Revue de presse FC Nantes

Landry Chauvin
suivi par Brest
En conflit ouvert avec Waldemar Kita
depuis plusieurs semaines, l’entraî-
neur nantais Landry Chauvin fait partie
de la short list du président breton Michel Guyot. Il pourrait succéder à Corentin Martins, qui a fini la saison sur le banc
du Stade Brestois au relais d’Alex Dupont, remercié fin avril. Une solution qui
pourrait offrir une porte de sortie honorable à l’ancien entraîneur sedanais,
dont la situation paraît intenable au FC
Nantes. Le technicien nantais ne serait
toutefois pas le choix numéro un du club
finistérien pour le moment.

dancingjulio a écrit:Landry Chauvin
suivi par Brest
En conflit ouvert avec Waldemar Kita
depuis plusieurs semaines, l’entraî-
neur nantais Landry Chauvin fait partie
de la short list du président breton Michel Guyot. Il pourrait succéder à Corentin Martins, qui a fini la saison sur le banc
du Stade Brestois au relais d’Alex Dupont, remercié fin avril. Une solution qui
pourrait offrir une porte de sortie honorable à l’ancien entraîneur sedanais,
dont la situation paraît intenable au FC
Nantes. Le technicien nantais ne serait
toutefois pas le choix numéro un du club
finistérien pour le moment.

si on peut récuperer Alex Dupont à la place, pourquoi pas

ANKOURAGE a écrit:

dancingjulio a écrit:Landry Chauvin
suivi par Brest
En conflit ouvert avec Waldemar Kita
depuis plusieurs semaines, l’entraî-
neur nantais Landry Chauvin fait partie
de la short list du président breton Michel Guyot. Il pourrait succéder à Corentin Martins, qui a fini la saison sur le banc
du Stade Brestois au relais d’Alex Dupont, remercié fin avril. Une solution qui
pourrait offrir une porte de sortie honorable à l’ancien entraîneur sedanais,
dont la situation paraît intenable au FC
Nantes. Le technicien nantais ne serait
toutefois pas le choix numéro un du club
finistérien pour le moment.

si on peut récuperer Alex Dupont à la place, pourquoi pas

Kita mettrait plutôt son pote Zvunka à la place

Kita - Der Zakarian : on oublie tout et on recommence



Michel Der Zakarian et Franck Kita se sont retrouvés, comme des amis de 5 ans, ce qui a amusé notre confrère de RTL, Philippe Audouin.

FC Nantes. La famille Kita et Michel Der Zakarian ont oublié leur passé pour viser la remontée en Ligue 1. Du déjà vu...
Les capricornes n'ont pas la réputation d'être diserts. Sur ce point, Michel Der Zakarian n'a pas vraiment changé. Le nouvel entraîneur du FC Nantes était parti fâché, amer, mais sans jamais totalement se livrer. L'histoire reprend sans s'attarder sur le passé. « C'était il y a quatre ans. Aujourd'hui, on voit l'avenir »,a répété le revenant.

Le passé, on l'a donc seulement effleuré. Non pour rappeler que Michel Der Zakarian s'était fait lourder, un soir de défaite à Bordeaux le 26 août 2008, après une montée en L1 et trois matches sur le banc ou pour évoquer la procédure pour faute grave (une causerie pas au goût de WK) qui a fini par se régler... « à l'amiable », selon son avocat, Me Guy Reiss. Juste pour charger les absents, les Christian Larièpe, Claude Robin et Pascal Praud (on serait tenté d'ajouter Baptiste Gentili). « À l'époque, le contexte, comme les gens autour du président, étaient différents. Je n'avais pas demandé à partir mais ce n'était plus vivable. » Quant à savoir qui a décroché son téléphone le premier... Le contexte du retour a d'ailleurs glissé sur un lapsus de MDZ. « Quand j'ai su que le club se séparait... et que Landry partait ailleurs, on a pris contact. Mon agent a pris contact. »

Après cinq ans, le FC Nantes de Waldemar Kita en est au même point. Hier, le président avait délégué son fils, Franck, aujourd'hui parfaitement rôdé à l'exercice de la présentation du nouveau coach, qui a donc signé pour deux ans (+ une saison supplémentaire en cas de montée). L'occasion de pacifier les relations : « Maintenant, il n'y a plus d'entourage. Il n'y a plus que le président et moi. Le lien va se faire en direct. Personnellement, j'ai toujours regretté son départ. Il y a une espèce de complicité entre nous. »

« L'objectif, c'est de remonter »

Le président-délégué a également rappelé que la petite assemblée n'aurait pas été conviée si Landry Chauvin n'avait pas répondu aux sirènes de la Ligue 1 et à l'invitation du Stade Brestois. Bien sûr, on l'a un peu aidé... En même temps, l'ancien Rennais avait pris soins de jeter des hameçons dès janvier. « C'est un beau challenge pour lui. S'il n'était pas parti, il serait encore là (sic), en tout cas, on ne l'aurait pas poussé dehors. » N'empêche, le nouveau est mieux, forcément. « Michel, c'est le seul Monsieur qui ait fait remonter le FCN. Donc, on part sur des bases solides. Avec un budget trois fois moins important, il a terminé devant nous cette saison... Pour les bons entraîneurs, il y a un transfert ! » L'avenir peut apparaître bien flou en matière de recrutement. Concernant les joueurs en fin de contrat, comme Riou ou Vivian (Wiltord n'étant pas enclin à prolonger), l'entraîneur a botté en touche.En revanche, ses intentions sont claires : « L'objectif, c'est de remonter. On ne peut pas dire qu'on est là pour se maintenir, quand on est à la tête du FCN. » Le vrai moment de sincérité ? Quand il n'a pas caché que « le contexte familial » s'était avéré « important » dans son retour à Nantes.

Le recrutement sera concerté. Chacun viendra avec ses tuyaux (personne n'a osé parler de Bruno Cheyrou, consultant chez beIN Sport, et accessoirement observateur). Michel Der Zakarian ne s'offusque pas de tenir au courant son patron de ses décisions. En revanche, il a bien l'intention d'être le seul décideur : « C'est moi le responsable du sportif. Si des joueurs doivent venir, c'est moi qui décide. À aucun moment, on ne m'a imposé un joueur. » Une voix s'est alors élevée pour lui rappeler qu'à une époque, on l'avait empêché d'en faire jouer certains (Bagayoko notamment). Mais c'est du passé. Puis, les gens ont changé, même Waldemar Kita paraît-il.
Christophe DELACROIX. Ouest-France

En marge de son jubilé organisé il y a trois jours à Orléans, l'ex-Canari, 40 ans, s'est confié. Il aime toujours autant le FC Nantes :

Presse Océan : Que vous inspire la situation du FCN aujourd’hui ?

« Il faut rester optimiste. J’espère que ce club va remonter le plus vite possible. J’en suis toujours fan. On critique beaucoup le président mais c’est quelqu’un de passionné malgré tout, qui essaie de faire du mieux possible, a aussi mis beaucoup d’argent. Ça, c’est appréciable. Il ne faut donc pas toujours lui jeter la pierre. Il y a peut-être des choses, vu de l’extérieur, qu’on ne connaît pas. »

Un retour au club est-il envisageable pour vous ?

« Nantes, pour moi, est particulier. Je suis attaché à ce club. Si demain on me demande d’y revenir pour y avoir une fonction, il n’y a pas de souci. [...] Tous ceux qui ont joué ici ont ce club dans leur cœur. »

Retrouvez l'interview en intégralité ce mercredi 6 juin dans Presse Océan

Après une recherche il s'agirait de Reynald Pedros

Triskel a écrit:Après une recherche il s'agirait de Reynald Pedros

Oh oui, pardon

J'avais retiré le titre, qui ne me plaisait pas (trop racoleur), en oubliant de vérifier si son nom revenait dans l'interview. désolé

Triskel a écrit:Après une recherche il s'agirait de Reynald Pedros

J'ai joué avec son frangin. Même caractère mais le talent en moins

Sylvain Wiltord a annoncé lundi sur le plateau de Be In Sport qu'il arrêtait sa carrière. L'attaquant de 38 ans avait rejoint Nantes l'été dernier pour un dernier challenge. Auteur de 8 buts en 33 matches, il avait terminé la saison meilleur buteur de son club. Formé à Rennes, Wiltord a explosé à Bordeaux, où il a remporté le titre de champion de France en 1999. En 2000, juste après l'Euro, où il inscrit le but égalisateur de la France face à l'Italie en finale dans les arrêts de jeu, il rejoint Arsenal avec qui il remporte deux fois le titre de champion d'Angleterre (2002 et 2004) et deux Coupes d'Angleterre (2002 et 2003). En 2004, il retrouve la France avec Lyon, avec lequel il remporte trois fois le Championnat de France (2005, 2006 et 2007). En fin de carrière, il revient à Rennes et effectue deux piges à Marseille et Metz, avant une dernière année avec les Canaris.

On peut saluer son état d'esprit lors de cette dernière saison

FC Nantes : Waldemar Kita « commence à mûrir »



Né en Pologne il y a 59 ans, le président du FC Nantes sera samedi soir à Wroclaw pour assister à la finale du groupe A (Euro 2012) : République tchèque-Pologne.

L'occasion pour le quotidien de Suisse romande Le Matin de s'entretenir avec celui qui reprit en 1998 le club de football de Lausanne.

Une ville où « la rumeur continue de lui attribuer la responsabilité d’une faillite prononcée en 2003, vingt-quatre mois après son départ », écrit le journaliste suisse, peu tendre avec Kita. Et où ses méthodes passaient « parfois mal ».

Interrogé sur sa « sulfureuse réputation », Kita répond : « Je dois apprendre à me calmer, je commence à mûrir. »

Avant de donner son sentiment sur l'équipe de France...

« La France de Blanc n’est plus la même France. Le coach a remis de l’ordre et le sens du devoir. Si ses individualités se rencontrent, l’équipe, en tant que groupe, peut aller loin. »

... puis d'évoquer l'actuel club qu'il préside - « le coup d'envoi d'une boufonnerie », écrit le quotidien :

« Je ne dis pas que je n’en ai pas assez [de financer le FC Nantes, NDLR], mais à qui vendre ?, répond Kita. Dès que l’on commence à parler d’argent, il n’y a plus que des fantômes. (…) Dans le fond, j’aime ça. Chaque soir, je me dis que je vais tout abandonner. Et chaque matin, je repars de plus belle. »

Quid de son impopularité à Nantes ? « Seuls ceux qui n’ont jamais rien fait aiment critiquer. »


Presse-Océan

Commission de discipline. Trois ans de suspension dont deux ferme pour Benzerga

Licencié par son club depuis quelques semaines, le désormais ex-joueur du FC Nantes, Omar Benzerga, est suspendu « pour brutalité sur un arbitre assistant officiel », de toutes compétitions officielles en France durant trois ans, dont un avec sursis. Accusé d’un coup de poing sur un arbitre alors qu’il participait à un tournoi de sixte organisé par le club de la Haye-Fouassière, le 9 avril dernier, il avait été convoqué par la commission de discipline du District de Loire-Atlantique le 7 juin. Aujourd’hui fixé sur son sort, le joueur possède un délai de 10 jours pour faire appel.


Ouest-France

J'ai lu que sa défense c'est qu'il était simple spectateur. Sauf que le soucis, c'est que si un spectateur frappe un arbitre, il risque une peine plus importante que si c'est un joueur

Il a pourtant les moyens de se payer un avocat correct ce couillon...

Lundi matin, les Canaris ont repris l'entraînement avec un groupe encore très réduit

Il est loin le temps où une armée mexicaine débarquait au coeur de l'été à la Jonelière. Lundi matin, seule une dizaine de joueurs ont repris l'entraînement sous la houlette du nouveau coach Michel Der Zakarian. Quatre ans après avoir été remercié par le président Kita, « Der Zoum » a à nouveau enfilé le costume nantais. « Cela fait plaisir, a-t-il expliqué laconiquement. Je connais les lieux, les gens… » Et l'objectif aussi fixé par son président qui est la remontée en Ligue 1. « On ne peut pas dire qu'on joue le maintien dans une ville comme Nantes », affirme Der Zakarian. La saison est lancée avec son lot d'incertitudes.

Deux nouvelles têtes arrivées. Lundi, seules deux recrues étaient présentes à la Jonelière. Damien Mayenga (24 ans), l'ex attaquant de Luçon (CFA), auteur de 14 buts la saison dernière, et le milieu de terrain défensif Birama Touré (20 ans), transfuge de Beauvais (National). Ces deux joueurs ont signé respectivement deux ans et trois ans au FCN. Le gardien de but Rémy Riou – « en concurrence avec Zelazny », selon le coach – et le défenseur central Gabriel Cichero sont attendus vendredi.

Une colonne vertébrale à peaufiner. Vivian non gardé, Ngoyi et Krychowiak partis, le FCN doit reconstruire son axe défensif. « On a des pistes pour un défenseur axial, un milieu défensif voire un arrière droit, avoue Michel Der Zakarian. Je veux des joueurs expérimentés, qui connaissent la Ligue 2. Car la L2, c'est un combat quotidien. » Au poste de sentinelle du milieu, Nantes recherche un joueur très solide pour épauler les jeunes Keita, Trebel et Veretout.

Des bons de sortie accordés. Djordjevic et Bangoura ont un bon de sortie chacun. Serge Gakpé (en sélection) préférerait jouer en L1. « On va étudier toutes les options possibles pour le sortir », reconnaît Franck Kita. Le gardien de but Lubos Kamenar négociait lundi avec un club tchèque pour un nouveau prêt.

David Phelippeau

Ligue 2. Rémy Riou officiellement nantais

Sans surprise, le portier toulousain Rémy Riou (24 ans) s'est engagé ce matin pour deux saisons en faveur des Canaris. Après trois saisons compliquées en Ligue 1 (seulement trois apparitions), le gardien formé à Lyon (également passé par Lorient et Auxerre) espère bien se relancer du côté de la Beaujoire. Dans les buts, il succède à son homonyme, Rudy, non conservé à l'issue de la saison.
Ouest-France

Football. Damien Mayenga, buteur en CFA, intègre le FC Nantes à 24 ans




Damien Mayenga a su saisir sa chance. Après le club de Luçon, en CFA, il vient d’intégrer le FC Nantes, en Ligue 2. Il est entré dans le vif du sujet lundi matin. À 24 ans, il découvre le milieu professionnel. Avec appétit et insouciance.

FC Nantes : deux adjoints de bonne volonté pour faire le lien

FC Nantes. Sollicités par Landry Chauvin pour le suivre à Brest, Bruno Baronchelli et Stéphane Wiertelak sont restés. Michel Der Zakarian pourra s'appuyer sur deux piliers solides et loyaux.
Une relation neuve et deux vieilles connaissances. Rien de neuf dans la formule du staff technique au FC Nantes. Rien, si ce n'est un nom, et la distribution des liens. L'an dernier, Bruno Baronchelli découvrait Landry Chauvin. Stéphane Wiertelak, lui, retrouvait un camarade d'études à l'UFR-STAPS et un ancien collègue du Stade rennais. Cette fois, c'est Wiertelak qui doit faire connaissance avec Michel Der Zakarian. Bruno Baronchelli, lui, connaît le boss du sportif. « Depuis qu'on a joué ici ensemble. On se connaît bien dans la vie, mais pas dans le boulot. J'ai toujours pensé qu'un jour, on travaillerait ensemble. » Il appartiendra donc, aux deux adjoints, le troisième, Fabrice Grange (en charge des gardiens), étant plus effacé, de faire le lien entre deux techniciens aux profils différents. « Le président a voulu une stabilité autour de l'entraîneur, ce que je comprends et que je respecte », explique Stéphane Wiertelak.

Pour l'obtenir, Waldemar Kita a dû s'appuyer sur les contrats. Car Landry Chauvin aurait bien aimé reconstituer le trio à Brest. « Landry m'a dit que ça l'intéressait que je vienne avec lui, reconnaît Bruno Baronchelli. Je lui ai dit que ça m'intéressait aussi. Mais les données étaient différentes dans la mesure où c'est Michel qui venait ici. » En outre, le président Kita lui a « montré qu'il souhaitait que (je) reste ». Pour Wiertelak, il a quasiment fallu faire marche arrière, le site du stade brestois l'ayant « prématurément » dit-il, annoncé de retour sur ses terres natales. « Presque naturellement, Landry m'a demandé de l'accompagner à Brest. Après, j'étais sous contrat avec Nantes. J'ai rencontré le président qui m'a demandé de rester ici. On se plaint souvent que les joueurs ne respectent pas leur contrat ou ont des velléités de départ à tort et à travers... » Sous-entendu, ce n'est pas pour faire comme eux. Le préparateur physique avoue quand même avoir eu « une hésitation ». « Mais, maintenant que la décision est prise, sans arrière pensée, sans aigreur, je m'inscris ici. »

« On verra au fonctionnement »

Der Zakarian sait qu'il pourra compter sur deux partenaires loyaux. Loyaux et engagés. L'an dernier, Bruno Baronchelli, percevant le point de non retour atteint dans la relation Kita/Chauvin, n'avait pas hésité à tenter de rapprocher les lignes. « Comme personne ne faisait d'effort, je me suis dit : il faut peut-être qu'on essaye de bousculer les choses. » Le déplacement du staff, à Paris, pour une réunion de la dernière chance aura été vain. « Ça ne passait pas, ça ne passait pas. C'était trop tard. » Aujourd'hui, les donne est différente. « C'est le président qui a choisi Michel. Il le connaît bien. Michel le connaît bien. Ils gagnent du temps. » L'ancien attaquant ne verse pas dans l'angélisme pour autant : « Après, ce n'est pas une tâche facile de revenir comme ça pour Michel [...] Cette année, il n'y a personne entre le président et Michel. On verra au fonctionnement. »

Au sein de staff, Baronchelli ne voit pas de changement en perspective dans son rôle. Wiertelak se dit prêt à des ajustements. « Il est normal que nous nous adaptions aux desiderata du responsable, pour peu qu'on arrive à travailler en bonne intelligence. »

La bonne intelligence. Si elle faisait son apparition dans ce club à tous les étages et sur la durée, ce serait finalement là la vraie nouveauté.

Goulon libéré. L'ancien manceau Herold Goulon (24 ans) ne sera pas resté longtemps en stage à Annecy. Son essai a tourné court. Le FC Nantes ne donnera pas suite.
P.-Y. A.

Ouest-France

"La bonne intelligence. Si elle faisait son apparition dans ce club à tous les étages et sur la durée, ce serait finalement là la vraie nouveauté."

C'est bon ça... Dommage ici on est trop loin de Nantes et on n'a pas des anlyses un peu mordantes. Ce doit être pour cela que je vous lis !!

Triskel a écrit:FC Nantes. Gabriel Cichero vient refaire son passeport

La dernière phrase... C'est du second degré ou bien ?

fredorain a écrit:

Triskel a écrit:FC Nantes. Gabriel Cichero vient refaire son passeport

La dernière phrase... C'est du second degré ou bien ?

Je pense que oui mais on devrait voir pas mal de baston à la Beaujoire.

Quand le Gazélec Ajaccio viendra à la Beaujoire, on aura un remake de Nantes - AC Ajaccio saison 2010-2011

fredorain a écrit:

Triskel a écrit:FC Nantes. Gabriel Cichero vient refaire son passeport

La dernière phrase... C'est du second degré ou bien ?

J'adore