabrice Pancrate, attaquant du FCN. Le club a passé des saisons à se faire coiffer pour la Ligue 1. " " Remonter parmi l'élite, c'est logique quand on a l'un des plus gros budgets du championnat. Ce qui est moins normal, c'est quand on met autant de temps pour y parvenir ", analyse Jean-Marc Furlan, éphémère coach du club (2009) et l'un des neuf entraîneurs à s'être succédé sous l'ère Kita.

Avant de servir du champagne à ses convives rassemblés au rez-de-chaussée de la Beaujoire, le président nantais se justifie : " J'ai fait ma propre autocritique. J'ai sans doute été trop impatient en voulant remettre le club sur les rails. J'étais trop dans ma bulle en essayant d'être diplomate. Depuis trois, quatre ans, mon objectif est de stabiliser le FCN. J'ai préféré opter pour une direction sans trop d'intermédiaires, comme c'était le cas avant. Cela avait nourri la polémique. Moins on est dans la direction et plus on est dans le sportif, mieux c'est. "

Désormais, Waldemar Kita impose au club une atypique dyarchie, partageant les rênes du pouvoir avec son fils Franck, 30 ans, actuel directeur général. Silhouette fluette et chaussures cirées, le jeune homme abreuve rarement les médias de confidences. Discret, le portable vissé à l'oreille, il arpente au quotidien les allées du centre sportif José-Arribas, au lieu-dit la Jonelière, siège du club nantais.

Ayant fait ses armes dans l'entreprise familiale, celui qui a suivi le cursus des business schools américaines scrute chaque semaine l'entraînement des Jaune et Vert tandis que son père gère ses affaires à Paris afin de " contribuer à financer le club ". Waldemar Kita n'écarte pas l'idée de transmettre un jour les rênes de la formation nantaise à son fils. " Nous continuons à travailler ensemble dans la même direction, argue le président. Franck a des idées et une vision. La répartition des rôles a été clairement définie. " " Il dirige en famille, un peu comme chez les Ceausescu, persifle-t-on dans son ancien entourage. Cela représenterait une porte de sortie honorable pour lui s'il léguait le club à son fils. Car il ne le vendra jamais. "

Le mea culpa de Waldemar Kita n'a pourtant guère convaincu les observateurs. " L'histoire d'un club ne dépend pas de son patrimoine mais de la hauteur de son président ", juge Jean-Marc Furlan. " Il a dû perdre entre 5 millions et 8 millions d'euros chaque année, murmure-t-on parmi ses ex-courtisans. Il n'a jamais compris l'ADN du FCN. " Dans leur local en tôle situé sous les arceaux de la Beaujoire, Gilles Crinière et les supporteurs d'Allez Nantes Canaris assument leur fibre légitimiste. " On a toujours raisonnablement soutenu le président Kita, confie l'aimable sexagénaire. Si on le met dehors, qui paiera ? Dans son mea culpa, je pense qu'il a plus compris qu'entendu. " " Nantes a fait le yo-yo entre la Ligue 1 et la Ligue 2. Cela a servi de leçon aux dirigeants, renchérit Olivier Veigneau. Ils ne vont pas commettre les mêmes erreurs. "

Impatient de voir son équipe s'extirper de la Ligue 2, le public de la Beaujoire a souvent gratifié, cette saison, sa formation de copieux sifflets en dépit de résultats flatteurs. " Retour aux valeurs du jeu ", peut-on lire sur les pancartes régulièrement brandies dans les kops nantais. Près de la buvette tenue par Gilles Crinière et ses amis, un portrait géant de Jean-Claude Suaudeau, entraîneur du FCN aux nombreux succès, mi-gourou, mi-théoricien du fameux " jeu à la nantaise ", traduit encore la fascination des supporteurs pour ce qui faisait l'essence de la formation jaune et vert : un style hypercollectif axé sur une circulation de balle ultrafluide.

Cette marque identitaire et esthétique qui a contribué à étoffer la renommée de l'octuple champion de France semble avoir été abandonnée par les entraîneurs nantais depuis le dernier titre acquis en Ligue 1, en 2001. " En Ligue 2, le jeu est sacrifié au profit du résultat, explique Gilles Crinière. Quelque part, c'est un crève-coeur. Ici, on venait d'abord voir un spectacle avant de penser à la gagne. " Le pragmatique Waldemar Kita assume ce virage. " Le public est nostalgique, il a connu un âge d'or, explique-t-il. Mais on ne nie pas complètement notre culture. C'est le football enseigné dans notre centre de formation. On y investit chaque année 6 millions d'euros. "

Traditionnel vivier du groupe professionnel nantais, l'académie de la Jonelière demeure, avec ses 600 pensionnaires, l'un des piliers du FCN. Mais cette saison, seuls deux joueurs issus du centre de formation jouent régulièrement avec le onze de Michel Der Zakarian. La perspective de la montée a clairement dissuadé l'entraîneur nantais de lancer dans l'arène de nombreux jeunes. " Il faut du dosage entre les éléments en devenir et l'effectif en place, avance-t-il. Je ne suis pas dans la formation mais dans la compétition. " " Cela représente une prise de risque d'intégrer un jeune quand on a un tel objectif ", justifie Samuel Fenillat, responsable de l'académie de la Jonelière.

Si d'aventure le club nantais retrouvait la Ligue 1, ses dirigeants pourraient être contraints, la saison prochaine, de restaurer la passerelle entre le groupe professionnel et le centre de formation. Car le club est sous la menace d'une interdiction de recrutement. Le 1er février, la chambre de résolution des litiges de la Fédération internationale de football (FIFA) a écarté les Canaris du marché des transferts, prohibant tout enrôlement pour une durée d'un an. Cette sanction découle du recrutement jugé irrégulier du joueur guinéen Ismaël Bangoura, transfuge d'Al Nasr Sports club (Dubaï), effectué par le FCN en janvier 2012.

Au titre de cette rupture de contrat considérée comme illicite par la formation émiratie, Nantes devait également verser, conjointement avec la recrue incriminée, 4,5 millions d'euros à l'équipe plaignante. Or, Waldemar Kita et ses avocats ont fait appel auprès du tribunal arbitral du sport (TAS). L'instance internationale devrait rendre une décision finale fin juin. " La date d'audience n'a pas encore été fixée ", a indiqué le TAS.

Suspensif, cet appel offre un délai de quelques mois au FC Nantes, jusqu'à ce que les " sages " de Lausanne rendent leur verdict. Relayée par les médias, cette affaire est venue camoufler la spirale ascendante des Canaris en Ligue 2. " Nous n'avons pas été perturbés par ce litige ", répond Michel Der Zakarian, qui pourrait pourtant être privé de toute marge de manoeuvre dans l'optique d'une montée parmi l'élite. " Si la sanction est confirmée, les joueurs actuels seraient tous assurés de jouer la saison prochaine, se défend Waldemar Kita. Ils ne pourraient qu'être heureux. On peut parfaitement bien fonctionner en Ligue 1 avec l'effectif de cette année. "

En revanche, cette affaire alarme le vestiaire nantais. " Je ne pense pas qu'on gardera le cap en Ligue 1 avec le groupe actuel, confie Fabrice Pancrate. Quand je vois les erreurs qu'on a faites et nos lacunes en Ligue 2, on les paiera cash parmi l'élite. " " Si le TAS confirme la sanction de la FIFA, on fera notre job pour viser le maintien ", estime Olivier Veigneau. Cette épée de Damoclès qui menace le club a-t-elle provoqué un affolement parmi les supporteurs nantais ? " Il y a une belle osmose au sein de l'équipe actuelle, constate Gilles Crinière. Il ne faut rien changer sinon on va redescendre. " Au centre de formation de la Jonelière, l'hypothèse d'une décision défavorable rendue par le TAS laisse de marbre. " Si on ne peut pas recruter, il faudra encore davantage s'appuyer sur les jeunes joueurs ", juge Samuel Fenillat.

Dans l'attente d'un dénouement judiciaire, Waldemar Kita fait preuve d'un aplomb sidérant. " J'ai la conviction qu'on fera une bonne saison en Ligue 1, glisse-t-il. Notre budget passera de 20 millions d'euros à entre 30 et 40 millions d'euros. En deux, trois ans, je suis sûr qu'on retrouvera une équipe digne de Nantes. " Depuis cinq ans, il a pourtant été démontré que l'optimisme à tous crins du président des Canaris était tout sauf contagieux dans la sixième ville de France.

Rémi Dupré

© Le Monde

Il se voit déjà en L1, on est foutu.

FC Nantes. Jordan Veretout absent un mois !

C'est la tuile pour le FC Nantes et son milieu de terrain. L'international U20, victime d'un accident domestique samedi soir après le match face à Monaco, s'est blessé au genou. Il a été hospitalisé et son indisponibilité est estimée à un mois minimum.
(source)

Si c'est vrai, c'est une très mauvaise nouvelle, ou alors c'est faux et c'est un poisson d'avril hyper pourri

http://www.francefootball.fr/#!/news/2013/04/01/123758_accident-domestique-pour-veretout.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

Ça semble se confirmer Sur le forum off, certains disent qu'il se serait bourré la gueule après le match et qu'il serait tombé en rentrant chez lui! Ah ces jeunes, ils ne tiennent pas la distance !

FC Nantes : Cichero, Aristeguieta et Trebel à l'infirmerie

Mardi, Gabriel Cichero s'était contenté de courir avant de rentrer au vestiaire en grimacant. Ce mercredi, le défenseur central vénézuélien du FC Nantes n'est pas sorti de l'infirmerie et n'a pas pris part à l'entraînement, ce qui renforce les doutes concernant sa participation, vendredi au derby contre Angers SCO. Si Cichero - touché au ligament interne du genou droit en sélection contre la Colombie - devait faire défaut comme face à Monaco, Michel Der Zakarian pourrait reconduire la charnière Deaux-Djilobobji. Touché lors du sommet, le grand Sénégalais a retrouvé sa place au milieu de ses coéquipiers ce mercredi matin, tout comme Filip Djordjevic et Rémy Riou.

En revanche, manquaient également sur la pelouse de la Jonelière ce matin : l'attaquant Fernando Aristeguieta, revenu de sélection avec une douleur et rentré seulement en fin de match contre Monaco, et surtout Adrien Trébel victime d'une béquille. Pour sa part, Vincent Bessat, touché à la paroie abdominale, continue sa remise en condition avec le préparateur physique.
Ouest-France

Veigneau encore plus concerné

lui faut lui filer 4 ans de contrat sans hésitation, c'est un patron ce gars là

Je reviens sur le forum, et tous les pilliers de l'équipe se blessent, : ( ! Vous allez voir demain il va se blesser djordjevic : (

paix a écrit:Je reviens sur le forum, et tous les pilliers de l'équipe se blessent, : ( ! Vous allez voir demain il va se blesser djordjevic : (

oust!

Keita à Angers

la L1 avec Keita, c'est un peu léger. mieux vaut pour Angers patienter encore un an et là il sera bien mûr

C'est un éventuel transfert en cas de maintien du club en L2

Ils pourraient attendre l'inter-saison pour parler de transferts. Là on est dans le sprint final, c'est vraiment pas le moment de perturber les joueurs et les équipes

TV : Interview de Vincent BESSAT par FCNantesTV

Si vous n'avez pas regardé les émissions sur les 70 ans du FC Nantes

http://pays-de-la-loire.france3.fr/2013/04/13/70ansfcnantes-revoir-toutes-nos-emissions-speciales-en-vert-et-jaune-234069.html