Revue de presse FC Nantes

Nico tu perds ton temps, je ne répondrai pas

Triskel a écrit:Nico tu perds ton temps, je ne répondrai pas

ça tombe bien je pose pas de question.

je savais pas trop où poster ça, mais ça fait toujours plaisir de voir que pour les 20 ans du zapping, le but de L1 qu'ils ont choisi de montrer c'est le but de nantes contre paris.

Actuellement prêté par le FC Nantes, Ivan Klasnic, l'avant-centre de Bolton, intéresserait le club espagnol de Xerez.

En mal de temps de jeu à Bolton, l'attaquant Ivan Klasnic (29 ans) intéresserait le club de Xerez. Selon le quotidien espagnol AS, l'international croate, actuellement prêté par le FC Nantes, pourrait quitter les Wanderers dès le mois de janvier prochain.

R.L. (Rédaction Football365.fr)

En même temps c'était couru d'avance. Klasnic n'est pas fait pour le championnat physique anglais.

Coluche a écrit:En même temps c'était couru d'avance. Klasnic n'est pas fait pour le championnat physique anglais.

L'est fait pour quel championnat ?

force-jaune-verte a écrit:

Triskel a écrit:

force-jaune-verte a écrit:Sert à rien ouais.. J'ai supporté (et je supporte toujours Klasnic) car je crois en lui.. Tout le contraire de Darch', Klasnic ne faisait pas la morale aux autres quand il ne marquait pas
Je comprends encore qu'il puisse donner des conseils au joueur en tête à tête ( , je sais) mais qu'il balance ça devant les journalistes, c'est du manque de professionnalisme

Au lieu de dire des conneries tu ferais mieux d'étudier pour avoir un diplôme

Mais ferme-là avec ton humour moisi, connard..

J'avais loupé ce passage sur le forum

Triskel a écrit:

Coluche a écrit:En même temps c'était couru d'avance. Klasnic n'est pas fait pour le championnat physique anglais.

L'est fait pour quel championnat ?

Je l'attendais celle-là. L'est fait pour la Bundesliga ou la Liga (voir la L1 qui n'est pas le championnat le plus physique)

Juanito a écrit:

force-jaune-verte a écrit:

Triskel a écrit:

force-jaune-verte a écrit:Sert à rien ouais.. J'ai supporté (et je supporte toujours Klasnic) car je crois en lui.. Tout le contraire de Darch', Klasnic ne faisait pas la morale aux autres quand il ne marquait pas
Je comprends encore qu'il puisse donner des conseils au joueur en tête à tête ( , je sais) mais qu'il balance ça devant les journalistes, c'est du manque de professionnalisme

Au lieu de dire des conneries tu ferais mieux d'étudier pour avoir un diplôme

Mais ferme-là avec ton humour moisi, connard..

J'avais loupé ce passage sur le forum

J'vois pas où c'est drôle de louper son bac, m'enfin

force-jaune-verte a écrit:

Juanito a écrit:

force-jaune-verte a écrit:

Triskel a écrit:

force-jaune-verte a écrit:Sert à rien ouais.. J'ai supporté (et je supporte toujours Klasnic) car je crois en lui.. Tout le contraire de Darch', Klasnic ne faisait pas la morale aux autres quand il ne marquait pas
Je comprends encore qu'il puisse donner des conseils au joueur en tête à tête ( , je sais) mais qu'il balance ça devant les journalistes, c'est du manque de professionnalisme

Au lieu de dire des conneries tu ferais mieux d'étudier pour avoir un diplôme

Mais ferme-là avec ton humour moisi, connard..

J'avais loupé ce passage sur le forum

J'vois pas où c'est drôle de louper son bac, m'enfin

C'est pas du tout pour ça que je rigole C'est parce que tu as eu raison de repondre ça J'adore la phrase que t'as mis en faite, ponctuer par un simple "connard"

Youpi, Ivan y va revenir chez nous !!

Juanito a écrit:

force-jaune-verte a écrit:

Juanito a écrit:

force-jaune-verte a écrit:

Triskel a écrit:

force-jaune-verte a écrit:Sert à rien ouais.. J'ai supporté (et je supporte toujours Klasnic) car je crois en lui.. Tout le contraire de Darch', Klasnic ne faisait pas la morale aux autres quand il ne marquait pas
Je comprends encore qu'il puisse donner des conseils au joueur en tête à tête ( , je sais) mais qu'il balance ça devant les journalistes, c'est du manque de professionnalisme

Au lieu de dire des conneries tu ferais mieux d'étudier pour avoir un diplôme

Mais ferme-là avec ton humour moisi, connard..

J'avais loupé ce passage sur le forum

J'vois pas où c'est drôle de louper son bac, m'enfin

C'est pas du tout pour ça que je rigole C'est parce que tu as eu raison de repondre ça J'adore la phrase que t'as mis en faite, ponctuer par un simple "connard"

Ah j'aime mieux ça

force-jaune-verte a écrit:

Juanito a écrit:

force-jaune-verte a écrit:

Juanito a écrit:

force-jaune-verte a écrit:

Triskel a écrit:

force-jaune-verte a écrit:Sert à rien ouais.. J'ai supporté (et je supporte toujours Klasnic) car je crois en lui.. Tout le contraire de Darch', Klasnic ne faisait pas la morale aux autres quand il ne marquait pas
Je comprends encore qu'il puisse donner des conseils au joueur en tête à tête ( , je sais) mais qu'il balance ça devant les journalistes, c'est du manque de professionnalisme

Au lieu de dire des conneries tu ferais mieux d'étudier pour avoir un diplôme

Mais ferme-là avec ton humour moisi, connard..

J'avais loupé ce passage sur le forum

J'vois pas où c'est drôle de louper son bac, m'enfin

C'est pas du tout pour ça que je rigole C'est parce que tu as eu raison de repondre ça J'adore la phrase que t'as mis en faite, ponctuer par un simple "connard"

Ah j'aime mieux ça

Juanito a écrit:

Actuellement prêté par le FC Nantes, Ivan Klasnic, l'avant-centre de Bolton, intéresserait le club espagnol de Xerez.

En mal de temps de jeu à Bolton, l'attaquant Ivan Klasnic (29 ans) intéresserait le club de Xerez. Selon le quotidien espagnol AS, l'international croate, actuellement prêté par le FC Nantes, pourrait quitter les Wanderers dès le mois de janvier prochain.

R.L. (Rédaction Football365.fr)

Naldo a écrit:

Juanito a écrit:

Actuellement prêté par le FC Nantes, Ivan Klasnic, l'avant-centre de Bolton, intéresserait le club espagnol de Xerez.

En mal de temps de jeu à Bolton, l'attaquant Ivan Klasnic (29 ans) intéresserait le club de Xerez. Selon le quotidien espagnol AS, l'international croate, actuellement prêté par le FC Nantes, pourrait quitter les Wanderers dès le mois de janvier prochain.

R.L. (Rédaction Football365.fr)

Sérieux toi ça t'étonne qu'il ne s'impose pas en Angleterre? C'est plutôt qu'il soit parti en Angleterre qui est surprenant, l'est pas fait pour ce championnat là

Pour le salaire peut être que si ?

Triskel a écrit:Pour le salaire peut être que si ?

Ben il aurait eu le même en restant à Nantes

Coluche a écrit:

Triskel a écrit:Pour le salaire peut être que si ?

Ben il aurait eu le même en restant à Nantes

Mais Kita ne voulait plus le payer

« C'est plus Saupin mais toujours un bel écrin »


Après trois ans de travaux, le stade Marcel-Saupin a repris vie samedi après-midi avec le match de la réserve du FC Nantes. La veille, de prestigieux anciens étaient venus visiter ce théâtre des souvenirs, avec nostalgie et bienveillance.


Lui aussi, on a fini par l'abattre avant de le restaurer. Dernier vestige non pas d'une guerre froide mais de l'ivresse d'un peuple. Les soirs de match à Saupin, c'était l'Amérique. Alors pour réveiller les six titres de champion de France que le Football Club de Nantes y a enfouis, ils avaient rendez-vous vendredi à 14 h.

Par ordre d'ancienneté : Philippe Gondet, dit Philou, le Vautour pour ceux qui préféraient les noms d'oiseau, l'homme aux 36 buts lors de la saison 65-66. Bernard Blanchet, Nanar, « la blaouette » dont le dribble chaloupé faisait dresser le public comme un seul homme. Patrice Rio, stoppeur de premier ordre dont les épaules auraient pu inspirer Rodin.

Gilles Rampillon, numéro dix au prodigieux pied gauche, soit dit en passant meilleur buteur de Saupin (64), dont la soif de dialogue n'est jamais assouvie. Maxime Bossis, le Vendéen aux grands compas. Enfin, Robert Budzynski qui s'est distingué dans le jeu aérien avant de briller dans le recrutement. Que des généraux deux ou trois étoiles ! C'était des conquérants. Ils avaient le droit, puisqu'ils faisaient rêver.

Ils se sont injecté un sérum de jeunesse. Pour un peu, leurs oreilles percevaient encore la douce mélodie des clameurs guerrières des tribunes ou les vociférations des commensaux chauvins des buvettes. Et puis, un « Gondet ton but » a tout naturellement surgi. Ce n'était pas cette voix anonyme qui s'élevait de la tribune Ouest, cette mélopée suppliante implorant le buteur. Aujourd'hui, seule la Présidentielle reste debout. Adossée à la Loire, la tribune Sud a laissé place à l'institut des études appliquées et à la Maison des sciences de l'homme.

Patrice Rio n'aurait plus seulement le grand Demanes dans son dos mais un parking surplombé par des bureaux. « C'est comme si tu revenais dans ton pays d'origine après une éclipse de vingt ans. Tu ne t'y sens plus chez toi. Hélas, ça ne me rappelle rien ! D'ailleurs, on a effacé toute trace du passé jusqu'aux lettres sur les portes d'entrées. Pour autant, ils l'ont transformé en un bel écrin. »

« Une solution citoyenne »

Bud a l'âme poétique et le verbe réconfortant. « En Angleterre, il y a longtemps que l'on construit des hôtels en bordure de terrain. À Manchester City, tu peux regarder le match de ta chambre. »

Patrice Rio ne semble guère convaincu, ni par l'argumentaire de son ancien directeur sportif, ni par l'imposante Résidhome. « Le mariage de l'ancien et du neuf, je n'ai jamais aimé ! C'est un compromis bâtard. Soit tu le détruisais, soit tu le reconstruisais. » Pour une fois, la charnière centrale ne joue pas à l'unisson. Bossis : « C'est plutôt positif. On a essayé de trouver une solution citoyenne. Cela aurait été dommage de tout foutre en l'air et de ne pas conserver une trace. La nostalgie a parfois du bon. »

Philippe Gondet ne dit pas autre chose. « Pour les supporters, leur Saupin est toujours là. » Il est habillé de vert, d'orange, de fluo. « Un peu trop flashy et contemporain pour moi »,s'excuse Bossis. « Après, interdiction de balancer sinon gare aux carreaux ! »

On ne dit plus ailier mais homme de couloir, n'empêche Bernard Blanchet continue d'arpenter la ligne de touche. « L'architecte, ça ne doit pas être un footeux. ! Des tribunes, tu ne vois pas le terrain dans toute sa largeur. » Les anciens ont le sens du détail. Budzynski fait remarquer que « la fameuse baignoire a disparu du vestiaire nantais »,Rio que les casiers individuels sont à digicode. « À l'époque, on pouvait se faire confiance. Le monde a changé ! »

Ils l'ont tous cherché, le petit coin de convivialité où tu donnais rendez-vous à la fiancée avant de partir guincher. Envolé comme la fameuse entrée dans le virage. « J'y avais mon supporter. À chaque fois que je pénétrais sur le terrain, il me criait : Max, viens boire un petit coup ! » En fait, d'hier, il ne reste plus que la passerelle qui enjambe le canal Saint-Félix. À l'usure, elle finira tous par nous avoir.

Christophe DELACROIX.


Ouest-France




le journaliste s'est lâché sur la présentation des "vieux"

Une enième interview d'Alonzo: c'est marrant il donne vraiment l'impression de dire toujours la même chose

Jérôme Alonzo : « Arrêter me terrorise »
Jérôme Alonzo retrouvera sa place de titulaire lundi soir contre Metz. Mais le gardien nantais espère que ce match ce ne sera pas le dernier.

Kamenar suspendu, Jérôme Alonzo sera titulaire lundi soir pour la venue de Metz. Le gardien nantais espère que ce match ne sera pas le dernier.




Comment avez-vous vécu le fait de vous retrouver en Ligue 2, en qualité de deuxième gardien ?

Il faut avoir un sacré sens de l’humour déjà. J’ai 36 ans, j’ai fait une carrière relativement correcte et je me retrouve sur un banc de Ligue 2. J’ai vraiment touché le fond sur le premier match de championnat, à Caen. Là, en l’espace d’une heure, je me suis demandé ce que je f… là. Les autres joueurs ont été adorables, ils m’ont épaulé de manière admirable depuis ce moment où ils ont vu que je n’étais pas hyper en forme. Paradoxalement, depuis ce jour-là, c’est un bonheur. C’est beaucoup grâce à eux si je suis encore debout aujourd’hui. J’ai la garantie de rien, je vais faire un match, j’y arrive dans de bonnes conditions.

Pour ne rien arranger, il y a eu ce match à Troyes (Alonzo était titulaire le 1er août lors du 1er tour de la Coupe de la Ligue)…

Match que j’ai raté en effet. Il me semble que j’en ai payé le prix fort. Ce n’est donc même plus la peine d’en parler.

Vous attendiez-vous à une telle concurrence ?

Vaste sujet la concurrence… Encore une fois, ce n’est pas mon combat. J’essaie de donner au coach matière à réfléchir durant la semaine. Je crois savoir qu’il est content de mon travail donc, après le match de Metz, si j’arrive à le faire réfléchir encore plus, j’aurais gagné une partie du pari. Mais, il fait ses choix, je lui offre ce que je peux au quotidien et je n’ai pas de problème avec Gernot.

Vous pensez donc pouvoir redevenir n°1…

Cette envie ne m’a jamais quitté. Je n’ai surtout pas envie, à moyen terme, d’arrêter le football en fin de saison. Je suis encore sur une logique de progression si cela est possible à mon âge. Quoi qu’il arrive, ce n’est pas mon dernier combat.

Comment expliquez-vous que vous n’ayez pas eu beaucoup de contacts à l’intersaison ?

Quitter Nantes pour une autre Ligue 2, aurait-ce été bien malin ? Je me suis demandé, notamment à la fin du mois d’août, si je n’aurais pas du partir. Mais après, tout s’est mal goupillé fin juin : la blessure, l’arrivée de Lubos. Tout l’été, j’avais eu le cul entre deux chaises. Il a fallu trancher quand c’était très chaud avec Panonios qui m’avait envoyé le billet d’avion. J’aurais pu faire une belle opération en terme de salaire et d’années de contrat, mais c’était fuir et je n’avais pas envie de fuir. Je n’ai pas eu envie de péter ma vie à 36 ans en Grèce pour un club qui allait jouer le milieu de tableau. Cela fait 17 ans que je suis en France. J’ai fait une carrière qui mérite le respect. Et je n’ai aucun regret. Même si à un moment donné, j’étais ouvert à tout. J’avais compris que Lubos jouerait et, comme cela a toujours été le cas par le passé quand je ne jouais pas, je n’ai pas été frappé à la porte du bureau du coach. J’avais juste envie de jouer. J’ai fait 28 matches l’année dernière, j’ai encore plein de matches dans les jambes. C’était ici ou à l’étranger et après en avoir beaucoup discuté avec mes proches, cela valait finalement le coup de se battre. C’est ce risque-là que j’ai préféré prendre plutôt que de partir dans une situation improbable en Grèce, où après deux mois, j’aurais pu être écarté. C’est arrivé à mille joueurs ça… Car je suis bien ici. Je suis bien dans ce club. Il se passe des trucs et ça me plaît…

Si une opportunité se présente cet hiver, allez-vous réfléchir ?

C’est tout de même bien parti pour que je reste ici jusqu’à la fin de la saison. Au rythme ou vont les choses, l’année prochaine, ça peut être ailleurs, mais ça peut aussi être le FC Nantes. Je n’ai jamais regretté d’être resté ici.

Avez-vous compris le choix des dirigeants de recruter un autre gardien ?

Je n’ai pas à commenter cette décision. Et surtout pas en public.

Quels sont ces « trucs » que vous évoquez ?

Il n’y a pas un jour qui passe sans qu’on se chambre, sans que ça rigole. Je retrouve l’ambiance de la montée avec Saint-Etienne il y a 10 ans. L’année dernière, il y a parfois eu des jours où c’était dur de revenir à la Jonelière. Cette année, il n’y a pas de défiance. La concurrence est saine à tous les postes. À 36 balais, je suis heureux de venir m’entraîner le matin. L’année dernière, ce n’était pas toujours le cas.

Comment trouve-t-on la motivation quand on sait que l’on ne jouera pas le week-end ?

Il n’y a pas un matin où j’ai raté un entraînement. J’ai toujours été heureux de venir. Plus je m’approche de la fin, plus je sais la chance que j’ai. Je me donne à fond depuis le lendemain de Troyes. Dans la vie, il n’y a pas que le foot, il y a aussi des choses graves qui se passent à côté. Moi je suis heureux de bosser ici. Et pas parce que je sais que je vais jouer lundi.

Comment envisagez-vous ce match contre Metz ?

C’est mon challenge personnel. 1) gagner le match. 2) qu’au coup de sifflet final, le coach se dise : « Lubos n’est plus suspendu, Jérôme a fait un bon match, qu’est ce que je fais ? » J’ai envie de le faire réfléchir. Je sais aussi que j’ai quelques matches en L2, j’ai 3 montées, je ne vais pas me prendre la tête sur une rencontre. Il y a la Coupe de France qui arrive, cela peut me donner des opportunités en un mois, même s’il n’a pas été convenu que je joue en Coupe de France. Je lance un appel (rires). Avant l’expulsion de Lubos, c’était acquis, maintenant je ne sais pas ce qui peut se passer. Pour le coup, même si je trouve cette expression affligeante de banalité, je suis bien obligé de dire que je joue les matches les uns après les autres. Je joue celui-là et je verrais après. Ce n’est pas tout le temps qu’une porte s’ouvre comme ça. C’est rare et je veux en profiter un maximum. Et dans tout ce package, pourquoi pas faire mal à la tronche au coach…

Quel danger vous guette ?

Il guette tous les gardiens : c’est de ne pas être bon. C’est le piège dans lequel je suis tombé plus jeune : vouloir surjouer quand on ne joue pas souvent. J’ose espérer qu’une erreur technique arrive à moi, à Casillas ou à un 17 ans. Mais l’erreur d’impatience, je n’ai pas le droit de la faire. Je sais ce que je ne dois pas faire.

Avez-vous le sentiment de revivre votre expérience du PSG ?

Ce n’est pas mon choix, je n’ai rien fait pour que ça arrive. Je n’ai pas la sensation de souffrir. J’ai eu une période difficile mi-août. Je ne suis pas malheureux. Je suis heureux de jouer ce match, mais je ne sens pas que c’est le dernier… Arrêter me terrorise vraiment. J’ai envie de prolonger le plaisir longtemps. Je sais que je serais perdu après… J’aime trop ça. Je suis fou de mon métier.

Quels sont vos rapports avec Lubos Kamenar ?

Nous ne sommes pas de la même génération. Nous n’avons pas la même culture. Aux entraînements, il m’a apporté le goût de ne pas lâcher.

Quels conseils pourriez-vous lui donner ?

De ne pas surjouer. De ne pas vouloir trop en faire. J’ai l’impression que c’est ce qu’il fait. Il fait des bons matches et des moins bons, c’est le lot de tous les gardiens.


Recueilli par J. R.
Ouest-France

Triskel a écrit:

Coluche a écrit:

Triskel a écrit:Pour le salaire peut être que si ?

Ben il aurait eu le même en restant à Nantes

Mais Kita ne voulait plus le payer

Ben oui mais à ce que je sache il avait un contrat, donc à la limite il s'en fout que Kita ne voulait plus le payer, il aurait quand même été obligé de le faire

tiens je l'avais loupé celle-là
ce bon vieux Keseru

Nantes : Keserü gardien
lundi 12 octobre 2009 - 15h19 Pour son grand retour sur les pelouses après six mois d'absence, samedi dernier avec la réserve nantaise contre Blois (CFA2), Claudiu Keserü a passé les cinq dernières minutes du match dans la cage. Et l'attaquant international Espoirs roumain y a été très efficace.
Pour son grand retour à la compétition, contre Blois samedi dernier dans le nouveau stade Marcel-Saupin avec la réserve nantaise (CFA2), Claudiu Keserü a eu droit à un premier match très particulier. Tout d'abord buteur sur penalty, le seul but du match, l'attaquant nantais, absent depuis six mois sur blessure, a ensuite passé les cinq dernières minutes de la partie dans la cage nantaise. Les deux équipes jouaient alors à dix contre dix. Côté nantais, Tony Heurtebis, qui effectuait lui aussi son grand retour à la compétition, s'était blessé en début de match, son remplaçant, Erwin Zelazny ayant lui été expulsé dans les derniers instants.

« En tant qu'attaquant, je peux mieux me mettre dans la tête des autres attaquants, déclarait Keserü à chaud. Comme j'étais l'un des seuls attaquant sur le terrain et comme il fallait défendre le résultat, je me suis dit que je n'allais pas pénaliser l'équipe. J'étais un peu cuit, je n'avais plus beaucoup de jus, donc je me suis dit que j'allais aller dans le but et peut-être aider l'équipe comme ça. Au départ, je m'attendais à jouer 45 ou 60 minutes. Là, ça a fait 90 : 85 sur le terrain et cinq dans le but, ça fait du bien. »

Ah ben voilà, on savait pas où le mettre vu notre stock important d'attaquants, faut le mettre dans les buts. Par contre tire t-il la langue quand il dégage son camp?

Vinny a écrit:Rohr critique les nostalgiques.

j'aime bien les titres des journalistes...
quand tu lis la citation, je ne vois pas beaucoup de critiques aux anciens: il demande juste de leur laisser un peu de temps pour construire quelque chose