Je m'inquiète sur le futur entraineur Nantais

seb a écrit:

Triskel a écrit:

seb a écrit:

judinaxy a écrit:vu les dernières phrases de roussillon

serge le Dizet n'est pas encore confirmé.
vahid c'est non.
denoueix en contact avec toulouse
Lacombe confirmé à Paris


je rêve s'il nous sort deschamps (il connait la maison, a une grosse expérience et un esprit de vainqueur).

Alors qui???

Francis Lalanne

[] [] et une p'tite chanson pour remonter le moral des troupes + 2-3 blagues en prime

"Je prendrais bien un Capoue...chino après l'entraînement les gars !"

pas mal et si il joue a milan il pourra dire:"putin ce matin j'ai du boire du Nestafé parce que j'avais plus de Cafù!"

Sniper47 a écrit:

seb a écrit:

Triskel a écrit:

seb a écrit:

judinaxy a écrit:vu les dernières phrases de roussillon

serge le Dizet n'est pas encore confirmé.
vahid c'est non.
denoueix en contact avec toulouse
Lacombe confirmé à Paris


je rêve s'il nous sort deschamps (il connait la maison, a une grosse expérience et un esprit de vainqueur).

Alors qui???

Francis Lalanne

[] [] et une p'tite chanson pour remonter le moral des troupes + 2-3 blagues en prime

"Je prendrais bien un Capoue...chino après l'entraînement les gars !"

pas mal et si il joue a milan il pourra dire:"putin ce matin j'ai du boire du Nestafé parce que j'avais plus de Cafù!"

Et je fais Kaka juste après

seb a écrit:

Sniper47 a écrit:

seb a écrit:

Triskel a écrit:

seb a écrit:

judinaxy a écrit:vu les dernières phrases de roussillon

serge le Dizet n'est pas encore confirmé.
vahid c'est non.
denoueix en contact avec toulouse
Lacombe confirmé à Paris


je rêve s'il nous sort deschamps (il connait la maison, a une grosse expérience et un esprit de vainqueur).

Alors qui???

Francis Lalanne

[] [] et une p'tite chanson pour remonter le moral des troupes + 2-3 blagues en prime

"Je prendrais bien un Capoue...chino après l'entraînement les gars !"

pas mal et si il joue a milan il pourra dire:"putin ce matin j'ai du boire du Nestafé parce que j'avais plus de Cafù!"

Et je fais Kaka juste après

puis je fait Kakà dur quand je prend du Nestafé et du Cafu et c'est Pire lo, voir plus.

Il se dit de plus en plus que si il y a changement d'entraineur ce pourrait etre un entraineur qui na jamais connu la maison jaune

et pourquoi pas les amisses and co ! on a déjà donné

le foot évolue le fcna doit suivre et s'adapter

Vu que les noms les plus fous circulent, j'ai ça à proposer



15/04/2006
Foot - CM 2006 : Zico en Europe ?

Après quinze ans au Japon, Zico se dirige vraisemblablement vers le Vieux Continent. Le Brésilien assure qu'il quittera son poste de sélectionneur après le Mondial et veut «travailler comme entraîneur principal dans un club en Europe», selon Saburo Kawabuchi, le président de la Fédération nipponne (JFA).

Comme joueur, Zico a contribué au lancement de la ligue professionnelle japonaise avant de succéder à Philippe Troussier à la tête de la sélection après la Coupe du monde 2002. Il a conduit son équipe à sa troisième Coupe d'Asie en 2004, gagnée contre la Chine à Pékin (3-1), la qualifiant pour le Mondial.

persoone n'en parle mais amisse est un bon entraineur meilleur que sld en tout cas parce que lui au moin il a enmené nantes 6eme avec 60 points il etait arrivé en demi finale de la coupe de france en finale de la coupe de la ligue en 2003 2004 il a réussis a tiré presque le maximum de potentiel pour nos joueurs mais bon l'autre qui a détruit le club l'a viré tout comme marcos amisse ou denoueix

alain a écrit:persoone n'en parle mais amisse est un bon entraineur meilleur que sld en tout cas parce que lui au moin il a enmené nantes 6eme avec 60 points il etait arrivé en demi finale de la coupe de france en finale de la coupe de la ligue en 2003 2004 il a réussis a tiré presque le maximum de potentiel pour nos joueurs mais bon l'autre qui a détruit le club l'a viré tout comme marcos amisse ou denoueix

Mais bordel mets des points et des virgules ! [Bou]

alain a écrit:persoone n'en parle mais amisse est un bon entraineur meilleur que sld en tout cas parce que lui au moin il a enmené nantes 6eme avec 60 points il etait arrivé en demi finale de la coupe de france en finale de la coupe de la ligue en 2003 2004 il a réussis a tiré presque le maximum de potentiel pour nos joueurs mais bon l'autre qui a détruit le club l'a viré tout comme marcos amisse ou denoueix

Surtout pas j'attendais avec impatience qu'il se casse , ses choix me deplaisaient beaucoup et sa peur de faire des changements quand on est dans la merde aussi , pour moi il est un tout petit peu meilleur que Le Dizet , mais si on doit changer d'entraineur autant en prendre un qui est vraiment meilleur. D'ailleurs je ne comprenais pas qu'il demissionne pas de lui même alors que ça n'allait plus du tout.

Nantais® a écrit:

alain a écrit:persoone n'en parle mais amisse est un bon entraineur meilleur que sld en tout cas parce que lui au moin il a enmené nantes 6eme avec 60 points il etait arrivé en demi finale de la coupe de france en finale de la coupe de la ligue en 2003 2004 il a réussis a tiré presque le maximum de potentiel pour nos joueurs mais bon l'autre qui a détruit le club l'a viré tout comme marcos amisse ou denoueix

Surtout pas j'attendais avec impatience qu'il se casse , ses choix me deplaisaient beaucoup et sa peur de faire des changements quand on est dans la merde aussi , pour moi il est un tout petit peu meilleur que Le Dizet , mais si on doit changer d'entraineur autant en prendre un qui est vraiment meilleur. D'ailleurs je ne comprenais pas qu'il demissionne pas de lui même alors que ça n'allait plus du tout.

Et que pense tu de Marcos?

alain a écrit:

Nantais® a écrit:

alain a écrit:persoone n'en parle mais amisse est un bon entraineur meilleur que sld en tout cas parce que lui au moin il a enmené nantes 6eme avec 60 points il etait arrivé en demi finale de la coupe de france en finale de la coupe de la ligue en 2003 2004 il a réussis a tiré presque le maximum de potentiel pour nos joueurs mais bon l'autre qui a détruit le club l'a viré tout comme marcos amisse ou denoueix

Surtout pas j'attendais avec impatience qu'il se casse , ses choix me deplaisaient beaucoup et sa peur de faire des changements quand on est dans la merde aussi , pour moi il est un tout petit peu meilleur que Le Dizet , mais si on doit changer d'entraineur autant en prendre un qui est vraiment meilleur. D'ailleurs je ne comprenais pas qu'il demissionne pas de lui même alors que ça n'allait plus du tout.

Et que pense tu de Marcos?

J'ai pas eu le temps de me faire une idée sur Lui , je me rappelle vaguement.

alain a écrit:persoone n'en parle mais amisse est un bon entraineur meilleur que sld en tout cas parce que lui au moin il a enmené nantes 6eme avec 60 points il etait arrivé en demi finale de la coupe de france en finale de la coupe de la ligue en 2003 2004 il a réussis a tiré presque le maximum de potentiel pour nos joueurs mais bon l'autre qui a détruit le club l'a viré tout comme marcos amisse ou denoueix

C'est un copier-coller mais bon .....


? , : . ! " é è ^ Ce sont les principaux mais en regardant bien ton clavier, tu en découvriras d'autres [pff]

Est-ce qu'on peut avoir Claude Puel ? svp [tri]

Football : Entraîneur : y a-t-il une vie après le FC Nantes ?

Marcos, Amisse, Éo et Le Dizet ont un jour pris les rênes du FC Nantes. Mais depuis, aucun d'eux n'a réussi à retrouver un club. Explications.

Au FC Nantes, la valse des entraîneurs en a laissé plus d'un sur la touche. Enfin, pas vraiment sur la touche, puisque c'est justement là que ces derniers aimeraient se retrouver. Privés de banc, de vestiaires et d'équipes, les techniciens de la Jonelière ne savent plus sur quel pied danser pour rebondir.

Angel Marcos (2002 - 2003), Loïc Amisse (2003 - décembre 2004), Serge Le Dizet (janvier 2005 - septembre 2006) et Georges Éo (septembre 2006 - février 2007) n'ont toujours pas trouvé de club depuis leur éviction successive du FC Nantes. Étonnant hasard ou ballet de persona non grata que le circuit professionnel ne veut pas relancer ? Il semble que l'équation soit simplement une histoire de contexte.

À commencer par les priorités du FC Nantes qui ne sont visiblement plus les mêmes. Du haut de leur vigie, les présidents ont mis le cap sur les résultats. Une orientation qui peut laisser perplexe, notamment ces cinq dernières saisons, où quatre entraîneurs ont été placés à la barre du navire nantais. Un turn-over inhabituel puisque depuis Aimé Nuic et la création du club en 1943, seulement 17 hommes ont dirigé les Canaris dans le championnat de France. Des statistiques qui contrastent certes avec les 50 entraîneurs de l'Olympique de Marseille (également depuis 1943) mais qui témoignent de la stabilité qu'affichait, jadis, la cité des Ducs.

La politique du résultat a grignoté celle du beau jeu, au détriment des hommes de mains qui ont fait la réputation de la maison, et qui s'attaquent désormais à l'âme d'un bastion du football français. « Bien jouer, je m'en fous. »1. Au final, à force de subir les tumultes de l'Erdre, le bâtiment jaune a fini par échouer dans les abîmes de la Ligue 2.

Le particularisme nantais

Une culture, des valeurs, un modèle. Appartenir au FC Nantes ne laisse jamais indifférent. Et il semblerait que l'étonnant syndrome qui contamine les derniers entraîneurs du club soit en partie responsable de leur incapacité à rebondir. « La situation des entraîneurs nantais est atypique, avoue Thibaut Dagorne, directeur de programme à l'UNECATEF, syndicat des entraîneurs de football. Je ne parlerais pas de sinistrose, mais de spécificité nantaise. »

Tous ces coachs remerciés sont en effet des formateurs, devenus adjoints, mis sur le devant de la scène après une série de mauvais résultats. À peine le temps de faire leurs preuves et les voilà déjà remerciés, livrés aux bancs des chômeurs avec l'étiquette d'un échec avéré. Sur le marché du travail, ils sont boudés par le « reste du Monde » car ils appartiennent à un modèle compliqué à exporter.

« On a toujours parlé de la difficulté d'intégration pour les Nantais, raconte Loïc Amisse. Ceux qui tentent l'aventure vers d'autres cieux mettent toujours un temps à s'adapter. »

Der Zakarian, cas d'espèce

Difficile en effet de quitter le sein qui les a vu naître, nourri et fait grandir. Idem pour les entraîneurs. Et pour ne rien arranger, la machine nantaise choisit toujours un maillon de la chaîne locale pour la diriger. « C'est un souci de légitimité. Coco Suaudeau était le parfait exemple, explique Serge Le Dizet. Il représentait les valeurs nantaises et le savoir-faire. » Mais malgré sa réussite, Maître Suaudeau n'a jamais tenté l'aventure dans un autre club. Guy Roux, figure de proue de l'enseigne AJA, a lui osé. Deux mois plus tard, retour au bercail.

La vie d'un entraîneur ne se résume décidément pas aux jaillissements des bancs après un but ou aux larmes de joie des victoires. Derrière, il y a une carrière et des contextes souvent difficiles à gérer. Celui du FC Nantes l'est sans doute un peu plus que les autres.

L'ère Kita ne le simplifiera pas forcément pour les coaches. Michel Der Zakarian travaille ainsi à la remontée du club mais en se doutant bien qu'il pourrait être dépossédé de l'équipe pour la diriger en Ligue 1. Mais lui aurait, le cas échéant, une expérience positive à vendre.

Alexis BERNARD.

Ouest-France

si c'est pour avoir puel j'ai rien contre

OBIWAN44 a écrit:si c'est pour avoir puel j'ai rien contre

Lui si

[quote="judinaxy"]vu les dernières phrases de roussillon
serge le Dizet n'est pas encore confirmé.
vahid c'est non.
denoueix en contact avec toulouse
Lacombe confirmé à Paris
quote]

Un an et demi après, Le Dizet est au chômage, Coatch Vahid également, tout comme Denoueix, et idem pour Lacombe

Triskel a écrit:Football : Entraîneur : y a-t-il une vie après le FC Nantes ?

Marcos, Amisse, Éo et Le Dizet ont un jour pris les rênes du FC Nantes. Mais depuis, aucun d'eux n'a réussi à retrouver un club. Explications.

Au FC Nantes, la valse des entraîneurs en a laissé plus d'un sur la touche. Enfin, pas vraiment sur la touche, puisque c'est justement là que ces derniers aimeraient se retrouver. Privés de banc, de vestiaires et d'équipes, les techniciens de la Jonelière ne savent plus sur quel pied danser pour rebondir.

Angel Marcos (2002 - 2003), Loïc Amisse (2003 - décembre 2004), Serge Le Dizet (janvier 2005 - septembre 2006) et Georges Éo (septembre 2006 - février 2007) n'ont toujours pas trouvé de club depuis leur éviction successive du FC Nantes. Étonnant hasard ou ballet de persona non grata que le circuit professionnel ne veut pas relancer ? Il semble que l'équation soit simplement une histoire de contexte.

À commencer par les priorités du FC Nantes qui ne sont visiblement plus les mêmes. Du haut de leur vigie, les présidents ont mis le cap sur les résultats. Une orientation qui peut laisser perplexe, notamment ces cinq dernières saisons, où quatre entraîneurs ont été placés à la barre du navire nantais. Un turn-over inhabituel puisque depuis Aimé Nuic et la création du club en 1943, seulement 17 hommes ont dirigé les Canaris dans le championnat de France. Des statistiques qui contrastent certes avec les 50 entraîneurs de l'Olympique de Marseille (également depuis 1943) mais qui témoignent de la stabilité qu'affichait, jadis, la cité des Ducs.

La politique du résultat a grignoté celle du beau jeu, au détriment des hommes de mains qui ont fait la réputation de la maison, et qui s'attaquent désormais à l'âme d'un bastion du football français. « Bien jouer, je m'en fous. »1. Au final, à force de subir les tumultes de l'Erdre, le bâtiment jaune a fini par échouer dans les abîmes de la Ligue 2.

Le particularisme nantais

Une culture, des valeurs, un modèle. Appartenir au FC Nantes ne laisse jamais indifférent. Et il semblerait que l'étonnant syndrome qui contamine les derniers entraîneurs du club soit en partie responsable de leur incapacité à rebondir. « La situation des entraîneurs nantais est atypique, avoue Thibaut Dagorne, directeur de programme à l'UNECATEF, syndicat des entraîneurs de football. Je ne parlerais pas de sinistrose, mais de spécificité nantaise. »

Tous ces coachs remerciés sont en effet des formateurs, devenus adjoints, mis sur le devant de la scène après une série de mauvais résultats. À peine le temps de faire leurs preuves et les voilà déjà remerciés, livrés aux bancs des chômeurs avec l'étiquette d'un échec avéré. Sur le marché du travail, ils sont boudés par le « reste du Monde » car ils appartiennent à un modèle compliqué à exporter.

« On a toujours parlé de la difficulté d'intégration pour les Nantais, raconte Loïc Amisse. Ceux qui tentent l'aventure vers d'autres cieux mettent toujours un temps à s'adapter. »

Der Zakarian, cas d'espèce

Difficile en effet de quitter le sein qui les a vu naître, nourri et fait grandir. Idem pour les entraîneurs. Et pour ne rien arranger, la machine nantaise choisit toujours un maillon de la chaîne locale pour la diriger. « C'est un souci de légitimité. Coco Suaudeau était le parfait exemple, explique Serge Le Dizet. Il représentait les valeurs nantaises et le savoir-faire. » Mais malgré sa réussite, Maître Suaudeau n'a jamais tenté l'aventure dans un autre club. Guy Roux, figure de proue de l'enseigne AJA, a lui osé. Deux mois plus tard, retour au bercail.

La vie d'un entraîneur ne se résume décidément pas aux jaillissements des bancs après un but ou aux larmes de joie des victoires. Derrière, il y a une carrière et des contextes souvent difficiles à gérer. Celui du FC Nantes l'est sans doute un peu plus que les autres.

L'ère Kita ne le simplifiera pas forcément pour les coaches. Michel Der Zakarian travaille ainsi à la remontée du club mais en se doutant bien qu'il pourrait être dépossédé de l'équipe pour la diriger en Ligue 1. Mais lui aurait, le cas échéant, une expérience positive à vendre.

Alexis BERNARD.

Ouest-France

T'as vu, Nico, le monsieur parle comme moi.