Et l' Immense Da Rocha, sexy Dieu de la plebe mondiale?

duss

Il a le caca mou...

Faudra qu'on m'esplique.

Merki Titi

Inti a écrit:Frédéric Da Rocha, le capitaine ad hoc du FCN.



20 Minutes.

Chut, y'en a qui vont faire une syncope.

Football : Frédéric Da Rocha : « On n'en fait pas assez »

Le milieu de terrain nantais, auteur d'une prestation très solide, analyse le match nul de samedi soir.Il évoque aussi la rencontre de Grenoble. Et son nouveau poste sur le terrain.
Frédéric, contre Caen, avez-vous perdu 2 points ou en avez-vous gagné 1 ?

Dans la mesure où ce match était à domicile, on peut dire que ce sont aussi 2 points de perdus. Car les points sont chers. Maintenant, si on peut faire le même parcours que Valenciennes, qui a aussi joué deux matches consécutifs à domicile (match nul contre... Nantes avant de battre... Caen en match en retard N.D.L.R.), ce serait bien. Notre première rencontre a été moyenne en terme de résultat, à nous de faire en sorte que la deuxième soit meilleure.

Comment expliquez-vous cette prestation moyenne justement ?

Si j'étais fataliste, je dirais que c'est comme ça... C'est vrai que l'on aurait pu gagner ce match. Maintenant, on ne le gagne pas parce que l'on le commence mal, on court après le score. Et au bout du compte on prend un point. Et c'est toujours un point pour en revenir à la question précédente. Caen reste derrière nous et dans cette zone, mis à part Auxerre et Sochaux qui ont gagné, les choses reviennent un peu au même. Les points sont tous très importants, surtout à domicile, maintenant à nous de faire fructifier nos résultats à l'extérieur.

Car l'opération maintien est toujours d'actualité...

Oui et il y a plusieurs équipes impliquées dans cette lutte. Il ne faut donc pas lâcher. Ce sera dur encore un petit moment... ou peut-être jusqu'au bout. Nous sommes encore dans le ventre mou, donc il va falloir encore se battre car on n'en fait pas assez. Les autres équipes ont aussi du mal à gagner chez eux, parce que nous avons réussi à gagner là-bas.

Comment expliquez-vous ces difficultés à gagner à domicile ?

Je ne sais pas. Même si ces derniers temps, on se met en difficulté tout seuls en encaissant un but très tôt. On parvient à enchaîner des phases de jeu intéressantes, mais on se doit d'être plus constants et retrouver une certaine solidité. Grenoble est une des meilleures défenses du championnat (la 4e de la Ligue 1 N.D.L.R.) il faudra donc être très costaud.

Sur un plan individuel, vous semblez avoir retrouvé une bonne forme...

Individuellement, je donne le maximum. Mon poste me demande d'être présent. Même si je suis dans une zone défensive, je dois aussi apporter offensivement. En tout cas, si ce que je fais permet à l'équipe d'avancer, alors tant mieux.

Justement, comment vous sentez-vous à ce poste de milieu axial ?

Je ne suis pas totalement dépaysé puisque j'ai déjà évolué dans ce rôle-là. C'est le coach qui m'a dit : « je te mets là, parce que tu peux nous apporter beaucoup. » À ce poste, je suis à la fois avec la défense, mais aussi à la relance. Quand je suis dans une position axiale, j'arrive aussi à mieux parler. Parfois, c'est un peu frustrant parce que je ne peux pas trop monter, mais il faut concevoir ce poste avec tout ce que ça suppose. Si je pars à l'abordage, je laisse des gros espaces derrière et je mets mes copains en danger.

Propos recueillis par

Raphaël BONAMY.
Ouest-France

On est descendu bien bas

Da Rocha : « Ça fait drôle »



Plus qu'un 400e match, Frédéric Da Rocha souhaiterait surtout connaître une 15e saison en Ligue 1 avec le FCN.
Sauf pépin, l'emblématique capitaine des Canaris (34 ans) disputera face à Lorient son 400e match en pros (le 374e en L1).
Vous vous souvenez de votre arrivée à la Jonelière ?

« Comme si c'était hier. Ça faisait drôle car je quittais ma région, ma famille. J'avais 16 ans. Mais je savais que c'était pour vivre ma passion. »

Depuis, le football a drôlement évolué...

« Évidemment. Déjà sur le plan médiatique. Aujourd'hui, le moindre truc, on en entend parler. Après, au niveau du jeu, les mecs sont beaucoup plus physiques. Certains sont impressionnants. »

Comment expliquez-vous votre attachement au club ?

« Déjà, je rentrais bien dans le système (collectif). Jeune, je voyais des affiches des anciens. Tu demandais, c'est qui ça ? On te racontait des petits trucs sur eux. Tu apprends à aimer tout ce que représente cette institution. C'est pour ça que lorsqu'on joue, c'est pour représenter ce club. À l'histoire magnifique. »

Avec un titre et deux coupes, vous avez pleinement participé à cette histoire...

« Oui mais comme ceux qui n'ont pas gagné. Après, c'est l'engagement personnel qu'on peut y mettre, le sens du collectif. Car être un joueur de foot, ce n'est pas seulement être sur le terrain. C'est s'intéresser au club. Et tu défends ses couleurs jusqu'à la fin. »

L'intérêt des joueurs pour les anciens : vous n'avez pas l'impression que cela a disparu ?

« Je n'en sais rien. Quand je revois un ancien, il y a toujours cette notion de respect. Quand tu parles avec Henri Michel, excusez-moi mais... Quand tu penses à ce que représente ce monsieur, c'est énorme. »

Vous auriez pu partir à Liverpool, en 2001...

« Je ne regrette rien. »

Ça fait quoi d'être, aujourd'hui, le dernier des Mohicans ?

« Il en reste des joueurs formés ici : Loïc (Guillon), William (Vainqueur)... Dire que je suis le dernier, on ne peut pas dire ça. T'as l'impression que c'est une mort. Il n'y a pas de mort. Il y a d'autres jeunes. Il y en aura d'autres. Je l'espère. Car le FC Nantes, c'est la formation. »

Qu'en est-il de votre situation contractuelle (fin de contrat en juin) ?

« On verra plus tard. Ce n'est pas ma situation qui prime, c'est celle du club. Car un tel club ne doit pas redescende. »

Vous avez envie de rester ou pas ?

« Je me consacre à ce que le club reste en L1. Après, on verra bien. »

Associé à Nantes, on se dit : « Da Rocha, il ne peut pas partir... »

« C'est très sympa mais il peut partir. Si on me propose, peut-être serai-je tenté de rester mais, après, il y a d'autres propositions. C'est sûr, le FC Nantes reste très important pour moi. »

A-t-on des chances de voir votre 400e en L1 avec le FCN ?

« Je ne sais pas. Déjà, il faut qu'on reste en L1... Lorient ? Ça fait drôle de se dire que c'est le 400e sous le même maillot. L'enjeu fait que je pense uniquement à la victoire. »

Recueilli par Jean-Yves Queignec
Presse-Océan

Formateur puis entraîneur de l'équipe première de 1997 à 2001, Raynald Denoueix a lui-aussi effectué toute sa carrière de joueur au FC Nantes (1966-79). Et a bien connu Frédéric Da Rocha, avec qui il est lié par une amitié sincère et complice. C'est ensemble qu'ils ont bâti une bonne partie de leur palmarès, l'un d'entraîneur, l'autre de joueur. Toujours sous le maillot jaune.

Que vous inspire ce 400e match de Frédéric au FC Nantes ?
Raynald Denoueix : Il est l'image de ce qu'on aime. On dit souvent aujourd'hui que le football est devenu le sport collectif le plus individualiste. Frédéric est l'image du joueur collectif.

Quels souvenirs gardez-vous de ce joueur ?
Raynald Denoueix : Impliqué. C'est ce qui le résume le mieux. Il a toujours eu des réactions vraies. Dans la victoire, dans la défaite, les coups de gueule... il l'a toujours fait avec beaucoup de sincérité. C'est ce qui le caractérise.

"Il peut faire encore beaucoup"

Frédéric a pourtant eu des opportunités pour partir du "cocon"...
Raynald Denoueix : Il a bien fait de rester. C'est le meilleur moyen de vivre une belle carrière. Qu'on gagne, qu'on perde, on vit de bons moments.

400 matches en championnat, mais ce n'est pas un point final...
Raynald Denoueix : Il peut faire encore beaucoup. Il faut qu'il reste pour transmettre son comportement et son attitude. Il le dit lui-même, il ne se projette pas sur "l'après". Ca veut dire qu'il est encore joueur. C'est important pour la transmission.

http://www.fcnantes.com/articles/article2809.php?num=1295

Football : Frédéric Da Rocha, le Nantais toujours jaune
Frédéric Da Rocha a débuté en Division 1 le 9 septembre 1995 à Bastia. Quatorze ans plus tard, il n'a pas quitté le FC Nantes avec lequel il disputera son 400e match de championnat professionnel, Ligue 2 inclus.
Contre Lorient, le capitaine nantais jouera son 400e match de championnat en jaune. Retour sur une carrière hors normes.




La 400e: Je préférerais la fêter dans un autre contexte. Je suis cependant content d'en être là, ça signifie que j'ai fait ce qu'il fallait pour ça. J'aurais pu partir en 2001 (à Liverpool N.D.L.R), mais on venait d'être sacrés champions de France, et on allait disputer la Ligue des Champions. Je savais où j'étais et le club a fait un effort pour me garder.

La motivation : Si je continue, c'est que je prends du plaisir. Sinon, j'arrêterais. La notion de plaisir se cultive tous les matins à l'entraînement, quand tu retrouves une bande de copains. L'endroit où tu prends le plus de plaisir, c'est dans le vestiaire. Tu rigoles, tu as envie de bien faire. C'est quand même agréable de jouer en Ligue 1, non ? Suis-je privilégié ? Je ne sais pas. J'ai tout fait pour en arriver là. C'est d'ailleurs un conseil que je transmettrai à mes enfants. S'ils veulent s'investir dans un domaine, qu'ils le fassent à fond, quel que soit le niveau.

L'émotion : Incontestablement, j'ai ressenti les plus grosses émotions lors des deux maintiens miraculeux, au Havre en 2000 et contre Metz en 2005. On gagne à chaque fois 1-0. On sait que tout ne dépend plus de nous. Quand tu remportes des titres, tu cries, tu rigoles, c'est une ambiance de fête extraordinaire. Mais quand tu sauves ta peau, celle du club, c'est plus fort. Dans le vestiaire, tu chiales.

Les supporters : au début de ma carrière, les relations étaient parfois un peu plus compliquées. Tu as vu, dimanche à Saint-Étienne, Ilan a été ovationné. Il y a quelques semaines encore, il était sifflé. C'est comme ça. Avec les supporters nantais, on a en commun cet amour du club.

Un stade : la Beaujoire. J'y ai connu les plus belles années mais aussi un match pour le maintien face à Metz. Mais il y a en d'autres que j'apprécie, comme le Parc des Princes, le Vélodrome, ou le Stade de France. Mais la plus belle ambiance, je l'ai connue à Galatasaray, en Ligue des Champions. Les Turcs y mettaient une ambiance de feu, c'était de la folie, ça résonnait. Old Trafford, à côté, c'est de la gnognotte.

La fin de contrat : l'important, c'est le maintien du FC Nantes en Ligue 1. Avec ou sans moi la saison prochaine ? On verra. Ça va plus vite pour certains que pour d'autres. Ce qui est sûr, c'est que si je ne joue pas ici, je jouerai encore au foot la saison prochaine.




Da Rocha digest

Né le 19 septembre 1974 à Cenon (33). 1,77 m, 72 kg. Milieu de terrain. Il joue d'abord à Cenon, puis rejoint pour une saison l'équipe de Mérignac en National Cadets lors de la saison 1989-1990. Arrivé au FC Nantes, Il est alors recruté par le centre de formation du FCNA. Pendant 5 saisons, il joue en réserve (D3 et Nationale 2).

1er match en Division 1 : le 9 septembre 1995 à Bastia. Depuis, il totalise 373 matches en Division 1/Ligue 1 et 26 matches (1 but) en Ligue 2. Il a aussi disputé 9 matches (1 but) en Ligue des Champions et 14 matches (4 buts) en Coupe de l'UEFA.

Palmarès : champion de France en 2001, vainqueur de la Coupe de France en 1999 et 2000, 1/2 finaliste de la Ligue des Champions en 1996, finaliste de la Coupe de la Ligue en 2004.

Il compte enfin une sélection en France A' (le 2 juin 1999 pour France A' - Allemagne A' à Angers).

Ouest-France

Bof, 1 mètre 77.

Dans le Ouest France, y'a aussi les interviews de Le Paih, Quint, De Freitas et Savinaud. Ils le compare entre autre à Giggs, Raul et Del Piero, rien que ça

Coluche a écrit:Dans le Ouest France, y'a aussi les interviews de Le Paih, Quint, De Freitas et Savinaud. Ils le compare entre autre à Giggs, Raul et Del Piero, rien que ça

Trop c'est trop

Bertrand a écrit:

Coluche a écrit:Dans le Ouest France, y'a aussi les interviews de Le Paih, Quint, De Freitas et Savinaud. Ils le compare entre autre à Giggs, Raul et Del Piero, rien que ça

Trop c'est trop

Nan mais c'est pas tellement pour le talent (z'ont pas tous le même poste), mais c'est pour ces qualités de meneur d'homme, de sérieux dans le travail... Pis comme eux il fait toute une carrière dans le même club

Coluche a écrit:

Bertrand a écrit:

Coluche a écrit:Dans le Ouest France, y'a aussi les interviews de Le Paih, Quint, De Freitas et Savinaud. Ils le compare entre autre à Giggs, Raul et Del Piero, rien que ça

Trop c'est trop

Nan mais c'est pas tellement pour le talent (z'ont pas tous le même poste), mais c'est pour ces qualités de meneur d'homme, de sérieux dans le travail... Pis comme eux il fait toute une carrière dans le même club

Le plus faible meneur d'homme de l'histoire du fcn

Tiens ça m'aurais étonné. Tu es vraiment d'une grande objectivité toi

Vinny a écrit:Bof, 1 mètre 77.

Ouais mais ça c'est au repos...

Inti a écrit:

Vinny a écrit:Bof, 1 mètre 77.

Ouais mais ça c'est au repos...

Bertrand a écrit:

Coluche a écrit:

Bertrand a écrit:

Coluche a écrit:Dans le Ouest France, y'a aussi les interviews de Le Paih, Quint, De Freitas et Savinaud. Ils le compare entre autre à Giggs, Raul et Del Piero, rien que ça

Trop c'est trop

Nan mais c'est pas tellement pour le talent (z'ont pas tous le même poste), mais c'est pour ces qualités de meneur d'homme, de sérieux dans le travail... Pis comme eux il fait toute une carrière dans le même club

Le plus faible meneur d'homme de l'histoire du fcn

Tu sais que tu deviens pathétique ??

Nan mais je pense que c'est par jeu Pis t'façon, comment prendre au sérieux un mec qui dit que Djordjevic c'est le futur du club

Coluche a écrit:Nan mais je pense que c'est par jeu Pis t'façon, comment prendre au sérieux un mec qui dit que Djordjevic c'est le futur du club

J'ai bien peur que non

Coluche a écrit:Tiens ça m'aurais étonné. Tu es vraiment d'une grande objectivité toi

C'est la réalité mais veux pas gâcher la fête

force-jaune-verte a écrit:

Coluche a écrit:Nan mais je pense que c'est par jeu Pis t'façon, comment prendre au sérieux un mec qui dit que Djordjevic c'est le futur du club

J'ai bien peur que non

Mais si voyons. Pis même faut bien des personnes qui racontent des conneries pour que d'autres personnes se sentent plus connaisseurs